Chateau de Clermont : Lieu des Festivités du BA
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Chateau de Clermont : Lieu des Festivités du BA

Lieu de fêtes du Bourbonnais-Auvergne et de Réunions du Comité des Fêtes ducal du BA
 
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 Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac

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Clothilde

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MessageSujet: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyMer 12 Mar - 23:41

Archivage ici de la halle d'Aurillac :

La Mine d'Aurillac.

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Clothilde

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyJeu 13 Mar - 2:02

arrière plan a écrit:
De bon matin, la mine commençait à s'animer. Les mineurs d'Aurillac étaient arrivés les premiers, pour certains pas encore tout à fait réveillés, pour d'autres dans un flot de paroles.

Inscriptions faites, on leur distribue les outils, seaux...

Des charettes des villages voisins arrivent déjà pour prêter main forte...

rastero a écrit:
[Aux abords de la Mine]

Après avoir accompagné sa petite Fiona à l'orphelinat de Polignac ou travaillait Elfy, Rastero prit la route pour Aurillac, sa pioche sur l'épaule.
La mine n'était pas tout pres mais à en croire certains, elle renfermait beaucoup d'or.
Ils croisèrent quelques personnages inquiétants sur la route, mais surement que le nombre ou les besaces paraissant bien maigres ne les intéressaient pas.

Il avait hâte d'arriver, peut être croiserait-il là-bas quelques Aurillacois ?
Enfin, vu le temps glacial, le travail à la mine n'est pas vraiment la meilleure occupation. Sait-on jamais, tomber sur une pépite grosse comme le poing...

Rastero arriva enfin, il semblait que personne ne l'ait suivi encore. Il pénétra dans la mine et se chercha "son" endroit, "sa" galerie pour se mettre au travail. Il faisait trop froid dehors pour attendre les autres travailleurs.


Bon allez encore une journée à se labourer le dos... Pffff !


Il se mit au travail. Premier arrivé, premier servi...

kratos47 a écrit:
[thiers : demeure de kratos]


Par une matinée de printemps, ou le soleil commençait à éclaircir le ciel, mais ne pointait pas encore le bout de son nez, une ombre s’avançait devant la demeure de kratos. On ne pouvait distinguer qui se cachait derrière cette silhouette, tapis dans les brumes matinales. Elle se pencha pour essayer de percevoir l’intérieur de la demeure par une fente des volets. Elle se dirigea lentement vers la porte tel un félin s’approchant de sa proie. Une fois devant la porte, pausa sa main sur la poignée, tourna le plus lentement possible pour ne pas faire de bruit puis commença à pousser la porte. Cette dernière commença à craquer, l’ombre resta figée comme une statue, tendit l’oreille, pas de bruit si ce n’est un ronflement sourd. Quelque second après cet arrêt, elle repris sont périple et s’engouffra dans le mince espace que laisser la porte. Regarda à droite, puis à gauche que personne ne l’ait vue, pour finalement refermer derrière elle.

La silhouette sombre et menaçante, s’approchait de Kratos, marchand sur la pointe des pieds pour ne pas faire parler les planches mal ajustées sur le sol. Elle était penchée au dessus de lui, et l’observait. Le temps paraissait comme suspendu, dans ce silence qui venait être perturbé par la forte respiration de kratos, et les goûtes tombant du toi dans une chopine posait sur le sol. Elle sortie une lame qui brillait dans le noir, l’approcha prudemment de coup du jeune Thiernois, et en un éclaire lui posa l’autre main sur la bouche ! Kratos ouvra de grands yeux, la peur se lisait sur son visage, on pouvait voir qu’il ne se rendait pas encore compte de se qui se passait et se croyait encore dans ses songes. Au bout de quelques secondes et compris ce qui se passait et s’immobilisa, l’on voyait des goûtes perler sur son front. La silhouette pris la parole.

Bonjour kratos, n’ais pas peur… Si tu m’écoutes, que tu gardes ton calme tout se passera bien pour toi.

L’ombre attendit quelque seconde, que son interlocuteur comprenne bien le message.

J’ai besoin de toi et de tes services. Je crois que tu as déjà croisé et connais une certaine mimi, une Polignacoise. J’ai besoin qu’elle ne puisse être en état d’agir pendant quelques jours, elle apprendrait un peut à s’occuper de ses affaires et pas de celles des autres on n’en arriverait pas là, mais je n’ais pas le choix. Pour cela j’ai tout prévu, écoute moi bien, je ne me répéterais pas !

Mimi à pour habitude de faire la sieste après le déjeuner sous un noyer prêt de polignac sur une petite colline. C’est à ce moment qu’elle sera la plus vulnérable, et qu’il faudra frapper. Tu arriveras prêt d’elle sans te faire remarquer, et l’assumera d’un bon coup de bûche sur le coin de la tête, ne t’inquiète pas, il n’en manque pas dans la région. Une fois qu’elle sera bien endormie, tu la mettras à l’arrière de ta charrette remplie de paille. De cette manière tu devrais pouvoir arriver à Aurillac sans encombre. Là se trouve non loin une mine, à l’intérieur duquel est aménagée une salle que peut de personnes connaissent. Tu te serviras de cette pièce, pour la garder prisonnière une dizaine de jours. Par conséquent, pense bien à prendre des prévisions pour toute cette période, pour toi ainsi qu’elle.

La silhouette posa un parchemin, sur la table de chevet, ou l’on pouvait visualiser un plan de la mine avec l’emplacement de la salle.

Finalement tu vas me dire pourquoi devrais tu faire cela. La raison est bien simple…

Elle se pencha, lui murmura quelques mots au coin de l’oreille, à la suite de quoi le regard de kratos resta dans le vide. Elle sortie un deuxième parchemin, qu’elle déposa sous le premier. Elle s’éloigna, ne quitta pas du regard kratos, qui n’arrivait a percevoir son agresseur. Elle ressortie, et repartie dans la brume telle qu’elle était venue.

lullabyGrimwald a écrit:
Aurillac au petit matin

Lorsque le coq chanta Lullaby maugréa contre ce dernier, elle pensa qu’elle l’aurait bien fait rôtir juste pour l’avoir réveillé de cette façon si brusque. Et en plus pour aller à la mine !

La blonde soupira, regarda ses belles mains et sa magnifique chevelure dans le reflet de l’eau.


Ce qu’il ne faut pas faire pour se payer une robe, foutu poitevins !


Continuant de pester contre celui qui lui avait tout pris, la femme se leva et s‘étira, âpres un vague brin de toilette -après tout elle serait noire comme la suie dans quelques heures- elle sortie de l’auberge.
Les ruelles d’Aurillac étaient calmes, le froid la saisissant elle remonta son châle sur les épaules.


Dehors a ct’heure ci en plein mois de mars ! Mais qu’elle idée !

Pestant encore, elle fit chemin jusqu'à la mine, elle croisa vagabonds et manant et leva les yeux au ciel.

Entrée de la mine

Cependant si elle voulait manger et avoir la magnifique robe rouge sang qu’elle avait vu, elle devait gagner sa vie…. Et la mine l’y aiderait.
Elle se présenta a un semble de garde, recensant les personnes descendant au fond du trou, fier et rageuse elle se présenta


Lullaby De Grimwald

Il fit un bruit gutturale et y montra d’un signe de tète, une entrée fort sombre dans laquelle s’engouffrait les mineurs. La blonde couvrit ses beaux cheveux blonds de son châle et fit comme les autres en s’enfonçant dans les entrailles de la terre.

kratos47 a écrit:
[la demeure de Kratos]

L’ombre était déjà loin alors que la porte venait juste de claquer !qui pouvait bien être cette personne ? Le mystère restait entier seulement kratos se devait d’accomplir cette mission qui ne lui plaisait guère. Il fallait donc retrouver Mimi et l’assommer pour finalement l’emmener au fond de cette mine dans une salle secrète…l’affaire paraissait louche néanmoins kratos était contraint par la force des choses d’accepter !
Il se leva et prit ce qu’il avait besoin pour accomplir sa tache. Quelques morceaux de pain, de l’eau et des fruits secs de quoi tenir quelques jours….

Kratos vêtu de la tête aux pieds en noire avec une longue cape qui partait de son épaule gauche et une besace le long de son coté droit. Un couteau habilement dissimulé dans son étui était rattaché à l’arrière de sa ceinture. Ainsi prêt, kratos ne tarda pas à se mettre en route pour Polignac.


[A Polignac]

Une fois arrivait à destination il ne tarda pas à se rappeler ces mots :

"Mimi à pour habitude de faire la sieste après le déjeuner sous un noyer prêt de polignac sur une petite colline. C’est à ce moment qu’elle sera la plus vulnérable, et qu’il faudra frapper. Tu arriveras prêt d’elle sans te faire remarquer, et l’assommera d’un bon coup de bûche sur le coin de la tête…"

Près de la supposée colline il se mit à chercher ce fameux noyer. Enfin il découvrit effectivement Mimi entrain de se prélasser au soleil…il s’approcha discrètement, ramassa une petite bûche et l’assomma d’un coup sur l’arrière de sa tête !

Une fois son forfait accomplit c’est là que cela se compliquait. il fallait transporter Mimi jusqu'à la mine d’Aurillac sans se faire prendre par des gardes car une femme ligotait et transportait sur l’épaule cela faisait plus que louche…mais surtout bien que Mimi n’était pas très lourde le poids allait se faire sentir assez rapidement durant le trajet….Murat…..Aurillac….la mine


[L'entrée de la Mine]

Dans l’antre du monde du silence…
kratos ne fut pas inquiété durant son périple et cela allait dans la continuité car à l’entrée personne…Pas de garde ! Ce dernier devait etre entrain de faire sa pause déjeuner....

Vite ! Il faut se dépêcher avant que les gens viennent travailler ! kratos déposa Mimi quelques instants et consulta la carte de la mine. La lumière du soleil permettait de voir un peu mais en s’engouffrant dans la mine il ne verrait bientôt plus rien !
Une torche, Mimi !!? Il ne pouvait s’encombrer mais que faire ?
Il prit donc un des chariots qui sert a remonté les caillasses et autres à la surface pour y installer Mimi.
Cela fait il prit une torche et continua à s’enfoncer dans la mine en tirant avec lui Mimi…

La salle secrète était enfin là mais les derniers mètres avait été plus que difficile en effet il avait du abandonner le chariot et avait du reprendre Mimi sur son dos dans un des dédalles de la mine qui était peu fort accueillant !


[la salle secrete dans la mine]

Il entra dans la salle et ferma derrière lui. Il mit Mimi sur le sol et commença à réfléchir à la suite des événements….

...Mais deja au loin des bruits ! Les premiers travailleurs venaient d'arriver...kratos ne pouvait plus revenir en arrière.

zeze5 a écrit:
[L'entrée de la Mine]

En voyage dans le Duché, Zézé avait quitté Polignac avec son compagnon, Sandino. Ils étaient arrivé à Aurillac, mais trop tard pour trouver un emploi à la mairie, il ne restait plus que la mine.
Se présentant à l'entrée on leur donne des outils pour accomplir leur travail de la journée.

Ca faisait longtemps que Zézé n'avait pas travaillé à la mine, mais en voyage il ne fallait pas être difficile. En plus il fallait voir le coté positif de la chose, elle allait surement faire des rencontres.


Le salaire n'était pas élevé, mais ça suffisait pour acheter un bout de pain et boire quelques bières en taverne. Prenant son courage à deux mains, Zézé entre dans la mine, une journée est vite passé, demain elle trouverait surement un autre emploi et cette fois en plein air.....
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:36

rastero a écrit:
[Dans une galerie de la mine]

Rastero avait commencé son travail bien avant tout le monde, au moins il en ressortirait plus tôt. Et puis au moins il était sur de ne pas croiser des désagréables qui lui prendrait le coin qui lui semblerait le meilleur.

Pas un bruit dans la mine. Jusque le claquement sec du métal dans la roche.
Déjà mal au dos... quelle guigne ! Il prit une pose et se redressa, son dos craqua. Mauvais signe, ce soir il serait surement mal en point.

Il entendit quelqu'un, on aurait dit qu'il passait le balai dans les galeries, l'idiot ! Rastero tourna la tête et aperçut une silhouette...
Il s'approche, un peu curieux. Finalement, il aperçoit un sac, ce qui produisait le bruit étrange.


Eh !!

L'homme s'éclipsa dans une galerie bien sombre. Rastero entendit des bruits très bizarres. Sa curiosité l'emporta, il n'est pas maréchal pour rien celui là ! Il s'engagea dans le couloir bien qu'il ne put rien y voir, sa pioche à la main au cas ou...
Pourvu que personne ne lui choppe son petit coin de travail entre temps !


gujda a écrit:
Apres un court voyage en charrette Gujda se retrouva à la mine d’Aurillac. Il descendit avec ces compagnons de route, prit une bouffée d’air et pénétra dans ce tunnel qui se présentait devant lui. A chaque pas il s’enfonçait un peu plus dans les galeries sombres et humides. Quelques hommes et femmes travaillaient déjà, il les salua d’un signe de tête. A la lueur d’une torche, il avançait difficilement. Les tunnels se rétrécissaient et c’est plié en deux que l’homme arriva à son poste. Il coinça sa torche sur la paroi, s’allongea, cracha dans ses mains, saisit une sorte de barre de fer et commença à frapper la paroi. Un coup, puis deux ... très vite Gujda dû s’interrompre pour ôter sa chemise tant il transpirait. L’air y était lourd. Puis torse nu, il reprit son pénible ouvrage ....


Dernière édition par Inamphus le Dim 29 Juin - 5:37, édité 1 fois
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:37

Gotetdeb a écrit:
Gotetdeb avait pris la route pour la mine d'Aurillac depuis 3 jours. Le trajet était long depuis Thiers mais heureusement il ne faisait pas le trajet seul. Son amie Kroquette lui avait proposé de faire le chemin ensemble, [i]pour plus de sécurité et surtout pour passer un bon moment.
Le jour du départ ils devaient aussi retrouver Kratos, lui aussi de Thiers, mais personne ne l'avait vu. Ne pouvant attendre, ils décidèrent de prendre la route pour rejoindre l'équipe de mineurs dans les meilleurs délais.
Got se demandait vraiment ce qu'allait faire Kroquette au fond de cette mine.


"Je veux être mineur moi aussi" disait-elle.
Ce n'est pas un métier pour les jolies dames ça tu sais Kroquette ! il y a beaucoup de risques au fond de la mine. Les éboulements, les poches de gaz, la poussière. Et puis le travail est usant. Porter les seaux, piocher, retourner le sol, casser les blocs : il faut avoir une grande force pour extraire le minerai.

La conversation ne manquait pas entre les 2 marcheurs. Peut être allaient-ils rattraper quelques personnes qui leur proposeraient de continuer le chemin avec eux ? mais ils ne semblaient pas avoir envie de partager leur temps avec quelqu'un d'autre. Ils étaient contents et heureux des bons moments qu'ils avaient et allaient passer ensemble. Et puis quelques jours comme ça pour découvrir le duché c'est irremplaçable ! Les nuits, ils les passaient à l'abri dans une grange, bien au chaud sous la paille...guétant l'arrivée d'un paysan qui aurait pu les sortir à coup de fourche !

La route était encore longue, il fallait penser à manger et à boire pour conserver ses forces pour la mine. Got, boulanger de métier, avait préparé quelques miches de pain et avait pensé à y ajouter quelques noix. Kroquette se régalait. Elle avait pris quelques légumes, tous frais de la récolte de la veille. Pomme de terre, salade, carotte...
Ahhhh, la vie de vagabond ! ça a du bon quelques fois !

Ils arrivèrent enfin à Aurillac. La mine n'était pas très difficile à trouver, il suffisait de suivre les gens qui arrivaient d'un peu partout.
Ils se dirigèrent vers le bureau de l'administration pour voir s'il restait 2 places pour les accueillir.

L'inscription faite, hop ! au boulot !


arrière plan a écrit:
[devant la mine]

Un couple s'approche pour s'inscrire et aller travailler. Sourire en coin de l'employé.

Allez-y !
Descendez vos outils, puis prenez moi ces tonneaux d'eau et mettez les dans un coin dans la mine, avec cruches et choppes !

Il regarde Gotetdeb avec un petit sourire. Ce dernier ne manquerait pas de montrer au combien il était fort à la Dame, et travaillerait bien plus vite... Une véritable aubaine !


VentNoir a écrit:
Déjà plein de monde a la mine...kaze avait pris du retard a cause d'un de ses cochons, c'était pas le moment de tomber malade.

il s'inscrit et prend son matériel de mineur, il était l'heur de s'enfermer dans le noir et la poussière, "c'est bon pour la santé...la santé de la ville parce que la mienne..."

kaze s'attela à la tache, une seul chose en tête pour garder le moral, "je me demande se qu'elle fait en se moment même" pensait-il, un soupire et des coups de pioche...


PrincesseLaure a écrit:
Laure arriva sur le lieu du rassemblement et alla s'inscrire...prit le matériel et commenca à travailler tout en pensant a sa fille, son mari, aux gens, les affreux du BA tout le monde...


rastero a écrit:
[Dans la mine]

Des bruits se faisaient entendre, les mineurs arrivaient, il vallait mieux se dépecher.
Il se pressa dans la galerie poussièreuse et sombre, l'air devenait suffocant.
Le chemin se rétrécissait autant en hauteur qu'en largeur et bien qu'essayant d'être discret, sa pioche cognait par moment révelant sa présence.


Mais qui est-il ? Que volait-il dans ce sac ?

Rastero imaginait un sacs plein d'or. Il se hâta, et là... un cul de sac !!
La galerie était vide ! Personne !
Il examina les lieux comme il put et rebroussa chemin, il était certain que quelqu'un était dans les parages...

Il reprit le chemin vers sa position de travail, en restant attentifs aux bruits suspects. Il se retournait par moment. Que se passait-il ici ? Il avait l'impression d'être surveillé et cela ne lui plaisait pas du tout !


kratos47 a écrit:
Kratos assit dans un coin de cette salle secrète se tenant la tête. Quelque chose le tracasse. Pourquoi cette demande si particulière !!? kratos est loin d’être un homme sans principes ni valeur, pourtant il est là dans cette mine avec à coté de lui Mimi assommait…

Cette dernière reprend enfin ou plutôt malheureusement connaissance.
Elle bouge, elle cherche à voir qui est son agresseur ?
Seulement l’obscurité est telle qu’elle ne peut distinguer son visage. on dirait qu’elle veut crier mais la force ou le courage lui manque.


Elle murmure :
Qui êtes vous ? Que me voulez vous ?

Kratos tapit dans le noire total….

Tout ce passera bien pour toi si tu coopères
Tout d’abord, on ne crie pas ! On ne gémie pas ! On ne respire pas ! dit il d’un ton froid.
Si tu me gènes et bien je n’aurais pas le choix….


Mimi semblait terrorisée. Une voix, un homme mais aucun visage a lequel pouvoir s’identifier ! La peur et l’angoisse l’envahissent…
Voyant cela kratos revient sur ses paroles.


Bon je vais être franc avec toi !
Je n’ais pas prévu de te faire du mal. Je ne peux t’en dire plu…


A ce moment là un bruit ! kratos se lève !

Non finalement rien…ce n’était qu’une fausse alerte…

Mais a cause de son déplacement mimi venait de découvrir le visage de kratos.
Qu’allait-il arriver ?


[quote="Magic"]
mimicracra a écrit:
L'inconnu parlait, menaçait... Mimi regardait la silhouette, il lui semble tout à coup entendre du bruit, elle dresse l'oreille discrètement.

Léger sourire lorsqu'elle voit l'homme s'agiter lui aussi.

Il se déplace légèrement, son visage ne paraît pas si menaçant, juste pas sûr de lui, limite aussi terrifié qu'elle.

Histoire de le distraire un peu, on ne sait jamais, si le bruit avait été réel, s'il y avait quelqu'un pas très loin...

Elle reprend courage à cette idée, et commence à parler d'une petite voix douce.


S'il vous plaît, je n'ai pas dans l'intention de crier... Aidez moi à me redresser... mes liens me font mal...

Quel mal voulez vous que je vous fasse ? Que risquez vous ?...

S'il vous plaît...

lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby se tuait à la tache sans cesser de raler, elle jetta un oeil a droite, à gauche pas un qui parlait...
Elle ne pouvait subir la mine et le silence c'etait trop pour elle! Son dos tirait et elle grimaca lorsqu'une légère odeur de soufre provint des profondeurs. Son mal de dos la lancait. Se disant que ca lancerait peut etre la discution elle dit


Dites amis mineurs y a que moi qui ai mal au dos... Non parceque c'est pas tenable !


Elle se redressa et posa sa pioche, regardant ses compagnons d'infortune souterraine de la journée


kratos47 a écrit:
Kratos tourna la tête vers mimi. Cette dernière tentait de l’attendrir mais kratos ne voulait rien entendre.

Non tes supplications ne me font rien ! Si tu as si mal et bien débrouilles toi seul !
Je n’ais pas le temps pour ces sottises.


Kratos était dur mais au fond de lui, il culpabilisait…
Il n’était pas de nature méchante seulement il devait faire ce qu’on lui avait demandé.
Mais toujours cette éternelle question. Pourquoi ?
Kratos avait l’impression de se faire manipuler, de n’être qu’un pion parmi ce vaste échiquier qu’est la vie…

Kratos avait beaucoup de question sans réponses qui tourmentés son esprit à chaque minute passait dans cette mine. De plus l’humidité de la pièce, le fatiguait légèrement surtout après avoir fait un aussi long périple pour finir ici.

La détachée ! Il le faudrait pourtant bien pour qu’elle puisse ne serais ce que se nourrir…

Que faire ? Mais que faire ?
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:38

arrière plan a écrit:
Le contremaitre était dans les boyaux et inspectait le travail des mineurs. Dehors les tire au flanc ! Il fallait trouver de l'or pour gagner son salaire.

Les mineurs travaillaient pour la plupart de manière assez dynamique. Il passe à côté de l'un d'entre eux, un léger sourire aux lèvres... torse nu... travail pénible ou tentative pour impressionner les diverses femmes travaillant ici ? Le contremaître se rapproche pour observer de plus prêt... de la sueur. Bon... Il ne peut néanmoins s'empêcher de "l'encourager"


Allez ! Il faut piocher plus vite...

Il poursuit son avancée en regardant tout le monde.

Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac Piquagegv0

Il arrive au niveau de Lullaby et l'entend se plaindre de son dos...

Et bien ma Belle ! Cesse donc de geindre... Si tu as mal au dos, c'est signe que le travail se fait... Lorsque que tu auras mal au dos, aux bras, aux mains enfin partout, c'est que tu travailleras vraiment !

Il sort une fiole de son sac et la lui tend.

Tiens bois un peu et remets toi au travail !

Sur ces entrefaits, il poursuit son avancée, lui laissant la fiole.


zeze5 a écrit:
Zézé travaillait comme tout le monde, enfin plus ou moins. C'est vrai que le travail était dur. Beaucoup de personne était là pour les même raison...non pas un bal !!
Une dame à coté d'elle se plein de son dos, elle se retourne vers elle, s'approche en lui tendant la main.

- Oh !!! non pas pov dame, je suis dans le même état que vous, je me présente je suis Zézé, je viens de Polignac, un village de fous, enfin là n'est pas la discussion
...

Elle va chercher deux chopes d'eau et en tend une à sa compagne de travail.

- On va se tutoyer, si tu le veux bien, on est pas dans un bal du Duché...

Au loin on pouvait entendre les autres mineurs qui chantaient, elle s'approche de la salle voisine et voit ça!!!


lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby se fit soufflet par le contremaitre, elle soupira.

Vous avez vu les jolies mains que j'ai !?

Ralant qu'elle aurait mieux fait de rester dans sa chancellerie plutot que de venir ici, elle se rememora la sublime robe rouge et de force pris la fiole.
L'ouvrant elle en sentie le contenu et grimaca


Qu'est ce que c'est que ce truc !

Grimaca à chaque fois qu'elle tentait d'en boire, elle vit une jolie brune approcher.

Oh !!! non pas pov dame, je suis dans le même état que vous, je me présente je suis Zézé, je viens de Polignac, un village de fous, enfin là n'est pas la discussion...
On va se tutoyer, si tu le veux bien, on est pas dans un bal du Duché...


Elle prend la chope d'eau et en boit une bonne rasade


Merci ! Moi c'est Lullaby De Grimwald, mais en version courte ca donne Lu.

Elle fait un sourire

Moi je suis..du BA pour faire court aussi...

Jettant un oeil au contre maitre elle donne un ou deux coup de pioche supplementaire histoire de.. Sentant de nouveau le souffre.[/i
Dit c'est normal ct odeur ?

kazanier a écrit:
Kazanier arriva à son tour, s'inscrit et prit les outils qui lui étaient proposés puis se dirigea vers l'entrée de la mine.

Quelques Polignacois étaient déjà au travail. Il apercut Laure au loin .

Pour ne pas tout chambouler, il lui fit signe d'un clin d'oeil pour qu'elle sache qu'il était bien arrivé et commenca à travailler ...


mimicracra a écrit:
[dans la mine]

[i]Toujours ficellée, les poignés et chevilles endoloris, Mimi n'ose plus parler. Gesticulant par moment pour essayer de desserrer les liens sans grande conviction. Elle commence à ne plus sentir ni ses mains ni ses pieds.

Son agresseur semble perdu dans ses pensées, mais elle le laisse un moment avant de murmurer.


S'il vous plaît donnez moi au moins de l'eau...


Mélusinne a écrit:
[A l'extérieur]

Mélusinne était venue accompagner ses amis qui allaient travailler à la mine, Gujda, Zézé, Laure, Kazanier,Rastero tous étaient descendus dans la mine. Mélusinne quant à elle avait préféré cueillir des fruits, elle n'aimait pas trop les lieux étroits et sombre. brrrrr elle frissona en pensant à l'ambiance qu'il devait y avoir au fond de cette mine. En passant près de l'entrée elle pouvait entendre un groupe de mineurs chanter....

On pioche pic pac pic pac dans la mine des jours entiers.....hey oh! On pioche pic pac...

Elle continua sa route vers le verger.


kroquette a écrit:
(dans la mine)

Kroquette avait la tête ailleurs... La route avait été longue mais agréable auprès de Got . Mais depuis leur arrivée, l'ambiance était tout autre.
Elle se doutait que le travail allait être dur mais à ce point...
Déja ils avaient du commencer par descendre dans les galeries les tonneaux d'eau , les chopes et les cruches . Galant comme il est Got s'était chargé des tonneaux ne laissant que le moins lourd à kroquette mais cela pourrait dire durer? Il pourrait peut - être pas l'épauler de la sorte à tous moments.

Quelques mineurs étaient déjà présents, des hommes , des femmes surtout des femmes d'ailleurs, comme c'est étrange .
Chacun se tuait à sa tache, travaillant de plus belle au passage du contre maitre qui n'avait pas l'air d'être là pour rigoler.

Leurs outils à la mains Got et Kro se mirent à leur tour à frapper les caillasses, le bruit était assourdissant et l'air irrespirable .
Au bout de quelques minutes, Kro dut poser sa pioche et se recouvrir le visage de son écharpe laissant juste ses yeux de libre, ainsi elle s'évitait d'inhaler toutes ses poussières si désagréables.
Puis elle se remit au travail...


arrière plan a écrit:
Le contremaître se retourne en entendant Lullaby.

Une odeur ?

Le nez en l'air...

Non, ce n'est rien, je ne sens rien. Il fait toutefois demi tour à la recherche des volatils restés en haut.


lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby vit le contremaitre s'eloigner, clin d'oeil a Zézé et elle pose sa pioche. Décidée a bien voir pourquoi y a cette odeur, la blonde s'avance dans les entrailles de la terre. Des cavités deci dela, des portes bloquant des accès, des voix.

Parfois l'odeur se fait sentir, d autre fois rien d'anormal, sa curiosité la pousse à avancer encore....




(hrp: absente ce week end donc Lu s'eloigne des autres)


kratos47 a écrit:
[dans la mine]

Kratos culpabilisait, il avait un grand moment de faiblesse qui allait sûrement le conduire à sa perte. Ne sachant que faire ! il continuait de chercher des questions à ses réponses.

Mimi quand a elle cherchait à desserrer ses liens visiblement en gesticulant dans tous les sens.


"S'il vous plaît donnez moi au moins de l'eau..."

De l’eau !!!? oui à une seule condition que tu me dises pourquoi ! une personnes est venu chez moi alors que je dormais et m’a menacé pour que je t’amène ici ?

Kratos savait qu’il n’aurait pas du parler de cela mais cette situation ne lui plaisait guère.

Alors je veux des explications ! tu dois en déranger pas mal pour que l’on me demande de te séquestrer ici !

Kratos s’assit et prit la gourde en attendant la reponse de Mimi


gujda a écrit:
[dans la mine]

Gujda vit le contremaitre s’approché de lui et le contempler avec un rictus. Il s’arrêta de frapper la paroi un instant et lui jeta un regard sombre.

Allez ! Il faut piocher plus vite... lui dit le contremaitre. Gujda eut envie de lui dire : « puisque c’est si simple tu n’as qu’à le faire toi-même » puis, il se ressaisit, il avait besoin de cet argent. Il serra la barre de fer et tapa rageusement dans la paroi. De la poussière et quelques éclats jaillirent.
Quel travail, tout ça pour enrichir le Duché et les nobles, ainsi ils peuvent se goinfrer et se couvrir de riches étoffes pendant que le bon peuple se tue à l’ouvrage...


mimicracra a écrit:
Les choses ne s'arrangeaient pas bien au contraire...

Alors je veux des explications ! tu dois en déranger pas mal pour que l’on me demande de te séquestrer ici !


Mimi reste bouche bée quelques instants pour assimiler cette nouvelle information et s'insurge.

Mais vous êtes malade !!!! Vous vous êtes trompé de personne, relisez vos instructions, je ne sais pas, mais relâchez moi vous faites erreur.

Elle gesticulait, pestant rageant...

Quelqu'un qui voudrait me séquestrer... pffffff il faut être dérangé pour penser ça ! Le nigaud ! Il s'est trompé de personne !
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:40

MizzChloe a écrit:
Pour ne pas manquer à ses habitudes, Chloé arrive en retard à la mine. Quelques minutes auparavant, elle essayait de tuer un de ses cochons. Elle détestait ça, mais bon... ça valait le coup, ça rapportait bien. Bref, dur caractère le porcinet! La Chloé s'était retrouvée à terre, les fesses les premières dans la boue. Tant pis, elle n'avait pas pris la peine de se changer ni de se débarbouiller. Lorsqu'elle sortira de la mine, elle ne sera pas bien plus sale.
Comme à chaque fois, elle s'inscrit à l'entrée, prend les outils donnés puis entre dans la première galerie venue. C'était sombre et froid. Ca donnait la chaire de poule. Elle n'aimait pas trainer ici. Elle s'avance un peu plus dans le long couloir. Toujours le même bruit. Celui de la pioche contre la paroie. Gling, gling, gling...
En passant, elle remarque quelques têtes connues. Petit signe de la tête, puis elle continue tout droit. Il lui fallait un endroit tranquille et isolé, histoire de pouvoir se reposer et souffler un coup sans vraiment être vue.
Ici! Elle s'arrête, pose sa besace, puis empoigne fermement sa pioche.
Hop hop hop, c'est parti...


kratos47 a écrit:
[dans la mine]

Mais vous êtes malade !!!! Vous vous êtes trompé de personne, relisez vos instructions, je ne sais pas, mais relâchez moi vous faites erreur.

Kratos fut surpris de la réponse de mimi. apparemment aucun des deux ne savait ce qui se passé
Pourtant kratos avait été menacé dès son réveil par quelqu’un qui lui avait pourtant bien exigé de faire tout cela. Assommer mimi et l’amener dans cette mine…


Kratos prit sa gourde et s’approcha de mimi

Tiens bois ! il l’aida pour se faire
Bon alors admet-on que tu ne saches rien….
Je vais être quand même obligé de te garder ici quelques jours


Mimi eut fini de boire deux ou trois gorgées
Kratos prenant un ton menaçant se tourna vers la prisonnière.


Bon alors tu crois que l’on peut survivre combien de jours ici... dit il en disparaissant dans l’obscurité.

Sa nyctalopie lui permettait de garder un œil sur mimi .un bruit de métal contre une pierre se fit entendre. il venait de sortir son couteau mais mimi ne pouvait plus voir ou distinguer ce que kratos faisait l’obscurité était trop forte.

Un grand moment de silence. Il vit la jeune femme frissonner. il enleva sa cape et s’approcha de mimi pour la couvrir.


Je ne peux te détacher mais je ne vais pas te laisser mourir de froid ou de faim…


rastero a écrit:
Rastero avait repris sa place, toujours autant contrarié et anxieux.
L'homme n'était forcément pas un mineur...

Il continua d'attaquer la roche. Une odeur bizarre et désagréable... même inquiétante se fit sentir.
Elle fut suivit par des grondements sourds tout aussi stressants. On pouvait par endroit entendre de la terre tomber au sol.
Certaines personnes s'inquiétaient demandant à tout va :
C'était quoi ? C'était où ? Sieur le contremaître !!

Une certaine tension était palpable. Et si l'homme voulait...
Non, il ne préférait même pas y penser...


mimicracra a écrit:
[dans la mine]

Son agresseur, un peu calmé, donne enfin un peu d'eau... Tendant le cou, elle parvient à boire quelques gorgées. L'eau coule en partie sur son menton, puis dans le coup. Léger frisson et sensation de bien être.

Mais l'acalmie ne dure pas longtemps....


Bon alors tu crois que l’on peut survivre combien de jours ici...

Elle sursaute, écarquille les yeux et est prise d'une grande panique.


Quoi ?!!! Combien de temps ?!!! Elle reste muette quelques instants, puis reprend dans un murmure.

Comment voulez vous que je le sache ? Vous n'avez rien prévu ?


kratos47 a écrit:
[dans la mine]

Mimi dans un murmure :
Comment voulez vous que je le sache ? Vous n'avez rien prévu ?


Je ne parle pas de la question de se nourrir tout est prévu. Je parle de cet endroit ! cette humidité ainsi que cette obscurité je ne pense pas que vous tiendrez bien longtemps…

Une mauvaise odeur commença à se faire sentir puis un léger tremblement de terre.

Qu’est ce que… il se dirigea vers la porte et resta collé contre elle.
Une fois les dernières secousses ressentit. Il se tourna vers mimi et lui dit :


C’était quoi ça ?


rastero a écrit:
Rastero tomba a terre, la terre tremblait !!
Il se releva paniqué et chercha quelqu'un du regard... Personne ici !
Quelle idée de descendre aussi profondément...

La seule aide possible était partie dans la galerie sombre, il y retourna au pas de course et y fit un bruit du tonnerre en cognant de toutes ses forces restantes dans la paroi.
Le bruit était assourdissant, mais une deuxieme secousse suivie de cris se fit sentir.


Eh ! Sortez de votre trou !!! Vite !!!

La panique commençait a gagner la mine.


HRP : Rendez-vous ici pour la suite :http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=309559
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:41

arrière plan a écrit:
Pendant que tout le monde travaille, râle, peste, sue, certains recherchent d'où provient une odeur...

Coup de pioche malheureux ? La mine commence à s'effondrer du côté de Murat entrainant celle de d'Aurillac.

Une détonation parcourt l'ensemble de la mine, des oiseaux ne chantent plus... des cris et une mine s'effondre tel un château de cartes sur des mineurs qui tentent de s'enfuir.


Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac Coupgrisousmallln4


hrp : le RP se poursuit à Aurillac pour ceux qui s'y trouve, et ceux de Murat restent à Murat. Tout le monde sera sauvé, 2 entrées 2 sorties...


zeze5 a écrit:
Beaucoup de mineurs parlaient d'odeur étrange, inhabituelle. Zézé n'y avait prêté attention, tout occupé à son travail, qu'elle voulait finir au plus vite pour sortir de là.

Une explosion, au loin. Et tout ce passe si vite que personne n'a le temps de sortir..La sortie était si proche et en même temps si loin.
De la poussière, beaucoup de poussière...Des poutres qui tombent, des cris.

Zézé ne sait pas si elle doit fuir ou rester sur place...Elle reste sur place, se met en boule dans le renfoncement de la roche, la tête entre ses genoux et les mains sur la tête, les yeux fermés. Des cris encore et encore. La peur au ventre, elle reste là et attend.
Peut être qu'elle allait mourir.....


kroquette a écrit:
Kroquette ne s'était pas trompée, cette odeur, jamais elle n'en avais senti une pareille.
Très vite, ce grand bruit, comme un grondement sourd lointain mais qui semblait se rapprocher petit à petit...
Tous avaient laché pioches et pelles les yeux rivés vers l'inconnu. Gotetdeb était là et lui avait prit la main comme pour la rassurer. Un grand réconfort que de le savoir à ses cotés, car elle se doutait que le pire était à venir.

Tout alla très vite, les pierres roulèrent de toutes parts, c'est alors qu'ils essaiyèrent de se mettre à l'abri en se recroquevillant et se blottissant l'un contre l'autre dans un coin de la galerie.

Des femmes criaient, c'était un spectacle afligeant et apocalyptique ...


jr59530 a écrit:
Jr arriva à la mine, il prit son equipement et se mit au travail avec le reste de ses collegues mineurs


cloclo a écrit:
[hrp : Après une absence due à des problèmes "irl", me revoici, tout d'abord pour remercier chaleureusement LJD mimicracra et de Sibille d'avoir "assuré" aussi bien Smile

Donc, petit rappel :
- l'explosion vient d'avoir lieu dans la mine
- les "joueurs" des mineurs enfermés continuent à poster sur la halle de Murat ou d'Aurillac, selon le lieu où ils sont entrés dans la mine.
- il va bientôt y avoir une déclaration officielle de Messire Valezy
- secours, familles, journalistes, etc, arriveront sur le lieu après cette annonce.

arrière plan a écrit:
Le commissaire aux mines, Messire Valezy va faire un communiqué officiel, merci d'annoncer la catastrophe une fois cette annonce faite. Chaque journaliste sur sa propre halle pour informer sa ville.
Les secouristes pourront ensuite se rassembler avant de partir sur les mines, et les familles pleurer...

- pour discuter du déroulement du "rp", RV sur la gargote : questions, idées, suggestions sont en effet déposées uniquement :ICI

Merci à toutes et tous pour votre participation, et bon jeu Wink ]


rastero a écrit:
[Profond dans la mine]

Rastero arriva à nouveau au fond de la galerie sombre.

Montrez-vous !!! Je v...

Il fut déséquilibré par une violent secousse, se cogna la tête contre la paroi et tombé sonné à terre. Des cris, du bruit, des odeurs, de la poussière... Rastero ne ressentait rien... Il était ailleurs.
Pourvu que l'homme le trouve où il pourrait bien rester là...


gujda a écrit:
La matinée était déjà bien avancée lorsque le drame arriva. Les choses se passèrent à une vitesse terrible et Gujda ne comprit pas ce qu’il lui arrivé. Il frappait la roche quand ... un grondement sourd, d’énormes secousses et un épais manteau de poussières prirent possession de la mine ...
Affolé, l’homme lâcha sa barre de fer, saisit la torche qui se trouvait près de lui et se mit à partir le plus vite possible vers la sortie. Mais hélas il était trop tard. Après avoir parcouru quelques mètres, Gujda se retrouva, avec ces compagnons d’infortunes, prisonnier de la mine, prisonnier de la terre.


NNNOOOONNNNNNNNN hurla-t-il. Il se tourna vers les personnes proches de lui, il était essoufflé, et toussait pour chasser les poussières qu’il avait respiré.

Qu’allons nous devenir ? demanda t’il ......


mimicracra a écrit:
Toujours couchée, ficelée, Mimi se demandait encore si elle n'entendait pas une voix... surement le fruit de son imagination, un souhait.

Soudain un bruit énorme envahi l'espace, les parois s'effondrent.

Elle pousse un cri strident et se recroqueville sur elle même en attendant que le calme revienne.


kratos47 a écrit:
[dans la mine]

Un bruit sourd et des vibrations sur les parois de la mine. Tout s’écroule. Un moment d’apocalypse. il s’approcha rapidement de mimi pour la protéger. Des pierres tombent sur kratos qui serre mimi de toute ses forces. De la poussière remonte le long de la cavité. Un souffle puissant balaye tout sur son passage….

Kratos a perdu connaissance, assommé par les débris de pierre. Mimi est saine et sauve et voit le couteau de kratos mais elle ne fait rien pour l’instant car les tremblements de terre repartent de plus belle…
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:42

kazanier a écrit:
a peine avait-il eu le temps d'entendre Rastero crier que kazanier fut propulsé contre la paroi de la mine ... une énorme explosion venait d'avoir lieu ... cette odeur ? mais oui bien sur !!!! personne n'y avait vraiment prêter attention. Une poussière énorme envahit l'intérieur de la mine et Kaza ne pouvait voir ou se trouvaient les autres habitants ... seuls des cris des toussottements se firent entendre.


Laure !!! Laure !!!! ou es-tu ????? réponds-moi si tu m'entends ?????
aucune réponse ...


Il essaya tant bien que mal de se dégager de tout cet amas de pierres mais rien à faire, ses jambes semblèrent complêtement coincées. Impossible de eles bouger. Une douleur immense l'envahit d'un coup ... à peine le temps de reprendre ses esprits pour réaliser ce qui venait de se passer que kazanier perdit connaissance ...


Parsxino a écrit:
[Aux abords de la mine]

Parcxino avait passé le début de la matinée avec Kaze, avant qu'il ne la quitte pour aller à la mine. Elle avait ensuite été en forêt, pour chercher ces plantes qui lui étaient tant utiles pour soigner. Petit à petit ses pas l'avaient menée jusqu'à proximité de la mine. Le ciel gris n'avait pas bougé, mais l'angoisse serait de plus en plus son coeur.

Arrivée en vue des bâtiments de la mine elle ressentit la plus forte secousse de la matinée. Et c'est avec horreur qu'elle vit un gros nuage de fumée sortir du puit de la mine. Ce qu'elle craignait le plus venait d'arriver...


Oh non... Kaze.... KAAAZEEE !!!

Elle resta un instant comme bloquée... Il fallait qu'il soit encore en vie, elle devait le sortir de là... et les autres aussi. Elle courut en direction du village. Elle prévint la première personne rencontrée du drame.


Inamphus a écrit:
[Au village]

Je montais Potiron, prête à partir sur les chemins. Je devais m'arrêter à la mairie remettre quelques dossiers à Alayne, mes bras étaient emplis de divers parchemins et ma sacoche pleine de plumes et encriers de toutes sortes.

Je vis arriver une Parcx apeurée et blême.
Elle criait mais je ne comprenais pas ce qu'elle essayait de me dire.
Je sautai à terre, et vins vers elle.

Parxc, Parcx, calme-toi. Que se passe-t-il? Explique-moi calmement.


Parsxino a écrit:
[Au village]

Parcxino s'arrêta essoufflée... Elle essayait d'être claire... Elle devrait y arriver pourtant, mais Kaze...

Kaze... la mine, partit dans la mine Kaze, les autres...

A bout de capacité d'organisation, elle finit par un grand geste.

La mine... pouff... les gens dessous... pouff... Kaze aussi...


Inamphus a écrit:
[Au village]

Je n'avais jamais vu Parcx dans un état similaire. Quelque chose de grave était arrivé. A Kaze, à la mine... Il me fallait m'y rendre pour comprendre, et pouvoir aider si je pouvais. J'étais inquiète.
Je fis monter Parcx sur Potiron qui se laissait faire, et me dirigeai vers la mine.


[Place St Géraud]

En passant, près de la Place St Géraud, un crieur annonçait :
Citation :
Bourbonnais-auvergnats,
Bourbonnaises-auvergnates,

Oyez ! Oyez !! Qu'il soit porté à votre connaissance bien triste nouvelle !!

Aujourd’hui même, la mine d’or situé entre Murat et Aurillac s’est écroulée, ensevelissant sous les décombres les dizaines de mineurs qui y travaillaient.
A cet instant des pères, des mères, des frères ou des soeurs, des amis ou de simples connaissances se trouvent blessés, enterrés vifs dans les galeries de la mine ou pis encore…

J’implore tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté : venez contribuer à sauver ces malheureux.
Que les plus robustes et les plus vaillants d'entre vous se rendent sur place pour œuvrer à dégager la roche, que les plus érudits et les plus volontaires viennent donner des soins aux blessés et que les autres accordent une place dans leurs prières aux victimes de ce terrible accident.
Ainsi toute aide, de quelque nature qu’elle soit, sera la bienvenue.

Puisse le Très Haut et ses Prophètes veiller sur nos frères et soeurs blessés et donner la force aux sauveteurs d'accomplir leur devoir.

Fait à Clermont,
Le quinzième jour du mois de mars de l’an de grâce 1456.

Valezy,
Commissaire aux Mines du Bourbonnais-Auvergne.
La mine s'était effrondée. Oh mes amis! Il devait y avoir tant de monde dans la mine à cette heure-ci.
Parcx ne disait mot, choquée certainement et je la comprenais. Son Kaze devait être pris dans l'éboulement.

Je criai afin que les habitants d'Auri sortent de chez eux.

Au secours! A l'aide! La mine s'est effondrée!! Venez tous! Ils ont besoin de nous!


Lostris64 a écrit:
[Place St Géraud]

Lostris passait aux abords de la Place St Géraud quand elle entendit hurler :
Au secours! A l'aide! La mine s'est effondrée!! Venez tous! Ils ont besoin de nous!

Elle se mit à courir et vit que c'etait Ina qui criait ainsi...Parcx était avec elle, sous le choc.

Seigneur !! Il faut aller les aider... !!
Je vais aller sonner les cloches de l'église pour ameuter les villageois...
Parcx, tu devrais peut être aller chercher des onguents ou je ne sais quoi, enfin de quoi soigner !.
Ina, et si tu allais de ton côté à la clinique chercher aussi bandages et autres...
On se rejoint ensuite à la mine...


Lostris se mit à courir vers l'église en criant tout le long du chemin :
Alerte !! ALERTE !!! La mine s'est effondrée !! Tous à la mine !!

Elle arriva enfin à l'église essouflée, la voix totalement éraillée...
Elle s'agrippa de toutes ses forces à la corde pour faire retentir les cloches à toute volée ...

Elle s'arrêta enfin et partit en courant direction la mine.
A chaque personne qu'elle croisait, elle clamait :
La mine... s'est effondrée... Secours !! Vite ! tout en continuant son chemin.


VentNoir a écrit:
[la mine...]

kaze ouvrit les yeux péniblement, tout était noir, un mélange de poussière et de fumer emplissait ses poumon et rendait la respiration difficile.

oula quesque je fait a terre moi ? ou suis-je ?

kaze resta sonner un moment, avant de se rendre compte qu'une grosse pierre lui était tomber dessus et avait réduit l'os de sa jambe en miette. il ressentait une douleur mais plus sa jambe, il essaya de se relever toujours sonner mais la douleur le fit revenir a lui et il poussa un cri étouffé.

que c'est-il passé ? il y a quelqu'un ? ça va trahissait une panic grandissante...
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:43

Inamphus a écrit:
[Place St Géraud]

Alors que je ne cessais de crier, m'inquiétant pour Parcx et pour les mineurs ensevelis, Lostris courut vers moi. Je n'avais qu'une hâte c'était de me rendre à la mine afin de constater les dégâts et agir ensuite en conséquence.

Mais le temps pressait, il y avait surement des blessés, Lostris nous répartit les rôles, nous devions agir vite.

Ina, et si tu allais de ton côté à la clinique chercher aussi bandages et autres...
On se rejoint ensuite à la mine...

D'accord Lostris, j'y vais, on doit faire vite!

Je lançais un regard à Parx qui hochait la tête en signe d'approbation, et me mis à courir vers la Clinique de Nin. Je laissais Potiron à Parcx. S'il la dérangeait, il avait déjà l'habitude de trainer dans tout Auri.


[Clinique du Bon Samaritain]

Je posais ma main sur la clanche, la porte ne s'ouvrit pas.
Je commençais à paniquer. Je soulevais deux trois pots de fleurs, pas de clef. Je toquais pas de réponse. Je savais Nin et Dark en voyage chacun de leurs côtés. Que faire?
Je posais tous mes parchemins et ma sacoche par terre. Je n'avais rien qui puisse m'aider.
Je commençais par forcer la clanche, puis à pousser la porte, pour enfin me servir de mon épaule tel un bélier.
La porte ne céda pas de suite, mais mon empressement eu raison de celle-ci et je réussis à la défoncer.

J'entrai en trombe dans la clinique ouvrant tous les placards un à un. Je pris un grand sac qui trainait et l'emplis de tout ce que je pouvais trouver et qui serait utile : bandages, herbes et onguents diverses, divers ustensiles dont je ne connaissais les noms.

Je sortis, repris mes parchemins et ma sacoche, et courut jusqu'à la mine avec tout ce fatras.


agwa a écrit:
[Place de la ville]

Agwalenn passant sur la place d'Aurillac entendait des cris et des hurlements, intrigué il s'approcha plus près pour essayer de comprendre.
Une femme hurler :
la mine , la mine, elle vient de s'effondrer !!!!!!!!!!!

de quelle mine parlait cette dame, je comprend rien !!!!

Agwa attrapa une jeune fille par le bras et lui demanda :
mais que se passe t'il ici expliquez moi donc.

La mine vient de s'effondrer il y a de nombreux blessés!!!, lui répondit la fille en larmes.

A ces mots Agwa senti la peur l'envahir, des amis de Polignac travaillaient dans cette mine, vite il se précipita vers le centre de la place, pourvue que ce ne soit pas aussi grave pensa t'il et pourvu qu'il ne soit pas trop tard.

Il faut organiser les secours, vite, à qui dois je me présenter pour aider à déblayer la mine et secourir les mineurs

Agwa tournait en rond attendant que quelqu'un lui parle , le guide .


linoa290192 a écrit:
[Place de la Ville]

Linoa avait suivit Agwa pendant le détour à Aurillac, des gens criaient de partout, on entendait que quelques mots par ci par là "la mine" "effondrement" "blessés" c'est dans la foulée qu'Agwa avait intérrogé une femme qui passait en courrant. Elle s'avança vers lui pour savoir ce qu'il se passait vraiment, la mine d'Aurillac était belle et bien effondrée...

Les gens se ruaient pour répendre la nouvelle, c'est sans savoir quoi faire qu'elle suivit Agwa, quelqu'un allait il prendre les commandes des secouristes? Il le fallait pourtant.

Agwa! Il faut trouver quelqu'un!

Elle regardait partout essayant de trouver une connaissance mais rien pour le moment, elle continua ses recherche en ne s'éloignant pas de Agwa...


Parsxino a écrit:
[Place Saint Géraud]

Parcxino était restée comme bloquée pendant un bon moment. Debout à côté du cheval il lui fallut un certain temps avant de reprendre ses esprits. Tout le monde courait dans tous les sens, certains appelaient un chef pour coordonner le tout. Elle se souvint alors que Ina était partie à la clinique chercher de quoi soigner les ... elle secoua la tête refusant de penser encore à ce qui les attendait en bas. Elle arrêta Lostris, qui repassait devant elle en courant, en l'attrapant par la manche.

Lostris... il faut creuser avant de soigner. Il nous faut des pelles, des pioches, des brouettes, des cordes... et surtout des bras. Il faudrait que les gens arrêtent de courir dans tous les sens. Je me charge d'aller chercher du matériel chez moi et chez d'autres forgerons, je te laisse te charger de réunir des bras ?

Parcxino attendit à peine la réponse. Elle enfourcha Potiron et galopa jusqu'à chez elle. Elle trouva une charette qu'elle attela à la pauvre bête qui n'avait pas l'habitude. Elle déposa tout ce qu'elle put trouver comme matériel pour creuser, tirer, pousser... s'éclairer. Elle passa par tous les forgerons dont elle put se souvenir, mais aussi les charpentiers pour des échelles ou toute autre chose. La charette commençait à être bien chargée.

En repartant vers la place du village, elle aperçut Ina qui courait chargée de nombreux sacs, manquant tomber à chaque pas tant elle en avait. Celà fit presque sourire Parcxino. Elle s'arrêta à son niveau et lui proposa de monter. Il fallait passer à la place Saint Géraud pour voir comment les choses s'étaient organisées.

lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby avait sentie une odeur, s’étant plus que largement éloignée dans les boyaux, lorsqu’elle sentie une première vibration elle eut peur. Qui n’avait pas entendu parler du coup de grisou, reculant de plus en plus vite, baissée tellement le boyau était etroit, elle buta sur une pierre et tomba.

Aie !

La terre trembla soudainement comme pour marquer le fait qu’elle soit au sol, elle rampa plus avant, essayant de rejoinder les autres au plus vite. La peur s’emparant d’elle, la blonde peinait à avancer. La seule idée qu’elle avait été que les autres sachent qu’elle était la.

La jolie brune, c’est quoi son nom deja..!

Le prénom lui revint en memoire et elle hurla de toute ses forces

Zézéééé !!!!!!

Le bruit etait si fort, la tremblement semblait durer si longtemps, la peur figeait le temps, ses idées s’embrumèrent, l’air manquait.. elle pensa a lui, essayant d’avancer un peu plus avant... en vain.


MizzChloe a écrit:
[Quelque part à l'intérieur de la mine]

Tout se passe si vite... Toujours les mêmes bruits de pioche contre la paroi, des gens qui discutaillent pas loin d'elle... jusqu'à ce qu'un bruit effroyable vienne envahir les galeries interminables de la mine. Des secousses. Des hurlements. Les parois s'effondrent chacune leur tour.
Chloé, pétrifiée, lâche sa pioche pour essayer de sortir de la mine... ou du moins, de sortir de cet endroit "tranquille et isolé", comme elle l'avait voulu. Elle le regrette, maintenant. Elle court, droit devant, mais s'arrête en un mouvement de recul. Des pierres tombent devant elle, bloquant la sortie à la galerie voisine.
Elle tourne sur elle même, cherchant un endroit pour se cacher, se protéger des pierres qui tombent et qui retombent...
La poussière envahit ses yeux et ses poumons. Chloé panique, elle tousse, se frotte les yeux, essaie d'hurler pour trouver du secours, mais nul son ne sort.
Encore une secousse, elle titube, heurte la paroi et s'écroule dans le tas de pierres. Quelque chose de lourd et tranchant s'écroule sur son épaule. Aïe de douleur, puis plus rien.


zeze5 a écrit:
[Dans la mine]


Ce bruit que n'en finissait pas et cette poussière de plus en plus intense qui l'empêchait de respirer. Si je ne meurs pas sous une poutre ou de la roche je vais mourir étouffé, pense t-elle.
Des cris encore des cris et puis un cri qui ne ressemble pas au autres, c'était un nom que l'on entendait, son nom à elle. Mais qui pouvait l'appeler ?

- Oui !! je suis là, restes où tu es, protèges toi, attendons que tout sois fini !


Elle disait ça un peu pour se rassurer, se dire qu'elle serait toujours vivante après....
Elle reprend sa position de foetus et attend...


Mélusinne a écrit:
[Au village]

Mélusinne revennait du verger avec un panier rempli de fruits. Les gens semblait affolé elle entandait parler d'effondrement, de gens bloqués dans la mine. Elle sentait son coeur battre de plus en plus vite à l'idée qu'il puisse y avoir des blesser ou pire...Au milieu de la place elle aperçu Linoa et Agwa elle se dirigea vers eux et les interpella pour en savoir un peu plus.

-Agwa! Linoa! Qu'est ce qui se passe? La mine s'est effondrée? On sait combien de personnes sont prises au piège?
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:44

Lostris64 a écrit:
[Aurillac, Place Saint Géraud]

Lostris sentit une main attraper la manche de sa chemise.

C'était Parcx qui s'exclama :

Lostris... il faut creuser avant de soigner. Il nous faut des pelles, des pioches, des brouettes, des cordes... et surtout des bras. Il faudrait que les gens arrêtent de courir dans tous les sens. Je me charge d'aller chercher du matériel chez moi et chez d'autres forgerons, je te laisse te charger de réunir des bras ?

Oui, tu as raison, Parcx. Vas-y vite ! Je réunis des bras... Rendez-vous à l'entrée de la mine.


Lostris se demandait si Parcx avait entendu la réponse, elle avait déjà enfourché Potiron, le poney d'Ina, et galopait en direction de chez elle...
Ouvrant sa besace, elle attrapa un parchemin et écrivit rapidement ces mots :


Citation :
ALERTE !!!! ALERTE !!!!!! LA MINE S'EST EFFONDRÉE...

NOUS AVONS BESOIN DE TOUS
pour dégager les accès, creuser et libérer les mineurs
puis soigner et transporter les blessés à la clinique

VENEZ NOUS AIDER !!

RENDEZ-VOUS A L'ENTREE DE LA MINE !!!


Elle placarda ensuite l'annonce sur le volet d'une maison.
Elle ne pouvait rester ainsi à haranguer les passants pour trouver des bras, elle devait aller apporter son aide à la mine !

Elle avisa des gamins qui traînaient par là sans doute alertés par le bruit, les cris et les larmes des uns et des autres.
Elle les appela, et dans un sourire mais figé, leur dit :


Les enfants !
La mine s'est effondrée... Nous avons besoin de bras volontaires pour dégager les accès et porter secours !
J'ai besoin de vous pour alerter les villageois...
Toi, le petit blond, reste ici sur la place et veille à ce que chaque personne qui passe ici soit au courant de la catastrophe.
Les autres, allez partout dans le village, ameutez tout le monde, dites à chaque personne valide que vous trouverez de se rendre au plus vite à l'entrée de la mine pour aider aux secours.


Les enfant s'éparpillèrent dans les rues ... Elle entendait leurs voix fluettes crier et annoncer la nouvelle.

Des personnes s'étaient rassemblées auprès d'elle et elle allait leur parler quand elle vit alors arriver Potiron tirant une charrette débordant de matériel et sur laquelle étaient juchées Parcx et Ina.


Ina, Parcx, vous voilà ! Voici déjà des volontaires pour nous aider !
J'ai placardé une affiche...
J'ai aussi envoyé des enfants de par le village demander de l'aide.
Et un des gamins restera là pour aviser les gens qui viendraient sur la place...
Allons-y maintenant ! Il faut faire vite !


Tous se hâterent de prendre le chemin de la mine, anxieux de savoir ce qu'ils allaient trouver et quelle serait l'ampleur du désastre !!


agwa a écrit:
[Place du village d'Aurillac]

Agwa , aperçut Linoa et Melusine , il s'approcha d'eux et commença par se calmer, il leur parla tout en reprenant ses esprits!.

Ah!!!, les filles, je suis heureux de voir ici au moins vous n'êtes pas dans la mine, je n'arrive pas à avoir plus d'information, je ne sais combien de mineurs sont pris au piège de la montagne, cela m'inquiète.

Reprenant son souffle il regarda autour d'eux, rien , personne ne semblait prendre l'organisation des secours en main.

Bon mes amies, nous devons agir le temps presse , nous allons prendre des pelles et des pioches, des torches et un petit nécessaire pour soigner les premiers blessés , nous allons partir pour l'entrer de la mine, là bas nous y verrons plus clair , nous nous mettrons à la disposition des officiers de la COBA pour les aider dans leurs actions.

Prenant Mel et Lili par les bras , il chercha une échoppe pour trouver le matériel nécessaire à leur expédition de secours.

Allez suivez moi , le temps joue contre nous !!!!!!, nos amis sont coincés la dessous et nous devons les aider à sortir du ventre de la montagne!!!.


rastero a écrit:
[Dans une galerie profonde]

Rastero était mal en point au fond de la galerie. Elle s'était bouchée, mais on pouvait voir filtrer la lumière par une fissure. Heureusement il avait pris sa pioche.

Encore une secousse.

Rastero tapa de toutes ses forces contre la paroi et pouvait voir un trou se former,
il jeta un oeil et vit un homme allongé sur le ventre. Il frappa alors plus fort et plus vite.


Sieur !!! Levez-vous !!


On aurait dit l'homme étrange avec son sac...

Ehhh, ne restez pas là !!!!

Rastero creusa encore le trou pour pouvoir y entrer.
Il se précipita vers lui pour voir s'il était encore en vie. Apparement oui.
Mais quelle stupeur quand le retournant, il découvrit en dessous ... MIMI !!!!


Mimi tu vas bien ???

Heureusement qu'il y avait une bougie. Enfin heureusement pour la lumière... et ça leur permettrait de connaitre un manque d'oxygène lorsqu'elle s'éteindrait.
Mais pourvu qu'aucun gaz ne vienne...


Parsxino a écrit:
[Place Saint Géraud]

Parcxino s'apprêtait à conduire la charette vers la mine, quand elle aperçut un groupe de personnes qu'elle n'avait jamais vues à Aurillac jusque là. Il semblaient inquiets et avaient l'air de partir dans la mauvaise direction. Elle hurla de toutes ses forces, en faisant de grands gestes.

Hey, là bas, la mine c'est de l'autre côté. Les outils je les ait !!

Elle prit à peine le temps d'être sûre qu'elle avait attiré leur attention, et qu'ils avaient bien vu le matériel amassé dans la charette, pour reprendre les rênes et diriger le groupe déjà rassemblé vers la mine aussi vite que possible. Elle espérait... elle espérait que Kaze n'aille pas trop mal... et qu'elle puisse sauver autant de vies que possible. Toutes ces personnes enfermées dans le noir... Elle se retint de fouetter Potiron pour qu'il aille plus vite, ça ne servirait pas à grand chose, les gens ne pouvaient pas courir plus vite de toutes façons.

[Aux abords de la mine]
Arrivée devant le puit, l'angoisse la prit encore à la gorge. Le nuage n'était pas encore retombé. Elle se mit un foulard sur le visage, et distribua les pioches, pelles seaux et brouettes. Les équipes se formèrent, une pioche, une pelle, et les seaux et brouette en chaîne jusqu'à la sortie.

Elle plongea dans le noir, suivie par Ina portant une pelle et de Lostris avec un seau. Parcxino tenait sa lampe devant elle en tremblant, une pioche dans l'autre main. Arrivées au bout d'une galerie elles tombèrent devant le premier ébouli.


[HRP : La Place Saint Géraud et la Place du village ne font qu'un. Petite note pour les voyageurs, au cas où.]
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:44

Inamphus a écrit:
[Dans la mine, au premier ébouli]

J'avais suivi Parcx et Lostris dans le puit de la mine. Un sentiment de mal-être m'envahissait, l'oppression, la peur, la panique.
J'étais cependant motivée à aider les mineurs pris au piège et voulais les aider, mais j'avais peine à respirer, et cela n'était dû à la poussière.
Je parvins à enlever quelques caillasses, mais ma claustrophobie que je ne soupçonnais pas auparavant eut raison de moi.

Je suis désolée les filles, je n'en peux plus, je dois remonter, j'étouffe!!

Je remontai la galerie en courant et sortis à la lumière du jour, reprenant une respiration moins rapide peu à peu. Soulagée mais honteuse.


[A l'entrée de la mine]

Moi qui tenais tant à aider les victimes de l'éboulement me trouvais bien impuissante, j'étais dans l'incapacité de descendre dans la mine et de supporter l'enfermement.

Je réfléchis. Je pourrais peut-être les aider à soigner les blessés quand les secours les auront extrait de la mine.

Mais, que vais-je faire en attendant? Rester ici à ne rien faire?

Je regardai ma sacoche pleines d'encriers, de plumes et mes parchemins.
Informer, oui! Je vais informer les villageois!

Je commençais à rédiger un article, et le copiai le plus que je pouvais.
Un jeune garçon qu'avait déjà mis à contribution Lostris était non loin de moi.

Va voir les moines mon petit qu'ils copient cela en de nombreux exemplaires et distribue-les à tous les villageois !

Je lui tendis quelques écus, le garçonnet partit de suite heureux d'avoir récolter quelque argent et dans l'espoir d'en obtenir plus. Le jour-même tous les villageois avait un exemplaire de mon article entre leurs mains.
J'espérais ainsi pouvoir contribuer à aider les mineurs ensevelis.


Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac Mine4ts0

[HRP]Ina étant journaliste, et vu l'urgence de la situation et les secours déjà en place, je me suis permise de concocter ce premier article seule. Si les autres LJDjournalistes veulent participer au prochain numéro, c'est sans souci, MP-moi.[/HRP]


lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby entendit la voix de Zézé lui repondre, il semblait que dans la boyau principale, ca ne se passe pas non plus fort bien. La blonde reste au sol, remontant ses jambes contre son ventre, cachant sa tete de ses mains.

Il faut attendre, respirer doucement dans un air si lourd et si souffré qu’il en devient nocif. Elle pense, se force a penser qa son traité a signer avec les anglois, a la chancellerie, pour ne pas paniquer penser a ce que l’on aime.
Lullaby se met a penser à lui... à eux et respirant de moins en moins aisement, sent la tete qui lui tourne et le bruit sourd qui résonne.


mimicracra a écrit:
[dans la mine]

Ecrasée sous le corps de Kratos, Mimi avait de plus en plus de mal à respirer. Soudain délestée, elle entend une voix familière, relève la tête et sourit soulagée.

Rast ! Elle tousse un peu, reprend son souffle et lui demande.

Détaches moi s'il te plaît...

Elle se souvient alors de cet adage polignacois :"on a toujours besoin d'un démoniaque prêt de soi" et en savoure toute l'exactitude...


jr59530 a écrit:
Jr ouvrit les yeux...
que s'est-passé ??!!!!!!!
Du noir, tout etait noir autour de lui que s'est-il passé...!!!?
Le corps endolori il essaya de bouger mais rien, ses jambes etaient bloqué sous les etais de la galerie qu'il avait emprunté pour se rendre au fond.
que s'est-il passé....
Seul... personne ne repondait... le silence...
où sont-ils tous ???;....


Eléonore a écrit:
Eléo,scotchant la plupart du temps sa lulla en bonne mini moi savait que lulla était à l'intérieur de la mine.Aussi de ses petites mains elle essaya d'enlever une pierre mais c'était en vain elle n'avait pas assez de forte puisque trop jeune pour de si lourdes pierres...aussi elle prit son mal en patience observa les secouristes puis lacha ces quelques mots

ma lulla tu m'entends??????


agwa a écrit:
Agwa entendit soudainement une voix dans la foule, elle lui disait :
Citation :
La mine c'est de l'autre coté !!!

S'arrêtant net avec ses amies, il se dirigea vers la voix qui lui parlait, tournant la tête il vit une affiche, après l'avoir lu il compris .

Les filles, la mine est de l'autre coté, nous devons nous rendre la bas , les instructions et le matériel sont déjà en chemin, vite ne perdons pas de temps joignons nous à ces personnes.

Mélusine, Linoa et Agwa prirent le chemin de la mine, suivant les personnes du village qui semblaient bien connaitre le coin.

Pourvu qu'il ne soit pas trop tard !!!!!.


ANDROLYNE a écrit:
Un gamin affolé arriva au cabinet médical de Bourbon, tenant un journal dans la main et ayant du mal à reprendre son souffle pour parler
M'dame, faut v'nir vite... la mine à Aurillac, elle est tombé y'a plein d'monde dedans , vite m'dam puis lui avait tendu le journal et elle blémit.

[i]Androlyne prépara à la hâte un plein panier de linge, sa malette de secours d'urgence, mais si le gamin avait dit vrai ce ne serait pas suffisant. Elle appela son valet


Barnabé, vite, aide moi, nous devons partir sur le champ à la mine d'Aurillac, il y a eu un éboulement, attèle la charrette, mets un tonneau d'eau, toutes les couvertures que tu trouveras dans la maison, ma malle de potions et d'onguents et du bois pour faire du feu.

Dès la carriole attelée, Androlyne s'enveloppe dans sa plus chaude cape et son valet l'aide à monter près de lui et ils se mettent en route sans tarder.


lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby etait toujours allongée un leger souffle d'air la ramenant vaguement a la vie, une ouverture devait s'etre faites pas loin d'elle.
Un nouveau boyau ouvert, un semblant d'aven precipité par les eboulis, Aristote seul savait.

La blonde pria pour qu'on la retrouve, pria pour le revoir lui, pria pour revoir ses soeurs, son mini moi, son arsouille, une voix connue lui parvint.

On m'entend ?!!! quelqu'un ?!!!!! Zézéééééééééééé

Elle voulait tant qu'on lui reponde que l'obscurité environnante s'estompe


lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby etait toujours allongée un leger souffle d'air la ramenant vaguement a la vie, une ouverture devait s'etre faites pas loin d'elle.
Un nouveau boyau ouvert, un semblant d'aven precipité par les eboulis, Aristote seul savait.

La blonde pria pour qu'on la retrouve, pria pour le revoir lui, pria pour revoir ses soeurs, son mini moi, son arsouille, une voix connue lui parvint.

On m'entend ?!!! quelqu'un ?!!!!! Zézéééééééééééé

Elle voulait tant qu'on lui reponde que l'obscurité environnante s'estompe


Sallaberry a écrit:
[dans le village d’Aurillac]

Un contingent de l’armée arriva sur la place. Le connétable avait envoyé un courrier pour informer que l’entrée de la mine à Murat s’était aussi effondré et qu’il se rendait sur place avec le matériel nécessaire et plusieurs hommes. Piques, pioches, pelles, longs troncs et planches de bois avaient été réquisitionnées auprès des forgerons et charpentiers de la ville. Les soldats se mirent au garde à vous au signal de l’officier. Ce dernier salua les hommes et femmes présents sur la place avant d’annoncer qu’il se rendait aux abords de la mine pour commencer au plus vite le travail de déblaiement


Eléonore a écrit:
Citation :
On m'entend ?!!! quelqu'un ?!!!!! Zézéééééééééééé

Un léger trou laissait effectivement passer l'air comme le pensait lullaby,éléo,en bonne mini moi toujours concentrée sur les secouristes sursauta reconnaissant un son qui lui était familier mais très bas.Elle se concentra,plus bas se trouvait lullaby c'était obligé,elle reconnaîtrait sa voix parmis mille autres.....
Elle se mit à plat ventre,tenta de retrouver d'ou venait cette voix,cria de nouveau que lulla l'entende


Lulla ma lulla je sais que tu es pas loin guide moi!!!!!!


kratos47 a écrit:
[dans la mine]

kratos ouvrit les yeux. Mimi avait l’air d’être saine et sauve.
De grosses douleurs,de la poussière partout….
Kratos tout en restant à terre sans bouger dans un moment de lucidité passa son couteau à Mimi afin qu’elle puisse se détacher.


Tiens maintenant ! C’est moi le prisonnierdit il ironiquement.

Tu peux t’enfuir ! Allez va et ne te retourne pas…

A travers ces épais nuages de poussières il aperçu un homme.
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:46

linoa290192 a écrit:
[Place du village]

Mélu les avait rejoint peu de temps après qu'elle ait parlé à Agwa

Je ne sais pas combien de personnes s'y trouvent mais surement beaucoup, les mines sont très utilisées, elles commençaient à partir entrainé par Agwa quand une voix de femme les interpella pour leur annoncer la mauvaise direction prise, elle fut soulagée de savoir qu'il n'arriveraient pas trop tard pour aider les villageois...le temps était compté pour tous, si ce n'est pas par les éboulements qu'ils pourraient mourrir ce sera d'asphyxie...ces deux morts étant atroce il fallait faire vite...

[Aux abords de la mine]

L'air était lourd, pleins de poussière, des personnes étaient au sol pendant que les secours et la charrette avec le matériel arrivaient au fur et à mesure, elle se tourna vers Agwa et Mélu et leur dit

Il faudrait que tous se relayent pour ne pas laisser le travail et pour que certains se reposent, pioches et pelles doivent être pris et organisées de façon à laisser place aux mouvements, tout doit être transporté vers l'arrière, en première ligne les pioches et derrières elles les pelles, je peux éventuellement passer en première ligne prenez place où vous voulez mais il faut faire vite et pas de groupements!

Après qu'elle ait vérifié qu'ils aient comprit, elle aperçu un corps de l'armée arriver avec à sa tête un officier, elle laissa d'un signe de tête ses deux amis et alla les saluer et se tourna vers ce dernier, il faudrait de l'organisation que tous les villageois et tous soldats ne se mettent pas au même endroit avec les même outils...

Elle attendit la réponse du connétable, en regardant ce que les autres faisaient....


VentNoir a écrit:
Quelque par, dans la mine

kaze ouvrit les yeux, ils lui fessaient mal et piquai, l'air était encore chargé de poussière. il essaya de bougé mais ça jambe le fit terriblement souffrir, il avait soif et les ténèbres environnants ne le rassurai pas.

il y a quelqu'un ? a l'aide ! osa t-il crié mais sa voie se perdit dans le vide.

Après un moment, il s'habitua a l'obscurité et il repéra son sac et son matériel de mine pas loin. IL n'était pas en état de creusé pour se libéré, par contre il y avait quelque chose dans le sac; de la nourriture pour les petits creux et une gourde d'eau. Cela l'aiderai a tenir mais pour combien de temps encore...


lullabyGrimwald a écrit:
Lullaby entendit un bruit, un gresillement ou est ce son esprit ?
L'odeur se fait encore sentir la tete lui tourne, mais le souffle d'air et sur elle, une ouverture ?
Comment etre sur, elle abule peut etre , le souffre lui ferait perdre tout sens logique.

Dans un dernier effort elle tente de crier meme si elle n'est pas sur de ce a quoi elle repond.


De l'aide ! Des secours ! elargir le trou !

L'inconscience la gagne, elle ne sait plus ou elle est comment indiquer et sombre une nouvelle fois


Sallaberry a écrit:
L'officier salua le sergent-chef Linoa et lui tendit une missive du connétable Sallaberry

Citation :

A l'attention de tous les soldats de la COBA,

Les mines d'Aurillac et Murat se sont effondrées. Nous avons organisé deux contingents pour porter secours aux mineurs. Je dirigerai celui de Murat.

L'officier de plus haut grade devra diriger le groupe se rendant à Aurillac.
Des piques, pioches et pelles ont été rassemblées ainsi que des rondins et troncs pour renforcer les structures. Un soldat artificier est chargé de transporter de la précieuse poudre. Théoriquement il devrait être possible de produire une déflagration pour éclater des rochers, selon les écrits d'un sénéchal royal. Cependant, je me méfie de cette nouvelle arme et vous recommande de ne l'utiliser qu'en dernier ressort. Elle pourrait créer plus de dégat que de bien.

Un groupe d'oiseleurs avec des pigeons de Murat accompagne le contingent envoyé. N'hésitez pas à les utiliser pour communiquer avec les secours en place dans l'autre mine.

Qu'Aristote guide nos mains et protège nos valeureux mineurs, le temps que nous les sortions de ce trou.

Sallaberry, connétable de la COBA

L'officier se mit au garde à vous en ajoutant:

A vos ordres sergent-chef !


zeze5 a écrit:
Une douleur violente sur son bras gauche la fait crier, un bout de roche vient de lui tomber dessus, mais heureusement ce n'est que le bras qui est touché et pas la tête.
Les cris au loin et plus près d'elle ce font entendre de plus en plus. Et le noir, le noir complet, encore beaucoup de poussière mais qui retombe, l'air est irrespirable.
Elle tâtonne autour d'elle pour trouver quelque chose, ou c'est une façon de ce dire qu'elle est encore en vie. Elle sort du trou dans la roche et rampe pour aller où ? elle ne le sait pas .....


- Il y a quelqu'un ?


Eléonore a écrit:
Citation :
Dis, petite, comment t'appelles-tu ? Moi c'est Parcxino. Tu entends quelque chose là-dessous ? Il y a quelqu'un dans cette galerie ?

Je suis eléonore,fille de la vicomtesse du Bourbonais d'Auvergne...

Regardant par terre elle entendit de nouveau la voix basse sos de sa soeur Lulla et dit à Parcxino lui montrant le sol

Ma,ma soeur est la dessous j'ai entendu sa voix mais basse elle doit être loin... Crying or Very sad

Et puis,les yeux pleins de larmes d'enfants puisqu'elle était paniquée pour sa soeur adorée elle remit la tête à la recherche de la voix,regarda parcxino au cas ou elle lui reparlerait,se releva,tenta d'enlever une pierre mais en vain,elle n'avait décidément pas assez de forces pour sortir sa lulla d'ici et cela l'énerva un peu...la petite n'était pas comme sa d'habitude mais elle était juste inquiète,ne voulait croire à la fatalité...


rastero a écrit:
Rastero était déboussolé, complètement perdu.
Il n'eut pas le temps de dénouer les liens de Mimi que l'homme l'aida.

Et que... on est... coincés ???

Une douleur pointa à son flanc, sa cicatrice s'était ouverte sous le coup qu'il reçu lorsqu'il tomba plus tôt.

Rastero se relève péniblement, cachant sa blessure qui ne le faisait pas encore trop souffrir.
Il examina la pièce... complètement cachée et fermée... Comment sortir ?


Mimi... Tu connais la sortie ?

Le brouhaha s'amplifiait, il fallait crier pour s'entendre. Heureusement la salle était encore en état. Seul un coin s'était effondré, mais rien de grave pour les... prisonniers...


*elfy* a écrit:
Place du village

Elfy apprit la terrible nouvelle par la gazette locale, elle étouffa un cri pour ne pas plus ameuter le quartier et ni une ni deux elle s'empara de son bardas de secouriste ( fioles bouteilles et plantes en tous genres) pour rejoindre le front !

Aux abords de la mine

Tres vite elle reconnut Linoa, Agwa, Mélu et quelques autres

Ohé, attendez-moi ! pas de réflexion sur mon absence je sais je suis à la bourre !


De l'organisation en premier lieu........elle paraissait montrer du sang froid alors qu'on fond d'elle elle était morte de trouille............Rast au fond de cette mine..............elle sentit ses forces se décupler pour le sortir de là !


Parsxino a écrit:
[Aux abords de la mine]

Parcxino se retrouva désemparée devant les larmes d'Eleonore. D'autant plus que si la petite était assez légère pour s'approcher, elle, elle ne pouvait pas. Mais il y avait quelqu'un de vivant là-dessous. Il fallait la sortir de là. Elle regarda autour d'elle à la recherche d'une solution. Et elle se souvint d'une histoire qu'on lui avait racontée. Dans certaines régions il y avait des terrains meubles dans lesquels il était facile de s'enfoncer. Pour approcher, on mettait des planches en travers. C'est ce qu'il fallait faire ici, pour pouvoir creuser sans tout faire écrouler.

T'en fait pas, on va trouver une solution, et ta soeur, on va la sortir de là, et les autres aussi.

Elle appela à l'aide et alla chercher des planches et Lostris qui peinait toujours de son côté. Ils positionnèrent les planches au mieux pour avoir suffisament de sol stable pour s'approcher du trou et creuser, avec précautions. Le trou s'agrandissait rapidement avec toutes les mains à disposition. Mais la galerie tardait à se rendre visible, et aucune voix ne semblait être sortie du trou, juste une horrible odeur de souffre. Après la lueur d'espoir, l'inquiétude revint.
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:47

Blood Sunshine a écrit:
[Place du village]

Gaby avait fait le voyage quelques jours auparavant jusqu'au beau village d'Aurillac pour commercer. La journée avait été fort belle, et c'est avec surprise qu'il avait rencontré des amis venant aussi de Polignac, sans doute venus eux aussi glaner quelques bonnes affaires sur le marché.

Il se préparait au voyage du retour, quand une agitation anormale retînt son attention. Tout d'abord des gamins courant, puis des cavaliers passant au galop... Il se passaient quelque chose!

Gaby se dirigea vers la grand place du village, plusieurs groupes de personnes s'étaient rassemblés et les discussions allaient bon train. Il entendît des bribes de conversations, blessés... éboulement... mine...

Son sang se figea! La mine se serait effondrée? Il avait des amis qui y travaillait ces jours-ci, son coeur se serra! Lui-même y avait travaillé quelques fois et de souvenir, elle n'était plus de toute jeunesse... Il couru vers la mine à grandes enjambées!

[Aux abords de la mine]

Au fur et à mesure que Gaby approchait de la mine, il distinguait de mieux en mieux des appels à l'aide. Arrivant non loin de l'entrée, il vît que plusieurs personnes s'affairaient déjà à essayer de secourir les malheureux, emprisonnés au fond du trou. Il en reconnu certaines..., dont Elfy.


Elfy, comment va? où est Rast? Voyant sa mine déconfîte, Gaby compris aussitôt. Il regarda autour de lui et vît des personnes apporter des planches pour consolider ce qui restait du boyau béant... mais remplit de terre et de rochers.

Allez, viens!! Tout n'est peut-être pas perdu! Trouvons quelqu'un qui connaisse le plan de la mine et essayons de trouver des informations.

Gaby s'approcha d'une femme qui semblait vouloir creuser à même les mains.

Pardonnez-moi gente Dame, je pense qu'il faut coordonner nos efforts. Je vois que nombre d'outils sont à disposition, il faudrait à mon avis, faire des équipes pour les secours. Il nous faudrait aussi savoir combien de personnes sont emprisonnées!

Que les plus solides prennent des pelles et commence à déblayer le tunnel, il nous faudrait des personnes pour emmener la terre un peu plus loin à l'aide des brouettes et que les personnes restantes nous approvisionnent en planches pour consolider l'avancement.

Qu'on fasse aussi quémander des hommes de médecine... Au cas où...

Sans vouloir vous commander je pense que nous n'avons pas de temps à perdre !!! Si vous êtes de la région, peut-être pouvez-vous prendre la direction d'une des équipes?


Sur ce, Gaby prit une pelle et entreprit de commencer à creuser , enlevant à la main ou faisant rouler les rochers trop gros.


lullabyGrimwald a écrit:
-A l'interieur de la mine- Petit boyau annexe au boyau central-

Nouvelle reprise de conscience.

Ou suis je ?

A peine le temps de prononcer ces mot
Blood Sunshine a écrit:
[Place du village]

Gaby avait fait le voyage quelques jours auparavant jusqu'au beau village d'Aurillac pour commercer. La journée avait été fort belle, et c'est avec surprise qu'il avait rencontré des amis venant aussi de Polignac, sans doute venus eux aussi glaner quelques bonnes affaires sur le marché.

Il se préparait au voyage du retour, quand une agitation anormale retînt son attention. Tout d'abord des gamins courant, puis des cavaliers passant au galop... Il se passaient quelque chose!

Gaby se dirigea vers la grand place du village, plusieurs groupes de personnes s'étaient rassemblés et les discussions allaient bon train. Il entendît des bribes de conversations, blessés... éboulement... mine...

Son sang se figea! La mine se serait effondrée? Il avait des amis qui y travaillait ces jours-ci, son coeur se serra! Lui-même y avait travaillé quelques fois et de souvenir, elle n'était plus de toute jeunesse... Il couru vers la mine à grandes enjambées!

[Aux abords de la mine]

Au fur et à mesure que Gaby approchait de la mine, il distinguait de mieux en mieux des appels à l'aide. Arrivant non loin de l'entrée, il vît que plusieurs personnes s'affairaient déjà à essayer de secourir les malheureux, emprisonnés au fond du trou. Il en reconnu certaines..., dont Elfy.


Elfy, comment va? où est Rast? Voyant sa mine déconfîte, Gaby compris aussitôt. Il regarda autour de lui et vît des personnes apporter des planches pour consolider ce qui restait du boyau béant... mais remplit de terre et de rochers.

Allez, viens!! Tout n'est peut-être pas perdu! Trouvons quelqu'un qui connaisse le plan de la mine et essayons de trouver des informations.

Gaby s'approcha d'une femme qui semblait vouloir creuser à même les mains.

Pardonnez-moi gente Dame, je pense qu'il faut coordonner nos efforts. Je vois que nombre d'outils sont à disposition, il faudrait à mon avis, faire des équipes pour les secours. Il nous faudrait aussi savoir combien de personnes sont emprisonnées!

Que les plus solides prennent des pelles et commence à déblayer le tunnel, il nous faudrait des personnes pour emmener la terre un peu plus loin à l'aide des brouettes et que les personnes restantes nous approvisionnent en planches pour consolider l'avancement.

Qu'on fasse aussi quémander des hommes de médecine... Au cas où...

Sans vouloir vous commander je pense que nous n'avons pas de temps à perdre !!! Si vous êtes de la région, peut-être pouvez-vous prendre la direction d'une des équipes?


Sur ce, Gaby prit une pelle et entreprit de commencer à creuser , enlevant à la main ou faisant rouler les rochers trop gros.
s que la blonde se souvient qu'elle est prisonière.
Mine, grisou, boyau, zézé, mini moi, les souvenirs resurgissent. Elle detaille le boyau autour d'elle et voit qu elle ne craint rien, sauf mourir de faim et de soif.


Il y a quelqu'un ?


Une voix, la jolie brune du matin, la chope d'eau. Elle doit a l atteindre. Lullaby se met a ramper en direction de la voix, puis se stoppe, Si elle s'eloigne de l 'air qu arrivera t'il ? Elle decide de faire venir la jolie brune jusqu a elle.

Là ! Suis ma voix ! J'ai un semblant de filet d'air ici ! Je suis là !


*elfy* a écrit:
Quel soulagement de te voir Gaby !
Prenons les choses en main rapidement, je suis complètement anéantie de la tournure que prennent les évènements...............te rends-tu compte que mon mari et nos amis sont à l'intérieur...............


Elfy paniquait et se résigna à boire une longue rasade de calva pour remettre ses idées dans le bon sens.


Allez pas de temps à perdre, je prends cette pelle et je commence à creuser, du nerfs Gaby faut que tu me donnes de la force, veux pas que mon homme croupisse ici....

Elle se mit à creuser, en usant de la pelle comme si elle avait fait ça toute sa vie , malheureusement il y avait plus de cailloux que de terre, fallait redoubler d'energie, pour cela elle se mit à genoux et dégagea les grosses pierres qui gênaient........................

Rastttttt tu m'entends ?

Il ne devait sans doute pas l'entendre, Elfy le savait bien..........


Eléonore a écrit:
La petite se calma car elle se rendit compte que crier ne servirait à rien hormis à la limite paniquer davantage les pauvres prisonniers de la mine. Ecoutant Parsxino,la petite sourit car elle lui affirmait qu'ils sortiraient lulla d'ici!Aussi ne pouvant user de la force elle reposa sa tête sur le sol et,tatant les environs elle aperçu un endroit plus moux que les autres et,regardant Parsxino de nouveau elle lanca d'un air enjoué!

heyy viens la je suis sure qu'on peut creuser c'est beaucoup plus moux par ici!!!!!!!!!!!

Les yeux pleins d'espoirs la petite debout tirait Parsxino par la main d'empressement vers la fameuse zone molle avec le même empressement que si elle avait aperçu au loin le père noel dans son traineau remplit de cadeaux!


rastero a écrit:
Mimi pourtant dans la même pièce semblait quelque peu sonnée.
Rastero repassa par la fissure qu'il avait ouvert pour entrer. Naturellement, on n'y voyait rien et la galerie était bouchée...

Rastero soupira, et essayait de réfléchir, il fallait à tout prix trouver une issue ! et vite !
Il remonta un peu la galerie, mais trois pas plus loin l'éboulement avait complètement bouché le bras. Il ne savait que faire, il tenta de dégager la terre, les cailloux, les débris... Mais à la main...


Venez ! J'ai besoin d'aide, on doit pouvoir sortir !
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:47

Blood Sunshine a écrit:
Une petite fille présente à tout au plus dix pieds d'eux, s'était écrié qu'elle trouvait que le sol était plus mou...

heyy viens la je suis sure qu'on peut creuser c'est beaucoup plus moux par ici!!!!!!!!!!!

Bonjour petite, je peux regarder? Gaby enfonça sa pelle à l'endroit indiqué et effectivement, il paraissait plus aisé d'y enlever la terre...

Comment t'appelles-tu petite? Dis, tu pourrais nous rendre à tous un petit service? Comme je vois que tu as de bons yeux, je te propose de creuser ici, et toi tu pourrais essayer de trouver des torches et des lanternes? La nuit ne va pas tarder à tomber, et nous ne pourrons pas faire grand chose dans le noir... Et puis, couvre-toi si tu ne veux pas attrapper froid.

Gaby pensait que de toute façon, la zone à déblayer devait être assez large pour éviter que les gravas ne retombent aussi sec de l'endroit où on les avait enlevé... Il lui paraissait qu'Elfy aurait pu creuser jusqu'au bout du monde.

Prends garde Elfy de ne pas creuser trop loin, où tu risque de tomber dans le vide des cieux !! Il fît un sourire à Elfy et se remît à la tâche.


Eléonore a écrit:
Citation :
Comment t'appelles-tu petite? Dis, tu pourrais nous rendre à tous un petit service? Comme je vois que tu as de bons yeux, je te propose de creuser ici, et toi tu pourrais essayer de trouver des torches et des lanternes? La nuit ne va pas tarder à tomber, et nous ne pourrons pas faire grand chose dans le noir... Et puis, couvre-toi si tu ne veux pas attrapper froid.

moi c'est eléonore!et j'ai 7ans et demi je suis grande!!!!laissant le monsieur parlé elle rajouta j'arive tout de suite avec ce qu'il faut et je creuse!!!!!!ma lulla on va te sortir d'ici!!!!!!!

la petite,n'habitant pas loin alla illico presto à la recherche de lampes et pull pour pas attraper froid,en profita pour ramener quelques nourriture pour qui voudraient,foura le tout dans son panier et revint!!!!!!!!!
Prenant une pioche elle commença à creuser aidée par un adulte histoire que sa avance plus vite et que la petite ne risque rien


rastero a écrit:
Rastero se demandait ce que ses compagnons faisaient. Il creusaient encore et encore à s'en décrocher les doigts, et on pouvait deviner un filet de faible lumière par le haut.
Enfin ! Il passe encore ses mains, éboule le restant de gravats et tente d'élargir pour pouvoir tous passer.


Allez venez !!! On va pouvoir y arriver !!!

Mais toujours sans réponse, Rastero se faufila par le petit trou, et difficilement, put rejoindre la galerie principale naturellement éboulée elle aussi.
Mais il y avait quelqu'un au moins.

Il y a quelqu'un ?
Là ! Suis ma voix ! J'ai un semblant de filet d'air ici ! Je suis là !


Héé je suis là !!! Houhou !! Ou etes vous ?

Il remonta la galerie, il était essoufflé, fatigué, presque paniqué. Il fallait sortir Mimi et l'homme, et ensuite trouver une issue !


Eléonore a écrit:
Eléo creusait encore et encore,rien ne pouvait l'arrêter lorsque ses proches étaient bloqués.Aussi,la petite creusa,mangeant un petit truc de temps en temps histoire de reprendre des forces!
La nuit tomba,elle alluma donc ses petites torches,et,tombant parfois sur des pierres Blood Sunshine les enlevaient et après la petite creusait de nouveaux!
Un peu plus loin d'autres équipes cherchaient des issus et,parallélement les médecins,journalistes ou spectateurs observaient la scène....


Vite vite il faut creuser!!!!!dis tu peux enlever la pierre blood silteplait???

hrp:pas d'internet pour moi jusqu'à lundi donc blood je te laisse me faire bouger et/ou parler d'ici la...merci!et no soucis je reviendrais vite!


Blood Sunshine a écrit:
Aucun problème demoiselle, je m'en charge tout de suite.

Les actes suivant immédiatement les mots, Gaby entrepris d'enlever la pierre indiquée par l'enfant... Diantre !! elle était plus grande et bien plus lourde qu'il ne l'avait pensé au premier coup d'oeil (la pierre hein, pas la petite...).

Gaby prit une planche de bois et s'en servit pour faire levier. La grosse pierre roula, entrainant quelques autres à sa suite, dégageant par le même coup un peu plus le boyau qui commençait à se dessiner plus précisément.


Unnngh !! Au fait Eléonore, tu peux m'appeller Gaby, Blood Sunshine étant mon surnom... je viens de Polignac. Et merci pour cette nourriture et les lanternes.

Gnnarf !! Voilà qui est fait, nous pouvons à nouveau creuser. tu es bien courageuse à ton âge!


Puis Gaby se retournant vers Elfy.

Tu ne trouves pas qu'elle est bien courageuse cette demoiselle? A ce rythme, j'espère que nous arriverons bientôt à ouvrir un passage. il me tarde sincèrement d'avoir des nouvelles de nos compagnons...


*elfy* a écrit:
Faire comme si tout allait bien, ne pas s'imaginer le pire et prendre le courage que Gaby lui insufflait.
Elle pourrait creuser des heures, quitte à tomber dans les entrailles de la terre.......
Elle releva la tête vers Gaby, les yeux terriblement perdus, n'osant imaginer le dernier chapitre de l'histoire de la mine


Gaby ! Faut que tu m'aides hein ?
Dis-moi ce que je dois faire


Blood Sunshine a écrit:
Gaby regarda Elfy. L'espoir seul la faisait apparemment tenir debout... Il lui murmura.

Il n'y a rien d'autre à faire qu'à continuer je le crains Elfy ! Ne perds pas espoir, Je pense que Rast en a vu d'autres. J'espère seulement que toutes les personnes là-dedans sont en bonne santé, c'est triste à dire, mais d'autres personnes sont coincées là-dessous en plus de ton bien-aimé.

Faisant un signe du menton vers la petite Eléonore... Gaby dit plus haut.

Ne t'inquiète pas Elfy, ce n'est plus qu'une question de temps, nous retrouverons nos amis bientôt, je n'en doute pas !!

Gaby arrêta de creuser, leur avancement avait été finalement plus rapide qu'il ne l'aurait crû. Il alla chercher des planches de bois pour renforcer le tunnel. Si celui-ci venait une fois encore à s'effondrer, tous leurs efforts auraient été vains...

S'approchant au plus près de l'éboulis, il tendit un instant l'oreille, espérant entendre un appel... Rien, pas encore... Il fallait se remettre à la tâche sans plus tarder. Il repris sa pelle, son dos commençait à le faire souffrir, et son front était couvert de sueur.


Allons, encore un petit effort, nous y sommes presque !!

Gaby l'espérait pour ses amis.


mimicracra a écrit:
Rastero avait pris les choses en main et heureusement... Mimi s'était massé longuement les poignées et les chevilles. Elle avait regardé Rast et Kratos sans comprendre ce qui s'était passé, muette.

Rastero avait creusé. Elle finit par se lever, se rapproche de Kratos et lui murmure


Il faudra m'expliquer...

Puis elle l'attrappe par la main décidée à ne pas le perdre, et rejoint Rastero, tourne la tête vers Kratos.


Dites nous par où vous nous avez fait entrer ici...


ANDROLYNE a écrit:
La route avait paru longue a Androlyne avec la charrette chargée comme elle l'était il avait fallu rouler lentement, mais enfin elle voyait les première maisons d'Aurillac.

Une grande agitation régnait dans les rues et elle n'eut pas de mal à se faire expliquer la route vers la mine, un gamin lui proposant même de l'accompagner jusque là.

Des secours s'étaient déjà mis en place et des gens armés de pioches et de pelles s'activaient près de ce qui lui parût être l'entrée de la mine.

Quelques soldats se mêlaient à la foule, mais elle ne reconnut personne.
Barnabé l'aida à descendre de la carriole et elle s'approcha d'un groupe de secouristes, mené par un homme de haute stature et aidé d'une petite fille pleine d'énergie.


Bonjour, avez-vous déjà retrouvé des mineurs ?
Excusez-moi je ne me suis pas présentée, je suis Androlyne, je suis infirmière à Bourbon et je suis venue dès que j'ai appris la terrible nouvelle avec de quoi soigner les blessés.

J'ai vu quelques soldats, savez-vous si il y a un contingent de le Coba avec un officier qui organise les secours ?


kratos47 a écrit:
[dans la mine]

Il eut du mal à se lever mais le courage de Mimi l'impressionnait

Elle lui murmura :
"Il faudra m'expliquer"

Sur le coup kratos ne savait plusde quoi elle parlait...Un mauvais coup sur le tête surement...

Elle le prit par la main.Kratos était très surpris par cela.Lui qui l'avait sequestré dans cette mine.Il s'en voulait.Il voulait se faire pardonner.

Mimi se tourna vers lui et dit:
"Dites nous par ou vous nous avez fait entrer ici..."

Il répondit simplement

Par l'entrée ! Non attends Il fouilla dans sa poche et sortit un plan qu'il donna à Rastero.

Kratos n'avait plus la force de faire quoique ce soit...

Il regarda Mimi

Je m'appelle Kratos.Si tu le veux bien je t'offre mes services...dit-il en lui souriant tout en cachant le fait qu'il souffrait.
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:48

zeze5 a écrit:
[A l'intérieur de la mine- Petit boyau annexe au boyau central]

Le noir, la difficulté à respirer, les yeux qui pleurent à cause de la poussière, la douleur au bras et tout ces cris autour d'elle et encore cette voix qu'elle reconnait.

lullabyGrimwald a écrit:

Là ! Suis ma voix ! J'ai un semblant de filet d'air ici ! Je suis là !

Zézé tourne la tête, tend l'oreille pour trouver de quelle direction vient cette voix, la seule chose à laquelle elle pouvait se raccrocher.
La voix qui ne cesse de parler pour la guider, cette voix chaude et calme qui la rassure. Elle rampe, toujours cette douleur au bras, mais qu'importe, elle était en vie.
Elle tâtonne sur le sol et là quelque chose de chaud, quelque chose de vivant...


- C'est toi Lu ? dis moi que c'est bien toi !!!


Blood Sunshine a écrit:
Gaby fît une pause lorsqu'une femme vint près de lui et se présenta.

Excusez-moi je ne me suis pas présentée, je suis Androlyne, je suis infirmière à Bourbon

Bonjour Dame Androlyne, content de vous voir, pour sûr! Vous ne pouviez pas mieux tomber si j'ose dire... Je me nomme Gaby et je viens de Polignac.

A cette heure nous n'avons encore retrouvé personne ici, mais je crois savoir que plusieurs entrées existent. Je ne connais pas l'avancement des autres malheureusement.

Quant aux soldats, j'en ai vu en me dirigeant vers la mine lorsque j'ai appris la terrible nouvelle, mais depuis, rien.

Nous avançons assez rapidement de notre côté, mais je ne sais pas sur combien de pas la mine s'est effondrée... C'est une bonne chose que vous soyez là Gente Dame.


Gaby regarda au loin de part et d'autre de sa position, profitant de ce petit moment de répit pour boire de grandes gorgées d'eau.

Sans vous commander Dame Androlyne, peut-être pourriez-vous essayer de voir où en sont les autres... Si vous pouviez faire le lien entre les secouristes en attendant que l'on retrouve des mineurs ce serait très utile.

Gaby se remit derechef au travail, il n'y avait pas une seconde à perdre. Elfy, perdue dans ses pensées, n'vait fait que lever la tête à l'arrivéé d'Androlyne... Sans doute les pensées emplies d'images de Rast.


*elfy* a écrit:
Elfy reprit ses esprits et se remit au travail, quand arriva une infirmière.

Elle s'approcha au plus près de l'éboulis..........Gaby lui avait donné de l'espoir, elle continuerait à creuser des jours durant s'il le fallait.

Gaby ? Viens voir, la terre est molle à cet endroit il n'y a plus de cailloux, tu crois que je dois creuser encore, ça risque d'être dangereux si ça s'effondre.....

Elle s'allongea à plat ventre et mit ses mains en porte-voix pour crier haut et fort


Y A QUELQU' UN ?????
VOUS M'ENTENDEZ ????


lullabyGrimwald a écrit:
Boyau en dessous des pieds d’éléonore -petite cavité-


Héé je suis là !!! Houhou !! Ou etes vous ?

Réponse à son appel, mais là c’est un homme

Flute alors !

Ca fait sourire la blonde, elle tente de se mettre a genou meme si la cavité ne lui permet pas réellement, cou tordu et genoux lacérés, Lullaby met ses mains en porte voix.


Là ! Suivez ma voix, un filet d’air !
Un boyau annexe beaucoup plus petit !


Lu économisait ses mots car il lui coutait de les prononcer, elle avait faim et soif, et son état de conscience était fluctuant.

C'est toi Lu ? Dis moi que c'est bien toi !!!

Lu sursauta a l’appel de son nom, la jolie brune en vie la cherchait, elle sentait renaitre l’espoir.

C’est moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Suit ma voix Zézé !

Elle se pencha prenant appuie sur la paume de ses mains pour regarder le boyau fort rabaissé qui permettait d’accéder a la cavité où elle se trouvait.


Y A QUELQU' UN ?????
VOUS M'ENTENDEZ ????


Second sursaut, c’était la voix de qui ca. Etrange ca ne venait pas de la meme direction.

La blonde essaye de tourner sur elle-même pour se rediriger vers le filet d’air.

Qui me parle !

Lu rit légèrement, le manque d’eau et d’oxygène surement mais au moins elle en se rend pas compte de la situation critique. Si des hommes cherchent bien à les secourir, elle risquerait de périr elle lorsqu’ils accéderont a sa cavité. L’ouverture soudaine en provenant par le haut pourrait faire qu’elle soit écrasée sous les éboulis des sauveteurs.


mimicracra a écrit:
[dans la mine, au fond]

Kratos avait sorti une carte de la mine. Elle se demandait qui était cet étrange personnage capable de la séquestrer, puis de la protéger ensuite...

Je m'appelle Kratos.Si tu le veux bien je t'offre mes services...

Mais elle ne t'écoute que d'une oreille distraite, et commence à agiter les bras pour faire taire Rastero et Kratos.


Chut... écoutez... je connais cette voix...

Elle tend l'oreille puis un large sourire apparaît sur ses lèvres. Elle se retourne vers les 2 autres.


C'est Lullaby ! C'est Lullaby... Rast, c'est Lulla... L'as-tu vu ? Tu sais où elle est, il faut la retrouver...

Lulla ! Lulla ! C'est Mimi où es tu ? Lulla...


MizzChloe a écrit:
[Toujours dans la mine]

Chloé reprend lentement conscience. Son épaule la fait souffrir, mais les secousses se sont calmés, c'est déjà ça.
Elle essaye de se dégager des pierres qui ont réussi à l'envelopper lorsque les parois se sont effondrées, puis, avec difficulté, elle prend appui sur ses deux mains et se relève pour être assise et pouvoir faire le point.
Elle regarde autour d'elle, même si dans l'obscurité totale, il n'y avait pas grand chose à voir.
C'est qu'un mauvais cauchemar, n'est-ce pas?
Elle touche son épaule, puis, avec dégoût, découvre qu'elle saigne.
Non, ce n'est pas un cauchemar.
Inspiration. Expiration. Ne pas paniquer. Oublier la claustrophobie. Oublier qu'elle pourra mourir de faim ou peut être même de soif. Oublier ce qu'il vient de se passer. Peut être même oublier de... oh !! des voix!! Elle entend des gens crier, qui essaient de se réunir sûrement. Elle se sent moins seule. Elle sent qu'il y a un espoir.

Chloé hurle, de tous ses poumons empoussiérés :

A L'AIDE!!
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:50

VentNoir a écrit:
encore dans la mine

arrêt de crier chloe, j'ai un de ces mal de tête

kaze rampait doucement, la douleur de sa jambe toujours présente. il avait du bougé parce que l'endroit ou il était menaçait de s'écroule encore.


crapaudine a écrit:
Crapaudine arriva en vue de l'entrée de la mine d'Aurillac enfin ce qu'il en restait...
Elle descendit rapidemment de son cheval grimaçant légèrement bientôt il lui serait impossible de cavaler ainsi. Mais le moment n'était pas venu de penser à elle, des personnes souffraient, blessées, enterrées sous de la roche. Elle vit de nombreuses personnes qui couraient transportant des pelles, des madriers tout ce qui semblaient être utile au secours des mineurs.
Prenant son sac et son baton sur l'épaule, elle attacha son cheval et alla rejoindre ses collègues de la maréchaussée et attendit les directives.


MizzChloe a écrit:
[Dans la mine]

arrêt de crier chloe, j'ai un de ces mal de tête

Sur le coup, elle sursaute. La voix était pas très loin d'elle, et surtout, vivante! Mais malheureusement, dans le noir, elle n'arrive pas à distinguer l'homme qui vient de lui parler.
Elle se redresse, puis, à quatre pattes et à tâtons, elle s'avance vers la voix bien que connue, s'il savait son prénom!
Elle réfléchit encore un peu... puis, après quelques secondes de concentration...


K...Kaze !! C'est toi ?!

Elle laisse échapper un soupire de soulagement, puis continue à quatre pattes jusqu'à arriver à son hauteur.


VentNoir a écrit:
Dans notre tombeau....la mine je veux dire...

oui c'est moi, tu veux que sa soit qui d 'autre ? le duc ? mal a la jambe moi ?

kaze grommela, sa jambe lui fessai tellement mal qu'il avait du mal a réfléchir, en fait il continuai a rampé sans savoir ou aller.

tient les cailloux me parle ? une bière ? non désoler j'ai plus d'écu....

et il s'évanouit dans une position bizarre.


Blood Sunshine a écrit:
Gaby s'arrêta net.

Tu entends quelque chose Elfy?

Arrêtons de creuser et renforçons avant tout le passage avec des planches et de la corde!! Ce serait un miracle, mais une bonne chose si nous pouvions enfin arriver à faire ne serait-ce qu'une petite ouverture...

Assemblant les planches du mieux qu'il le pouvait, Gaby tendit l'oreille vers la petite ouverture sombre qui commençait à se dessiner et d'où une odeur de soufre commençait à monter.

Plus de bruit tous !!! Il me semble entendre quelqu'un !!!

Gaby ne bougeait plus, accroupit et à l'affût du moindre son pouvant indiquer que quelqu'un était encore vivant sous cet amas de terre et de roches.


MizzChloe a écrit:
[Encore et toujours dans la mine sombre et froide]

Le fait que Kaze parle rassure Chloé. Cette mine lui faisait peur.
Elle essaye de se souvenir le nombre de personnes qu'elle a vu entrer. Ouh! Beaucoup! Et encore, ce n'était que l'entrée d'Aurillac! Du côté de Murat, ça ne doit pas être mieux! Bon sang, mais pourquoi tout s'est écroulé ? Qui a pu faire ça? Aristote, protège nous sitouplait!!
Elle regarde Kaze, qui rampe, et qui rampe. Elle a envie de rire, mais la situation n'est pas la bonne. Un peu plus tard, en taverne, lorsqu'ils iront se remémorer cette sinistre journée passée au fond de la mine. Enfin, que s'ils arrivent à sortir. Et que s'ils ne vont pas mourir... Oh non !! Beaucoup trop jeunes pour mourir ! C'est pas juste! Tout le monde était censé venir pour travailler! C'est en travaillant qu'on vit, et non en travaillant qu'on meurt!


tient les cailloux me parle ? une bière ? non désoler j'ai plus d'écu....

Une bière ? Où ça ? Elle pivote sa tête dans le noir. Ses yeux sont maintenant habitués à l'obscurité, mais c'est pas pour autant qu'elle voit de la bière autour d'elle.

De quoi tu parles? Y a pas de bières ici! Sinon, ça ne serait pas si désagréable que ça que d'être coincé dans une mine.

Elle sourit mélancoliquement, puis regarde de nouveau la silhouette floue de Kaze, qui, cette fois, ne bouge plus. Elle donne une petite tape dans son dos, habituée a ce genre de farces, de se faire passer pour mort. Aucune réponse, aucun réflexe, rien.


Kaze??!!

Toujours rien. Affolée, elle prend son bras, essaie de le bouger, de le réveiller. Elle n'est pas médecin. Elle n'est pas habituée à ce genre de choses. Elle n'aime pas le sang, et celui qui ornait son épaule la rendait malade. Et surtout, voir un Kaze, là, en face d'elle, qui ne bouge pas, bah ça la rend encore plus malade. Elle n'en peut plus, Chloé. Ça en faisait beaucoup trop pour sa petite personne. Trop en un jour!
Elle se laisse tomber, à son tour, près de Kaze dans les restes de la paroi. S'efforcer de rester calme, comme toujours.
Ça va être fini pour eux. Il n'y a plus d'espoir. Elle pose ses mains sur son ventre. Elle ne veut pas rester ici, ni mourir, ni rien. Elle veut sortir de cet endroit obscur, aller de nouveau en taverne, boire, rigoler. Elle veut voir Salga. Elle veut voir sa famille, ses amis, Auri ! C'est trop tôt. Et puis, finir dans un tel drame, c'est pas marrant!
Sa vu se brouille, laissant échapper quelques larmes. Impuissante pour aider son ami. Impuissante pour s'aider elle-même.


ANDROLYNE a écrit:
Aux abords de la mine

Vous avez raison Messire Gaby, je vais voir si il y a d'autres personnes qui creusent ailleurs, il ne faudrait pas en creusant n'importe où risquer un nouvel effondrement.
Il faudrait trouver quelqu'un qui aurait un plan de la mine.


Androlyne remercia l'homme, souhaitant qu'il arrive vite à dégager un passage et s'éloigna cherchant dans la foule une connaissance. Enfin de loin elle reconnut Crapaudine sa collègue de la maréchaussée, elle courut vers elle soulagée

Crapaudine, je suis contente de te voir, est ce qu'il y a un groupe de la maréchaussée prévu ?


crapaudine a écrit:
[devant la mine]

Crapaudine avait du mal à se frayer un passage parmi les gens qui couraient en tout sens, faisant tout leur possible pour porter secours aux maheureux. Les cris, la poussière soulevée par l'éboulement créait un climat surréaliste. Lorsqu'elle entendit une voix l'interpellée.

Crapaudine, je suis contente de te voir, est ce qu'il y a un groupe de la maréchaussée prévu ?

La jeune femme se retourna et reconnue sa collègue de Bourbon.

-Oui Androlyne nous sommes quelques unes conduites par l'adjointe beths et par messire Valézy notre conseiller aux mines...Ils doivent pas être très loin nous sommes arrivés ensemble.

Crapaudine essaya de distinguer ses autres collègues parmi la foule. Elle ne pouvait avouer à sa collègue qu'elle avait eu du mal à maitriser son cheval et qu'elle s'était surement arrêter plus loin que prévu...
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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:50

Beths a écrit:
Aux abords de la mine


Crapaudine, Beths et Valézy arrivèrent ensembles aux abords de la mine. Elle était estomaquée de ce qu’elle voyait. Désolation furent les premiers mots qui lui virent à l’esprit.

Elle arrêta son cheval un peu avant l’arrivée de la mine … comment allaient ils procéder ? L’entrée principale était sûrement effondrée. Elle ne connaissait pas bien le fonctionnement des mines, mais des conversations de son père et de ses amis lui revinrent … elle était relativement jeune, mais elle se rappelait qu’un mine avait toujours des veines annexes … c’était certainement là qu’il faudrait unir leur effort pour tenter d’entrer dans la mine et sauver ceux qui pourraient l’être.
Elle regarda un peu en amont de la mine, voir si elle ne trouvait pas quelque chose … mais elle ne vit rien. Remarquant qu’elle était désormais seule, elle pressa sa monture pour arriver devant l’entrée principale de la mine



Devant la mine

Beths remarqua avec soulagement que quelques personnes étaient déjà présentes. Crapaudine était avec Androlyne. Quel plaisir de la savoir là elle aussi. Elle entendit la dernière phrase de Crapaudine et tout en descendant de sa monture à proximité des deux femmes, elle répondit

Effectivement, un groupe de la maréchaussée a été détaché pour aider à la mine. Crapaudine et moi-même sont sous les ordres du Commissaire aux Mines pour aider. D’autres devraient arriver dont Dame Legowen. Nous avons fait aussi vite que nous pouvions pour arriver.
Anrdolyne où en sommes nous ? Combien sont ils là-dessous ?

Et … mais où est le Commissaire aux mines ?


Parsxino a écrit:
[Aux abords de la mine]

Parcxino creusait, et posait des planches, elle assayait avec les autres au mieux d'ouvrir un passage vers les voix qui avaient été entendues, en espérant que Kaze fut parmis ces voix. L'espoir la forcait à continuer. Elle était tellement concentrée sur son travail que c'est à peine si elle réalisa l'arrivée de Dame Androlyne. Ce n'est que quand elle entendit le mot infirmière qu'elle dressa l'oreille. Trop tard malheureusement, à la vitesse où tout ce passait ici, Androlyne était déjà repartie. Parcxino regarda tous les hommes en train de creuser. Ils allaient y arriver, pas de doutes. Et il faudrait que tout soit prêt pour les blessés que l'on remonterait. Elle posa sa pioche et suivi Androlyne pour la saluer. Elle ne se rendit même pas compte de la terre qui recouvrait les mains quand elle la tendit à l'infirmière, dont la venue soulageait grandement Parcxino.

Bonjour, je me présente, Parcxino, guérisseuse et sage-femme d'Aurillac. Nous avons réunit du matériel emprunté à la clinique dans cette charette, malheureusement notre médecin n'est pas en ville actuellement, et la clinique peu utilisée. On pourra sûrement s'en servir, mais j'ignore dans quelle mesure. Je crois que je représente le seul personnel soignant aurillacois ici. Je suis ravie de voir que je ne serais pas seule, je ne suis pas sûre d'être capable de gérer... ce qui va arriver.

Elle sourit faiblement.


rastero a écrit:
[Dans la mine]

Rastero était remonté plus haut dans la galerie.
Il faisait sombre, une atmosphère étouffante régnait.

Mimi l'avait rejoint avec... Kratos, qui semblait être son nom.
On entendait des voies sans en trouver leur propriétaires.


Lulla ?

Un court instant il entend appeler à l'aide... Chloe !! c'est sa voix !
Chloe !! Ou es tu ?? !

Il cherche sans succès... dans ce noir...
On entendait un genre de grattement, ou bien d'éboulis, cela ne présageait rien de très bon pour la mine, mais quelqu'un devait s'activer plus haut.

Et lui avait eu de la chance avec Mimi et Kratos : dans la piece, l'effondrement n'avait blessé personne, du moins apparement.


Valezy a écrit:
Aux abords de la mine.

Ils avaient chevauché sans répit pour leurs montures et encore moins pour eux-mêmes, effectuant ainsi le chemin entre Clermont et Aurillac d’une seule traite.
Arrivé aux abords de la mine, Valezy se détacha du groupe de maréchales qu’on lui avait assigné, pour gravir un petit promontoire rocheux. Puis, arrêtant sa monture sur cette estrade naturelle, il prit le temps de contempler les dégâts. Sous ses yeux s’offrait à lui un spectacle saisissant, il aurait d’ailleurs presque cru à une réplique exacte mais à petite échelle de l’apocalypse. L’écroulement des galeries avait ainsi fait glisser plusieurs pans de terrain et les volutes de poussières, que la catastrophe avait soulevé, flottaient encore au dessus du site. Le Commissaire aux Mines poussa alors un léger sifflement d’admiration.


Grandiose, on se croirait à Châteauroux.


Puis sur ce simple, et quelque peu effroyable, constat, il talonna sa monture et se mit en route vers le baraquement réservé au contremaître responsable de la mine. Une fois sur place, il ne put que constater, avec une irritation certaine, l’absence de ce dernier.

Pfeh, quand le bateau prend l’eau, les rats sont toujours les premiers à quitter le navire. Si je le retrouve…

Il ne prit cependant pas la peine de terminer sa phrase, premièrement parce qu’il n’y avait personne pour l’écouter et que cela aurait de toute façon semblé bien inutile, et deuxièmement, parce que le sort qu’il réservait à son sous fifre était, dans son esprit, limpide comme de l’eau de roche. Aussi, se contenta t’il de fouiller les lieux en un silence pesant.

Quelques minutes plus tard, le Commissaire aux Mines rejoignit le petit groupe de maréchales, tenant dans une de ses mains un parchemin enroulé. Arrivé à leurs côtés, il mit alors pied à terre.


Mesdames… Rassemblement.

Sur ces quelques mots, il attendit que ces dames se placent en cercle autour de lui, pour dérouler le document qu’il avait prit dans le bureau du contremaître.

Voici une carte de la mine.
Nous pourrions tenter de rouvrir l’entrée, mais se faisant, nous aurions de forte chance de provoquer un second éboulement. En outre, cela nous demanderait des efforts titanesques.
Or, je déteste faire des efforts, cela me fatigue…


Il prononça ces derniers mots sur le ton de l’évidence.

De plus nous n’avons pas la journée, plus vite nous aurons sauver ces mineurs et plus vite nous serons rentré à la capitale pour retrouver le confort et toutes les autres petites choses qui font le charme de la vie citadine.

Enfin bref… Vous voyez cette galerie ?


Il pointa un doigt ganté sur un endroit de sa carte.

Elle a été abandonnée l’année dernière. Le gisement d’or y était en effet épuisé et les efforts d’extraction se sont alors portés sur d’autres filons. Il est donc peu probable que cette galerie là ait été touchée.

Et… ici c’est un des puits d’aération qui donne justement sur cette galerie. Il devrait donc se trouver sur cette colline, là-bas !

Voila donc le plan, mesdames. On rentre et on sort tout ce beau monde de ce pétrin.
C’est clair, simple et net.

Beths !!! J’ai une mission d’importance à vous confier… Une tâche que seule une adjointe au prévôt aussi compétente que vous pourrait accomplir, donc écoutez moi bien.
Prenez deux maréchales avec vous et rendez vous au baraquement juste là. Vous y trouverez des pioches et des barres à mines. Ramenez nous en, ainsi que des cordes. Et fissa…
Et au passage si vous trouvez des volontaires, ramenez les moi aussi.

Au fait, encore une dernière petite chose, si vous apercevez des personnes suspectes qui essaient de profiter de cette pagaille pour sortir d’ici avec quelques pépites d’or… Tabassez les ! Ca leur apprendra à vouloir usurper les biens du duché.


legowen a écrit:
Aux abords de la mine

Leur petit groupe était arrivé et Leg fit la grimace en voyant l’ampleur des dégâts et le paysage de désolation, de la poussière stagnait au dessus de l’endroit où peu de temps auparavant s’élevait la colline surplombant la mine
De nombreuses personnes essayaient d’organiser des secours, la plupart munies de pelles, creusant pour dégager une entrée
Elle fit avancer son cheval resserrant un peu les rennes pour le conduire à travers la foule et rejoignit Beths et Crapaudine , proches d’un chariot qu’elle connaissait bien, descend de sa monture , l'attache au chariot et va vers son amie


Andro, je suis vraiment contente de te voir, je vois que tu es venue avec de quoi, ça va nous être bien utile, quelle désolation dis moi, et ces pauvres gens à l’intérieur

Leg a hâte de se rendre utile, attends avec ses collègues, et voit le commissaire aux mines arriver avec un parchemin qu’il déroule, se place près de lui et écoute ses explications tout en suivant sur le plan
Bien , un trou d’aération , on rentre, on sort , oui clair et net , enfin sur le plan parce que dedans, risque bien d’être une toute autre histoire
Déjà pour que ce soit clair va falloir des torches, en plus pour les cordes, pas sur que ça suffise, bon va pas faire sa rabat joie

Lance ok percuté chef

euh ça c’est plutôt à la Coba que ça doit se dire, mais bon… on a dit : efficacité

et se propose pour accompagner Beths
je viens si tu veux pour aider à porter le matériel

sourit à la dernière phrase de Valezy

Chef, on se fera un plaisir de les tabasser, un par un en y mettant tout notre cœur, faut de l’application dans le travail

et suit Beths en récitant , je tabasse, tu tabasses , ils tabassent ah non ça va pas là , nous tabassons ……

Elle a jamais aimé ceux qui profitent du malheur des autres , ça la met en rogne, et une Leg en rogne , c’est rare mais saisissant


*elfy* a écrit:
Aux abords de la mine

Plus de bruit tous !!! Il me semble entendre quelqu'un !!!

Gaby avait parlé fort.................Elfy s'arrêta net et écouta....
Aucune voix ne semblait lui parvenir, pourtant elle avait crié si fort que son mari aurait du l'entendre !

En plus de ses forces qui s'amenuisaient, son moral lui échappait................elle gardait les yeux toujours rivés sur la petite ouverture sombre, l'odeur de souffre arrivait jusqu'à elle comme pour la narguer................


Gaby ? Je peux continuer à appeler Rast, il m'entendra j'en suis sûre, sa voix me guidera et s'il me répond nous pourrons diriger nos efforts dans cette direction!
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:51

lullabyGrimwald a écrit:
Intérieur de la mine, boyau sous les pieds d'Elfy

Lulla ?

Vla qu'on disait son prenom maintenant, elle trouvait cela etrange, d'entendre des voix de partout et de ne rien voir. Ca grouillait de tout les cotés mais elle ne voyait rien, le souffre lui montait peut etre a la tete qui sait.

Bon bah a ceux qui m'entende d'en haut et bah...ceux d'en bas aussi...ou sur les cotés... ou je sais pas...

Mal à la tete...


Je vais vous raconter une histoire ca me tient eveiller et ca vous fait venir jusqu'a moi!

Elle se colla contre la paroi pres du filet d 'air , le souffre lui donnait la nausée, elle etait de moins en moins bien.


C'est l'histoire d'un Clan, qui vit sur l'île des brûmes, quasiment exclusivement composé de femme, il prime sur...


Sa respiration se fait plus lente, elle ne sait meme plus ce qu'eel voulait dire ensuite, pourtant c'est l'histoire de ses ancètres.

Trou noir


ANDROLYNE a écrit:
Aux abords de la mine

Soulagée d'entendre Crapaudine lui annoncer l'arrivée d'un groupe de maréchaux conduit par le Commissaire aux mines, Androlyne voit Beths suivie de Legowen et du reste de la troupe approcher.

Ah justement voila déjà Beths.

Bonjour Beths, je viens à peine d'arriver, je crois que personne ne sait vraiment combien de personnes se trouvent prisonnières dans la mine.


Une jeune femme s'approche et se présente comme guérisseuse d'Aurillac, Androlyne lui sourit heureuse qu'elle soit là.

Bonjour dame Parcxino, contente de vous savoir ici aussi. j'ai apporté également tout ce qui m'a paru nécessaire, ma charrette est là bas lui dit elle en lui indiquant de loin sa carriole gardée par Barnabé, en tournant la tête elle voit arriver , son amie Legowen et altier sur son destrier, le commissaire aux mines.

Ah leg, Je te présente Dame Parcxino qui est guerisseuse à Aurillac, je pense que nous en serons pas trop de deux.
Mais voilà Valezy avec un plan. approchons nous


Valezy appelle les maréchaux autour de lui et explique la situation, envoyant la troupe vers une galerie sur la colline plus loin. Alors que les maréchaux obéissent sans tarder, Androlyne s'approche du parrain de sa chef

Messire, nous nous sommes croisés plus tôt dans le bureau de Dame Mativa, je suis Androlyne, maréchale à Bourbon mais aussi infirmière et si vous n'y voyez pas d'inconvénients, avec Dame Parcxino ici présente, guérisseuse d'Aurillac, nous allons installer une tente à mi chemin de l'entrée et de la galerie abandonnée pour soigner les blessés
[/i]


rastero a écrit:
[Dans la mine]

Rastero essayait de guider Mimi et Kratos d'apres le plan...
Heureusement, même s'il avait du mal à lire avec l'obscurité, il pouvait tenter de déchiffrer la carte.


La !! J'en suis sur ! Je me souviens, la galerie donne sur le boyau central !

Il fallait y aller, et vite ! Rastero semblait entendre Lulla, mais plus Chloe.
C'était une véritable catastrophe, des tas d'hommes devaient être à l'entrée pour creuser, et eux trois ici, impuissants...


Rastero reprit mal au flanc, sa chemise était maculée de sang. Il pressait sur la blessure pour arrêter ça. Heureusement, ca n'etait pas très grave... pour l'instant.

Il suffoquait, il prit un moment pour s'arrêter et reprendre son souffle.
Posant sa main sur l'épaule de Mimi :


Il va falloir... faire vite... Je... m'épuise...

Il se força à continuer, sa femme devait être là haut... L'image de son mariage récent lui venait en tête, elle passait et repassait, et cela lui donnait la force de continuer à avancer.
Du courage...


Beths a écrit:
Aux abords de la mine

Legowen les avait rejoint, petit à petit les forces de la maréchaussée augmentaient … et cela serait bien utile car tous les bras seraient nécessaires si elle en croyait le paysage, la poussière et la désolation qui étaient présents aujourd’hui.

Elle sourit pauvrement à Androlyne qui fit quelques présentations. Il y avait des guérisseurs. Parfait.


J’espère que nous n’aurons pas besoin de guérisseur aujourd’hui … mais je crains d’être trop optimiste. Heureuse que des personnes compétentes soient là.

Le Sieur Valezy arriva avec une carte de la mine et rassembla les secours. Beths, silencieuse et prête à enterrer la hache de guerre écouta.
Elle leva les yeux aux ciels lorsque cet homme indiqua qu’il détestait faire des efforts … hum … un séjour à la COBA ou à la douane lui serait d’une grande aide pour comprendre ce que labeur signifiait, mais Beths se tut. Aussi incroyable que cela pouvait paraître, elle ne dit rien, elle grimaça juste.
Des vies étaient en jeu, et il fallait faire vite … autant ne pas perdre de temps en d’inutiles querelles.

Son idée de passer par l’aération d’une galerie secondaire correspondait bien à ce qu’elle se fût imaginée. Donc, ses maigres connaissances seraient peut être utiles. Il faudrait qu’elle se concentre pour se rappeler les dires des anciens, ils avaient sûrement du évoquer des effondrements de mine.

Soudain Beths sursauta, le Sieur Valézy lui parlait. Mais, de stupeur Beths resta trois secondes ébahie la bouche ouverte … et ce fut trop ! Elle explosa !


Beths !!! J’ai une mission d’importance à vous confier… Une tâche que seule une adjointe au prévôt aussi compétente que vous pourrait accomplir, donc écoutez moi bien.
Prenez deux maréchales avec vous et rendez vous au baraquement juste là. Vous y trouverez des pioches et des barres à mines. Ramenez nous en, ainsi que des cordes. Et fissa…


Une mission de confiance hein ????
Non mais pour qui vous prenez vous ?! Si vous êtes uniquement là pour donner des ordres et ne pas lever un petit doigt pour nous aider, partez !!! Si vous avez peur de vous salir ou transpirer, vous nous servez à rien !!! Espèce de pédant !
Tout adjointe que je suis-je n’ai pas peur, moi, de me salir. Car la mission que vous semblez me confiez, n’importe quel quidam pourrait la remplir !


Beths aurait pu déblatérer contre lui des heures durant, mais Legowen la ramena à la raison en lui proposant de l’aider à récupérer le matériel.

Tu as raison Legowem, allons y. Montrons à ce … hum … responsable ? comment on travaille

Elles se dirigèrent vers le baraquement d’un pas pressés, et sur le chemin Beths sourit en écoutant Legowen tacher de détendre l’atmosphère. Elle lui répondit en souriant

Hum moi c’est plutot que « lui » que je tabasserais Beths savait que Legowen comprendrait parfaitement de qui elle parlait.
Elles choisirent donc des pioches, pelles, barres à mines et cordes et revirent aussi vite qu’elles le pouvaient sous les poids qu’elles portaient.


Soudain la maréchale Elfy hurla. Beths lâcha aux pieds du Sieur Valezy tous les outils qu’elle portait … un malencontreux hasard fit qu’un pelle s’aplatit à un demi centimètre de son pied. Elle lui sourit, puis couru vers l’entrée de la mine.
Un instant passa.
Elle n’entendait rien


Elfy es tu sure ? je n’ai rien entendu moi …

Maréchaux, prenez chacun une pioche, pelle, barre à mine et tachons de creuser un trou dans une galerie annexe pour tenter de faire sortir ceux qui sont bloqués.
Sieur Valézy ? Où devons nous creuser ?


Parsxino a écrit:
[Aux abords de la mine]

Parcxino avait hoché la tête pour saluer les nouveaux arrivants. Elle remarqua avec soulagement la carte et essaya immédiatement d'identifier sur la carte la galerie à fleur de terre qu'ils avaient repérée et essayé d'atteindre. Malheureusement c'était à l'envers et l'homme qui semblait donner les ordres aux hommes de la COBA la recouvrait presque entièrement. Elle se mit sur la pointe des pieds pour mieux voir, mais abandonna l'idée. Elle espérait qu'il ait aussi trouvé le registre avec la carte

Ravie de faire votre connaissance, même si j'aurais préféré en de meilleures circonstances.
Pour information vous trouverez du matériel supplémentaire dans la charette près de l'entrée, on a fait une razzia chez les forgerons et charpentiers du village. Des personnes doivent être en train de creuser dans la galerie principale, mais une petite fille ayant entendu une voix un peu plus loin, nous avons commencé à y creuser. J'ignore exactement de quelle galerie il s'agit, mais il semblerait que nous ayons trouvé quelqu'un de vivant. On ne sait pas à quel point c'est profond, mais on espère que bientôt quelqu'un puisse sortir, peut-être plus d'une personne.


Elle montra le groupe personnes qui travaillaient dur un peu plus loin, à peine des ombres alors que le soleil se couchait, beaucoup trop tôt, trop vite. Parcxino repensa avec un serrement au coeur à Kaze qu'elle savait là dessous. Une journée entière enfermé par la terre. Pourvu qu'il ait de quoi manger un peu avec lui... Elle frissona et essaya de se concentrer sur ce qu'elle pouvait concrètement faire.

Pour la tente... Je dirais qu'il faut surtout faire attention à ne pas la poser sur du sol instable... cette terre est un véritable gruyère.


*elfy* a écrit:
Elfy es tu sure ? je n’ai rien entendu moi …

Oui Beths, j'en suis certaine, c'est la voix de Rast, personne mieux que moi peut la reconnaitre, faut creuser encore je descendrai en premier, je ne peux pas rester là à attendre je suis sûre qu'il est blessé.......

Elle pensa à sa cicatrice, si elle s'était réouverte......cette idée lui glaça le corps, alors d'arrache pieds elle se remit à la tâche, creusa doucement pour ne pas faire plus de dégâts, de temps à autres elle regardait Gaby comme pour trouver en lui du courage.


mimicracra a écrit:
[dans la mine]

La curieuse farandole poursuivait son avancée, Rastero en tête. Ce dernier fatiguant de plus en plus... Il pose sa main sur son épaule, elle lui répond par un petit sourire d'encouragement, mais inutile à cause de l'obscurité.

Il va falloir... faire vite... Je... m'épuise...


Elle lâche alors Kratos, et prend la main de Rastero et passe son bras autour de son épaule.
Il était beaucoup plus grand qu'elle et elle aurait été bien incapable de le retenir...
Qu'importe après tout, l'oxygène se faisant de plus en plus rare, elle était maintenant persuadée de mourir très vite.


kratos47 a écrit:
Kratos suivait avec beaucoup de mal Mimi et Rastero.Il souffrait il mit sa main au niveau de ses cotes...Il sentit un morceau de bois et du sang sur ses doigts...Voyant Mimi si jeune, si inoffensive, si gentille....Kratos ne pouvait accepter de la laisser mourrir ici ! Il recupera un gros morceau de bois et le frappa contre le mur fou de rage !

ARRRRRRRGHHH !!! Non c'est trop tôt !

Il se mit avancer de toutes ses forces prit avec violence le plan que rastero tenait dans ses mains ! Dans sa colère il arracha de toutes ses forces la moindre pierre qui se presentait devant lui...De la colère,de la rage du délire....

Mimi et Rastero assistaient impuissant à cette folie ! Une voix se fit entendre...
kratos reste immobile et se met à hurler.


ON EST ICI !!!!!!!
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:52

Blood Sunshine a écrit:
Oui Beths, j'en suis certaine, c'est la voix de Rast

A ces mots, Gaby regarda Elfy et il lui paru ne voir plus que son sourire au milieu de son visage d’ange. Le crépuscule arrivant, la faible lueur des lanternes commençait à faire danser des ombres indécises autour d’eux.

Se pouvait-il qu’ils soient si près de revoir leurs amis ? Déjà ?

Gaby leva la tête et regarda l’étendue du désastre. La lumière du soir accentuait les zones d’ombres et n’allait pas arranger les choses. Il savait que ce ne serait pas aussi simple que ça…

Il vît un peu plus loin un petit groupe de personnes… Des soldats à en juger leur démarche ! Enfin, du renfort, voilà qui était une bonne chose.
Gaby essaya de calmer un peu la joie d’Elfy, lui qui par expérience, n’était que par trop pessimiste.


Oui Elfy, si c’est bien Rast nous allons le sortir de là, et tous les autres par la même occasion. Mais il nous faut prendre garde, car plus la terre sera meuble et plus les risques d’un nouvel éboulement sera grand !!

Nous ne devons pas ménager nos efforts, mais faisons-le avec prudence plutôt qu’avec précipitation !


Gaby lui sourit, et fît un clin d’œil à la gente Dame venue les rejoindre. La petite Eléonore avait fait preuve d’un grand courage… Pas encore 8 ans et elle valait déjà mieux que nombre de personnes qu’il avait rencontré dans sa vie. La petite donnait quelques signes de fatigue… Elle en avait enlevé de la terre !!!

Tu ne veux pas te reposer Eléonore ? Tu as déjà fais un très beau travail tu sais ?

Je ne suis pas fatiguée Gaby, et je veux sauver ma soeur Lulla qui est dans le trou…

On va la sauver ta sœur courageuse demoiselle !!! Je t’en fais le serment devant Aristote !!

Gaby se frotta les mains sur ses braies crasseuses, et entreprit de terminer au plus vite ce qu’il avait commencé quelques heures plus tôt… Il savait dorénavant qu'à quelques pas en dessous de lui se trouvaient des personnes vivantes, dont Rast!


Valezy a écrit:
Aux abords de la mine.

Les ordres étaient donnés, mais bien entendu il fallait que Beths rechignent, un sourire amusé plana alors sur le visage du Commissaire aux Mines. Dieu que cette petite était amusante, là voila maintenant qui jugeait sa vie, son existence et ce sans rien connaître de lui. D’un autre côté comment aurait t’elle pu savoir qu’elle s’adressait à un ancien officier de la COBA devenu par la force des choses mercenaires ? Et que Valezy avait bel et bien connu la souillure, non pas celle de la crasse c’était un fait, mais une bien plus fétide et bien plus marquante que celle-ci, car il avait connu le goût du sang.
Toutefois, il ne crut pas bon de préciser et laissa la jeune fille à cette ignorance que lui saillait si bien. Aussi se contenta t’il d’agiter un bref instant sa main pour la congédier et lui dit pour unique réponse :


« Si vous ne voulez pas suivre mes ordres, grand bien vous fasse, mais alors dégagez moi le plancher et bon vent. Je ne tolérerais pas que vous me retardiez… »

Finalement, l’adjointe au prévôt fit route vers le baraquement qui lui avait était indiqué, il en profita pour examiner une dernière fois sa carte et se fut ce moment que choisirent Parsxino et Androlyne pour venir lui parler.

« Enchanté Androlyne, je me nomme Valezy et je me souviens en effet de vous. »

Il redressa alors son nez de la carte et regarda les deux jeunes filles.

« Excellente idée que voila pour la tente, si vous avez besoin d’aide pour la monter dites le moi, l’adjointe Beths se fera un immense plaisir d’avoir une seconde grande mission à effectuer aujourd’hui.
Vous devriez cependant la monter près de ses baraques en bois là bas. Si elles tiennent encore debout c’est que le sol y est assez solide.

Quant aux volontaires qui creusent en ce moment même, je leur souhaite bonne chance.
Pour ma part, je vais tenter ma chance en rentrant par un des puits, la roche ici est plus solide qu’il n’y parait et j’ai bien peur qu’il nous faille plusieurs jours pour créer une nouvelle sortie. Il a en effet fallu des années pour excaver les galeries existantes…

Mais ne vous en faîtes pas tout ira bien. »


C’est à ce moment là qu’il entendit hurler, visiblement l’un des volontaires avait entendu une victime de la catastrophe. Il regarda avec attention la localisation de la dénommée Elfy et l’annota sur son plan. Parfait… C’était parfait…
Il était tant et si bien plongé dans ses réflexions qu’il ne vit pas revenir Beths et Legowen, il n’eut d’ailleurs même pas conscience de l’agression de cette dernière. Et en un sens cela valait mieux pour tout le monde, il semblait en effet que l’ignorance de la maréchale Beths la conduisait à faire d’impardonnable erreur… Du moins pour sa propre santé.

Une fois ses observations terminées, il rangea calmement sa carte dans sa sacoche et se baissa pour ramasser une des barres à mines ainsi qu’une des cordes qui étaient mystérieusement apparut devant lui. Lorsqu’il se redressa, il tonna d’une voix forte qui ne laissait aucune place à la discussion pour les maréchaux qu’on lui avait assigné.


« Le puit est là bas ! Prenez des outils et allons y ! »

Sur ces quelques mots, il se mit à courir vers l’endroit qu’il avait indiqué quelques minutes plus tôt, et qui se situaient à une centaine de mètre environ de l’entrée écroulée de la mine. Arrivé sur place, il poussa un soupire de soulagement en repérant l’assemblage de bois qui avait été bâtit là pour condamner le puit lors de la fermeture de la galerie sous jacente.
Il planta d’un coup sec sa barre entre deux planches de bois et appuya sur l’outil de toutes ses forces. Le bois céda alors en un craquement et révéla une ouverture dans le sol à peine plus large qu’un homme.
Il se pencha alors vers le trou et poussa un sifflement avant de reprendre.


« Jetez moi une torche là dedans pour vérifier qu’il n’est pas bouché.
Pendant ce temps là j’accroche les cordes, puis on descend. »


rastero a écrit:
[Dans la mine]

Rastero avançait de plus en plus fatigué. Sa blessure saignait toujours, ce n'etait pas beau du tout.
Et Kratos qui commençait à délirer, à partir dans la violence, cela ne vallait rien...
Mimi... La pauvre, elle ne devait pas subir.

Ils remontaient le boyau lentement. Mimi tentait de le maintenir debout et l'aidait à avancer. Il y mettait toutes ses forces.


Merci... Mimi...


[Boyau central]


Rastero entendait du bruit, des bruits. On croirait entendre des voix.

Lulla... Zeze... Chloe... Il n'arrivait plus à crier, ses forces s'amenuisaient terriblement.

Elfyyyyyyyyyy !! Il tomba à genoux, à bout de force. Il pensait pertinemment que ce cri fut inutile, les larmes lui montèrent. Ne plus voir ses amis, sa femme... Il se sentait impuissant, un vrai rat piégé...

Du bout des lèvres : Merci pour tout Mimi... Il éclata en sanglots, il n'en pouvait plus... Mais ne pas dormir, non surtout pas !
La pensée de ses collègues maréchaux en haut le maintenait éveillé, ils y étaient forcément, ils les verraient bientot... Le gestion des mines le révoltait, comment une telle catastrophe pouvait avoir eu lieu ?!! Il se secoua la tête, mais impossible de continuer plus loin.

Des secours, il ne manquait que des secours...


kratos47 a écrit:
Kratos vit Rastero se mettre à pleurer d'impuissance et de douleur...
Il s'asseya et se tourna vers mimi :


Encore pardon pour t'avoir amené ici...Je suis désolé sincerement désolé...

Et s'adressant aux deux.

Je suis kratos je viens de Thiers.Vous connaissez Thiers ? Son chateau le fameux chateau Gaillard et ses champs....les chaumières qui fument les jours de grands froids les verres entre amis...le calme qui gene pas mal de monde mais en reconforte tant d'autres.

Polignac ses collines, sa jolie foret, ses habitants son esprit dit il en s'adressant à Mimi.

Voici à ce que je pense en ce moment, je n'ais ni d'amis qui m'attendent,ni de famille ni meme de femme s'inquiétant à la maison en pensant à son mari alors que ses enfants si innoncents jouent tout autour...

Et vous ? vous avez de la famille ? vu que l'on est là autant discuter.cela nous garde eveillé.


MizzChloe a écrit:
Un trou perdu dans la mine

Chloé a cessé de lutter. Lutter contre la mort. Lutter pour sortir. De toute façon, il n'y avait aucune issue. L'oxygène n'allait pas l'alimenter éternellement. Son ventre gargouillait, elle avait faim et elle avait soif.
Elle est allongée, là, en scrutant le plafond... ou du moins, ce qu'il en restait. Elle sentait le sang couler le long de son épaule, mais bon, vu qu'elle a cessé de lutter...
Kaze était toujours à côté d'elle, inconscient. Elle craignait le pire pour lui. Tout comme pour elle même, d'ailleurs.
Comme pour passer le temps, elle chantonne une petite chanson à voix basse. Ça lui fait rappeler de bons moments en taverne. Y a t-il des tavernes, là-haut?

... J'ai le gosier qui s'lasse, être tout sec quelle horreur...
Elle soupire, dans le silence profond de la mine. Elle se demande où est ce qu'elle va être enterrée. Forêt des cris, c'est pas mal. Ou près d'une taverne. En tout cas, elle voudrait une choppe près de sa tombe. Et des fleurs! Ah oui, des fleurs rouges!
Chloé sursaute en entendant un cri. Un cris. Plusieurs cris. Des voix. Du brouhaha. Qui que quoi ?! C'est bon, je suis au paradis?
Sa respiration s'accélère. C'est fini pour elle. Elle prend une petite pierre qui se trouve à côté d'elle et la jette par dessus Kaze. Non, pas d'Aristote, ni de forêt magique, ni d'endroits blancs comme la neige, un milieu serein. Juste un drôle de petit bruit de pierre contre une autre pierre. Non, je suis toujours dans cette fichue mine.
Marre. Marre. Marre!!!!
Elle ne veut pas pleurer. De toute façon, pleurer ça sert à rien. Surtout quand on sait que sa fin est proche. Profiter des derniers moments. Comment l'aurait-elle fait si elle ne serait pas coincée dans une mine?
Elle se lâche dans un énorme éclat de rire. Eclat de rire qui résonne dans la galerie. Eclat de rire sincère et pourtant si triste. Elle hurle, pour lâcher ses dernières forces.

FINISSEZ-EN!!! QU'EST CE QUE VOUS ATTENDEZ?!! J'EN PEUX PLUS!!! J'en...j'en peux plus...
De nouveau, ses yeux secs deviennent trempés. A bout de forces, elle puise les dernières larmes en elle.


*elfy* a écrit:
Aux abords de la mine

Elfyyyyyyyyyy !!

RAST ! Je suis là, tiens bon, ne t'épuise pas, ne parle pas, garde ton oxygène, on va vous sortir de là

En disant cela elle entendu Valezy clamer

Jetez moi une torche là dedans pour vérifier qu’il n’est pas bouché.
Pendant ce temps là j’accroche les cordes, puis on descend.


Elle se précipita vers lui avec une torche et la balança dans le trou, puis prit une voix ferme et décidée


Je me porte volontaire pour descendre !


Elle jeta un oeil sur Gaby pour lui montrer que personne l'en empêcherait.


Eléonore a écrit:
La petite fille bien que très jeune mais elle était toujours très courageuse surtout lorsque ses proches étaient en danger!elle qui avait aidé a soigner maman et qui avait connu la guerre...
si jeune et très enfantine parfois mais déja si grande en même temps niveau vécu et,de ce fait,malgré la fatigue elle résista et dit alors à gaby


Citation :
Je ne suis pas fatiguée Gaby, et je veux sauver ma soeur Lulla qui est dans le trou…

Ensemble ils continuèrent de creuser à n'en plus pouvoir et à dégager les pierres comme ils pouvaient,sa y est ils étaient tous les trois dans la grotte avec en tête le chemin de la sortie.Gaby avait le sac de nourriture et ils étaient solidaires entre eux scrutant les horisons à la recherche de ratz et lulla

Lullaaaaaa raaaatz vous êtes ou?????????

merci gabi de m'avoir fait bouger!
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:52

crapaudine a écrit:
Crapaudine se tenait sur le qui-vive attendant les ordres et assistait amusée à l'échange entre Beths et Valézy se demandant qui aurait le dessus.

Le puit est là bas ! Prenez des outils et allons y !

La jeune femme sursauta et se sentant fautive de révasser dans un moment pareil attrapa une pelle et une corde par terre et se mit à courir vers l'ancienne entrée de la mine derrière le conseiller. elle le regarda attaquer les planches qui barraient l'entrée avec une barre de fer et passer la tête pour regarder à l'intérieur.

Jetez moi une torche là dedans pour vérifier qu’il n’est pas bouché.
Pendant ce temps là j’accroche les cordes, puis on descend.


Crapaudine prit la parole :

-J'y vais messire euh Chef !! euh messire chef !! et elle tourna les talons vers l'entrée de la mine où elle y avait vu une pile de torche.

A mi-chemin elle croisa un homme portant deux torches belle aubaine !! elle l'interpella :

-Et toi là bas donne-moi ces torches !! Non ? Quoi non ? Attention tu sais à qui tu dis non ? regardes l'homme là bas... il en mange dix comme toi au dejeuner si tu veux pas f....

L'homme visiblement attérer, surement par ce discours, lui placa les torches dans les mains et reparti en courant.

-Chouette ca marche ! et elle reparti vers ses collègues qui étaient en train d'attacher des cordes.
Elle jetta une des torches par l'ouverture pratiquée et détailla l'ancien puit à la lueur de la flamme.

-Cela semble faisable.... Qui passe en premier ? elle recula d'un pas espèrant que ce ne soit pas elle.


legowen a écrit:
Petit sourire de connivence avec Beths, Legowen a fort bien compris de qui parle l’adjointe au prévôt, promet de joyeux échanges pour plus tard arrivent au baraquement Choisir le matériel, le prendre et le ramener ne leur prennent que quelques instants . Les deux jeunes femmes sont bien conscientes que le temps presse.

De retour près de leurs collègues, déposent, heu laissent plutôt tomber pelles, pioches, barre à mines et cordes,

Y en a pour tous, servez vous, n’hésitez pas

Leg apprend qu’une des personnes présentes, une jeune femme nommée Elfy ,aurait localisé une victime . Elfy ? ce nom ne lui est pas inconnu, réfléchit un peu , mais oui ça lui revient, c’est la jeune épouse de Rastero, leur collègue de la maréchaussée, elle sait qu’il va de temps en temps à la mine lorsqu’il n’est pas de garde, elle espère bien qu’il n’est pas blessé

Pendant que Valezy termine de consulter son plan, salue Dame Parcxino


contente de vous voir Dame, votre venue va être aussi d’un grand secours pour les soins aux victimes
Andro, tu t’es arrangée avec notre commissaire aux mines ? il t’a montré où disposer ton équipement ?


A ce moment, un ordre lancé d’une voix forte, il faut y aller, Leg saisit pioche et barre à mines , et suit en courant son chef

Arrivent à un ancien puits, dont l’ouverture a été obstruée par des planches de bois, qui ne résistent pas longtemps à la poussée que Valezy leur inflige avec la barre à mine
Trou noir dégagé, torches demandées et lancées par la jeune épouse de Rastero et Crapaudine et qui permet de voir que l’ancienne conduite n’est pas bouchée , du moins pas sur les premiers mètres , les cordes installées, Elfy se porte volontaire

Leg la comprend , si elle était mariée et que son mari soit en bas, prisonnier des ténèbres , elle ferait de même . Prés d'elle Capaudine qui n'a pas l'air de vouloir passer la première , la comprend aussi, brrr


Elle se penche pour regarder, faible lueur de torches qui luisent encore et qui percent l’obscurité, odeur d’humidité, de moisi , sensation de froid qui monte des entrailles de la terre . Leg se penche un peu plus , trop sans doute, glisse, essaye de se retenir à la première personne et les évènements se précipitent

Il se trouva que la première personne proche d’elle fut Valezy, qu’elle s’agrippa bien involontairement à sa manche , laquelle dans un bruit d’étoffes déchirées céda, ( les tissus ne sont plus ce qu’ils étaient , faudra voir le tisserand) , main qui cherche à l’attraper, glisse et finalement empoigne une de ses bottes, heureusement qu’elles sont bien fixées et que , et bien , que Leg est en équipement de maréchale, donc en braies Donc voilà une Leg tête en bas


aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh

retenue par une botte par Valezy , qui est bien prêt de glisser lui aussi aaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeehhhhhh

Tend un bras désespérément , mains qui tournoient à la recherche d’une corde , tête en bas , pas évident , voudrais vous y voir, la relève un peu et découvre, oh joie , une corde oscillant devant ses yeux, la saisit

ooouuuufffffff

et l’agrippe , se sentant en confiance, se retourne pour reprendre position plus confortable , soit tête en haut et pieds vers le bas

Dans le mouvement n’a pas pensé que Valezy la retenait encore, le déséquilibre et voit horrifiée son chef glisser aussi. Heureusement, il a du avoir quand même un certain entraînement car se rattrape facilement à la corde, heu sa corde, et les voilà tous deux se balançant dans le trou , lève les yeux vers lui d’un air contrit et lui fait son sourire le plus charmant


Merci chef,sans vous.... heu j’ai glissé

se rappelle un bruit d’étoffe déchirée, grimace et pour détourner l’attention , prend son air mine de rien et dit

Bon on descend , je passe avant vous , vous ne m’en voudrez pas ?

empoigne la corde fermement et commence la descente qui consiste à se laisser glisser doucement, bon ça elle sait , un sol qui se rapproche , enfin elle est en bas
Leg se met de côté pour laisser la place à Valezy qui touche terre juste après elle , lève la tête et aperçoit les visages de ses collègues dans une petite tache de lumière.


mimicracra a écrit:
Kratos avait piqué une bonne crise de nerf, Rast se faisait de plus en plus lourd et Mimi était à bout de forces et le moral au plus bas.

Asseyons un instant... de toute manière...

Elle se tait un instant pour reprendre son souffle.

Kratos ne s'arrêtait plus de parler et allait bientôt s'epuiser lui aussi.

Elle lui répond toutefois d'une voix faible.


J'ai un frère et un grand père. Mais je doute qu'ils soient actuellement en train de me chercher ici... Je voyage souvant, ils doivent juste penser que je suis encore partie.


Puis tournant la tête vers Rast, elle murmure.

Tu reverras Elfy et Fiona...


Assise, elle pleure en silence et s'enferme dans le mutisme.


rastero a écrit:
Rastero à bout de force, s'assit et s'adossa contre une paroi rocheuse.
Il souffrait de plus en plus, et la fatigue le prenait.


Tu reverras Elfy et Fiona...


C'était la seule chose qui lui importait maintenant... Il prit la main de Mimi, quel dommage de ne durcir cette amitié que dans de telles conditions...

Je sais que tu reverras ton Papi Bobi... et Angel aussi...
L'air se faisait irrespirable...

RAST ! Je suis là, tiens bon, ne t'épuise pas, ne parle pas, garde ton oxygène, on va vous sortir de là

Il en était sur, c'était elle ! Il leva les yeux sans rien y voir pour autant et hurla du peu de forces qui lui restaient :

Nous sommes là !
On va s'en sortir... On va s'en sortir, ils sont là, on va s'en sortir...
Il était temps de sortir, grand temps, sinon seul Aristote saît ce qu'il pourrait ce passer...


*elfy* a écrit:
Nous sommes là !

Cette voix, à défaut de voir son propriétaire, elle ne pourrait jamais l’oublier, ni même la confondre, il avait réussi à lui parler...............Il était donc bien en vie......déchainée plus que jamais, oubliant la fatigue, elle rassembla ses esprits....

Nord, Sud, Est ou Ouest… rien ne lui parle… elle ne sait même pas s'y rendre et pourtant moult âmes tentèrent de lui apprendre…
Au moins, elle faisait la différence entre jour et soleil… nuit et lune....Arff !!!
Mais cette fois-ci il lui suffit de suivre sa voix...… ce qu’elle allait faire, jusqu’à ce qu’elle arrive enfin en un lieu étouffant de souffre.

D'un regard suppliant elle dit à Valezy


Dis moi quand je peux descendre, je suis prête !


Beths a écrit:
Beths un tantinet agacée par le comportement du Sieur Valézy se conforma tout de même à ses ordres. Elle prit une corde et suivi le groupe de maréchaux jusqu’aux puits.

Pendant qu’elle-même et Elfy attachaient une corde bien solide au bord du trou, Crapaudine était parti chercher des torches. Elle les lança dans le fond du puits, prenant garde de ne pas viser la corde.
Tous les membres du groupe se penchèrent pour examiner la profondeur du trou. La maréchale Elfy se porte volontaire pour passer devant. Beths allait répliquer qu’il était peu être plus prudent de mettre en meneur du groupe une personne un peu moins impliquée émotionnellement quand les événements se précipitèrent.
Legowen glissa.


Leeeeeeeeeeeeeeegcria Beths en pure peine.

[i]Mais Legowen avait des ressources incroyables. Soit, elle avait 9 vies comme les chats, soit elle s’était particulièrement exercée à la maréchaussée aux exercices d’assouplissement et de force.
Dans sa chute elle entraina Valezy.
Tous deux se rattrapèrent avec superbe à la corde. Beths pouffa de rire pensant au Sieur Valézy qui ne souhaitait pas de salir … il n’avait plus le choix, il était dans le trou !

La corde était solidement attachée soit, mais mieux valait ne prendre aucun risque. Avisant les personnes autours d’elle,


Aidez moi à maintenir cette corde !

Beths soutenait la corde et bientôt quelques personnes furent derrières elles. Quand elle ne sentit plus de tension, elle lacha la corde et passa sa tête au dessus du puits pour voir où étaient Legowen et le Sieur Valezy

Pas de casse en bas ?
Ne bougez pas, nous suivons !
Un groupe doit il rester en haut ?


D’un signe de tête elle fit signe à Elfy de passer la première et de descendre à la corde. Elle-même et les autres maintenaient la corde.
Elfy piaffait d’inquiétude, et il était clair qu’il était hors de question de la laisser en arrière … et c’était compréhensible … son époux était prisonnier de cette mine. A sa place elle aurait agit de même.
Une fois Elfy en bas, elle-même suivit le même chemin et commença la descente vers le fond du puits en se laissant doucement glisser le long de la corde.
Une fois en bas, elle ne peut retenir que rigoler doucement en regardant Legowen


Ah toi quand tu te portes volontaire, tu ne le fais pas à moitié. Très belle descente, et tu as su convaincre notre chef de descendre. J’admire ta diplomatie

Beths avait un sourire amusé sur les lèvres, sourire perceptible malgré l’obscurité.

Trève de plaisanterie

Elle ramassa les deux torches, en tendit une au Sieur Valezy et garda la deuxième.

Bon et maintenant ? Quelle direction prendre ?

Puis chuchotant à la seule intention du Sieur Valézy et essayant de ne pas regarde Elfy

Si nous arrivons à atteindre les personnes coincées dans ce trou, et que parmi eux il y a des blessés, comment les sortirons nous ? Il sera impossible de les remonter par le puits s’ils sont inconscients …


*elfy* a écrit:
Une fois attachée à la corde, Elfy se laissa glisser lentement.
Plus elle amorçait sa descente, plus la corde brulait ses mains .......le chanvre coulissait entre ses paumes et lui arracha une grimace.

L'odeur de souffre envahissait ses narines et piquait ses yeux........
Le souffle court elle arriva enfin en bas et attendit que Beths la rejoigne.


Si nous arrivons à atteindre les personnes coincées dans ce trou, et que parmi eux il y a des blessés, comment les sortirons nous ? Il sera impossible de les remonter par le puits s’ils sont inconscients …


Beths avait eu beau murmurer, Elfy avait entendu ses paroles, mais refusa d'y prêter attention, d'abord les retrouver, ensuite ils aviseraient


Bon et maintenant ? Quelle direction prendre ?

Elle regarda Valezy et d'une voix presque menaçante

On va pas rester là à réfléchir des heures non ?
Allez bougeons-nous !


Eléonore a écrit:
La petite eléo regardait elfy qui dessendait et gaby la tenait de toute ses cordes.la petite se demandait si ratz était vraiment en dessous et espérait que lulla soit avec.elle la savait proche elle l'entendait souvent mais ne savait pas d'ou.c'est pourquoi,ne s'éloignant pas la petite posa sa petite tête de tout coté pour essayer de rentendre à nouveau sa voix mais en vain....Elle revint vers elfy et lui cria

Bonne chance!
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:53

Valezy a écrit:
Dans la mine - boyau secondaire.

Ne pas perdre plus de temps, en ce moment même Valezy n’avait plus qu’une seule envie rentrer chez lui, loin de toute la racaille maréchalisante qui pullulait en ces lieux. Ce fut donc dans cet état d’esprit qu’il noua les cordes aux pieux prévu à cet effet par les contremaîtres de la mine lors de l’excavation du puit. Malgré les années qui s’étaient écoulé, le bois était encore solide et bien enfoncé dans la pierre, du moins ce fut le constat qu’il en fit après avoir testé leur résistance par une vigoureuse poussée.
Il revint alors près du puit, à ses côtés une des femmes déjà présente avant son arrivée et dont il avait cru comprendre qu’elle se nommait Elfy, insistait pour descendre. Il porta alors son regard sur la jeune fille.


« Soit, vous descendrez après moi alors, il n’y a aucun prob… »

Il n’eut guère le temps de terminer sa phrase qu’il sentit une main l’agripper par sa manche, il sentit alors plus qu’il ne vit le tissu se déchirer. Et sous ses yeux horrifié Legowen s’engouffra alors dans le puit avec un bout de sa précieuse chemise, elle n’eut cependant guère l’opportunité d’aller bien loin, que déjà elle reprenait appui à son pied.
Valezy éclata alors…


« Ma chemise… MA CHEMISE !!!»

Il tenta alors de dégager son pied en entraînant par la même la maréchale au fond du puit, mais ce fut cette dernière qui eut raison de lui et il bascula alors à son tour dans les pénombres de la mine.
Loué soit Aristote, il eut cependant le réflexe de saisir la corde à pleine main ce qui lui évita sans nul doute une chute mortelle. Il regarda alors en contrebas où celle qui avait faillit le tuer lui souriait d’un ait benêt et qui, comble de l’audace, osa déclamer.


« Merci chef, sans vous.... heu j’ai glissé »


Il rendit à la jeune femme un regard assassin et se contenta de dire.

« Je vais vous tuer… Ca me prendra le temps qu’il faudra, mais je vous tuerais. »

Se disant, il posa son pied sur la paroi de roche et entreprit la descente du puit, laissant la corde glisser contre le cuir de ses gants, tout en gardant un œil vigilant sur Legowen.
Au bout de ce qui lui parut une éternité, il arriva enfin au fond du puit et sentit le sol sécurisant sous ses pieds.
Il se redressa alors de toute sa stature puis regarda les ténèbres qui régnaient dans la galerie. Tandis que le reste du groupe descendait le long de la corde pour les rejoindre.

Quelques minutes plus tard, l’adjointe au prévôt vint à sa rencontre en lui tendant une torche, il remercia alors cette dernière d’un bref hochement de tête. Puis écouta avec attention sa question avant d’hausser un sourcil.

« Une partie du groupe remontera pour les hisser avec l’aide des habitants qui se trouvent là haut, tandis qu'un second groupe restera en bas pour les attacher, bien sur… Vous n’avez pas inventé la poudre entre toutes hein ?
Seigneur, pourquoi est ce toujours moi qui dois hériter des cas ? »


Ce fut le moment que choisit la dénommé Elfy pour lui manquer de respect sur un ton sec. Il s’arrêta alors tout net, ferma les yeux et reprit lentement sa respiration.

« Bon… Bon… Bon…
Je crois qu’il y a eu un fâcheux malentendu dès le départ dans ce groupe…

On va donc repartir sur des bases saines, fondés sur la discipline, sur la vigueur et surtout… Surtout sur le silence.

Voila donc ce que l’on va faire, vous allez me suivre mais à distance raisonnable.
10 mètres seront bien suffisants. »


Se disant, il recula de plusieurs pas et laissa le groupe près du puit d’aération à distance respectable de sa personne.

« Voila donc le nouveau principe, que j’ai nommé la ligne imaginaire, mis en application.
La première qui la franchit comprendra pourquoi j’ai survécu, là où tant d’autres ont périt. »


Il ponctua sa phrase en dégainant son épée et posa la lame au clair sur son épaule. Puis sans rien ajouter, Valezy tourna le dos aux maréchales et s’engouffra dans les ténèbres de la galerie.


*elfy* a écrit:
Elfy râlait tout ce qu'elle pouvait et chacun sait qu'elle peut beaucoup parfois, elle était bien assez en panique pour qu'on vienne encore lui en mettre une couche, elle bougonna en serrant le poing................
Elle regarda Beths et fit une grimace qui en disait long


Vous n’avez pas inventé la poudre entre toutes hein ?
Seigneur, pourquoi est ce toujours moi qui dois hériter des cas ? »



Il avait osé la phrase de trop !


Nanmého ! Ce n'est pas parce que nous sommes des femmes que vous devez vous comporter en mufle, je vous interdis de nous parler de la sorte, d'après vous.....je répète, d'après vous et vous seul.....n'avons peut-être pas inventer la poudre, mais d'après ce que je sais vous non plus.


Elfy ravala sa salive et continua

Puis si vous ne voulez plus coopérer, libre à vous de remonter à l'air libre, pour ma part je suis ici et j'y reste.;
J'ai pas non plus la moindre envie de vous entendre vociférer comme un veau, ça résonne et mes tympans sont à la limite de se percer !


On va donc repartir sur des bases saines, fondés sur la discipline, sur la vigueur et surtout… Surtout sur le silence.

Elfy étouffa un rire


Le silence ????

Jamais personne ne m'a empêchée de me taire............soit je me tais.... mais simplement pour repérer les voix et discerner le moindre bruit et non pas parce que vous me l'ordonnez !
Nous sommes là pour la même cause : Sauvez ceux qui sont prisonniers de la mine doit être notre seul mot d'ordre !


Elle se râcla la gorge pour tenter d'éliminer la boule coincée là, elle au moins n'allait pas satisfaire sa fierté, mais sauver son homme !!



Et vous, pendant que certains sont peut-être à l'agonie vous comportez en "petit chef" bramant à tout va pour épater les filles..serait-ce une forte poussée de virilité qui vous mettrait dans cet état ?!



Elles regardèrent le "Chef" d'un jour s'engouffrer dans les ténèbres pensant qu'une belle épée reluisante ne servirait pas à grand chose au fin fond de cette mine.........


Rangez donc votre arme dans son fourreau au moins vous aurez les deux mains libres !


Eléonore a écrit:
pourquoi il dit qu'il veut te tuer le monsieur c'est pas bien

eléo ne le connaissait pas mais elle ne sentait rien de bon dans ses paroles.Si bien que,malgré sa petitesse elle le regarda d'un regard noir et froid comme pour dire

Tu la toucheras pas!


Blood Sunshine a écrit:
Gaby s’était efforcé de maintenir les cordes du mieux qu’il l’avait pu, Elfy était arrivée dans le tunnel un peu plus bas, et il n’en crût pas ses oreilles… L’homme faisait preuve de tant de dédain envers les autres qu’il en était abasourdi !

Comment osait-il parler à des femmes de cette façon ? A Elfy, son amie qui plus est !!!


Dis l’ami !! Surveille un peu ton langage, car qui que tu sois tu ne vaudras pas mieux qu’un de mes cochons si tu dépasses les bornes !!!

Gaby tentait de calmer la colère qui montait en lui… Il ne voyait pas tout le monde malgré la lumière des torches, mais apparemment les deux autres femmes avaient aussi descendu sans encombre. Le ton condescendant et irrévérencieux de ce triste sire résonnait encore à ses tympans.

Nous avons tous des proches dans la mine, et si la seule chose que tu puisses faire n’est que du vent, nous pouvons nous passer de toi !! Ou alors profites-en pour aérer le tunnel…

Gaby regardant Eléonore, lui murmura :

Ne t’inquiète pas, tout se passera bien. Tu vois ? On y est presque !

Puis montrant le petit sac de toile contant de la nourriture…

Mange un peu, il va te faut garder des forces si tu veux aider ta sœur.

Gaby se pencha vers le tunnel.

Vous avez besoin de quelque chose là-dessous ?


ANDROLYNE a écrit:
Androlyne prend congé de Valezy pour aller approcher sa charrette des baraques en bois, et commencer à installer la tente, lorsqu'elle entendit un cri et reconnut la voix de Legowen. Elle laissa Barnabé terminer et courut vers le puits près duquel elle apercevait un attroupement.

Lorsqu'elle arriva, elle vit Legowen se remettre dans le bon sens accroché à la corde et un commissaire aux mines fulminant, la chemise déchiré ayant perdu un peu de sa superbe. Rassurée sur le sort de son amie, elle repart vers l'infirmerie de campagne.

Son valet a bien avancé, il ne manque que le poêle à bois à allumer, la nuit ne va pas tarder à tomber et apporter avec elle l'humidité et le froid.

Dès que le feu brule, elle met de l'eau à chauffer et prépare du café en grande quantité pour les secouristes et des tisanes de passiflore pour les premiers blessés, et ensuite la longue attente débute.


crapaudine a écrit:
[Dans la mine-entrée du boyau secondaire]

Le petit groupe s'était resserré au bord du puit essayant d'évaluer la meilleur fâçon de descendre lorsqu'un grand cris se fit entendre. Crapaudine vit Légowen tomber dans le trou essayant de se rattraper aux branches en l'occurence la manche de Valézy qui se déchira net, autant pour le tissu Montbrissonnais et ils basculèrent tous les deux dans le trou. Horreur...Elle resta un instant incapable de bouger lorsque Beths s'écria :

Aidez moi à maintenir cette corde !

Ils avaient pû attraper inextremis une des cordes. La jeune femme saisit la corde avec d'autres et Legowen et Valézy atteignirent le sol sans difficultés. A tour de rôle le reste du groupe les rejoingnirent. Impatience et énervement tous souhaitait retrouver au plus vite les mineurs ensevelis.

Bon… Bon… Bon… Valézy semblait vouloir faire un discours de motivation, bien, pensait-elle. Elle écouta et son sourire se figea euh dix metres de distance rien que çà ca va être dur dans la mine hum...elle le regarda partir dans le tunel sans même une torche pour l'éclairer. Ce discours avait pas fait l'unanimité, des voix s'élevaient pour protester.

-Ressaisissez-vous ! Je sais que vous avez peur pour vos proches qui sont la dessous et j'ai peur aussi ! Mais nous sommes maréchaux et notre prévôt à ordonner de suivre et d'obéhir à Sire Valézy et c'est bien ce que je compte faire ! Peu importe son comportement pourvu qu'il les sauve.

Crapaudine rougit en se rendant compte de ce qu'elle avait dit ce n'était pas à elle petite aspirante de dire çà mais bon tant pis c'était sorti...Tant pis pour les dix metres elle s'engoufra à son tour dans la galerie une torche à la main.


legowen a écrit:
[dans la mine, entrée du boyau secondaire]

Valezy arrivé en bas , s’écarte un peu de lui, ne lui a-t-il pas dit avec un regard assassin

Citation :
Je vais vous tuer… Ca me prendra le temps qu’il faudra, mais je vous tuerais

Leg avale un peu difficilement, main qui se porte machinalement sur le pommeau de son épée, pourrait bien être surpris, d’autant que la jeune femme n’est pas ravie non plus, sa première réaction a été pour sa précieuse chemise, pense peut-être qu’elle a fait exprès de glisser ?
En plus la tuer pour …. pour une chemise ? hésite entre une envie irrésistible d’éclater de rire et une vague de rage qu’elle sent monter en elle , ample et puissante , murmure entre ses dents

Relativisez Messire, des personnes sont en danger de mort actuellement, et c’est autrement plus grave qu’une simple chemise aisément remplaçable


Et pour répondre au regard qu’il lui a lancé, Leg lui jette aussi un regard peu amène, qui s’éclaire lorsque Beths arrive suivie d’Elfy , petit sourire aux paroles de Beths approbation à celles d’Elfy,

Les petites phrases assassines de leur commissaire aux mines commencent à mettre à mal sa fierté et à l’exaspérer .Elle se retient pour ne pas répondre elle aussi, pas le moment, pas le lieu, , ont besoin de tout leur calme pour être à même de porter secours aux victimes

Aussi elle trouve un peu puérile la distance qu’il leur impose et ne peut s’empêcher de lancer d’une voix tout à fait respectueuse bien qu’un brin teintée d’ironie

Messire, nous prenons note de votre désir, par contre si d’aventure terrain malencontreusement, sous vos pieds venait à céder, et menaçait dans le vide de vous projeter, devrons nous compter 10 m de corde avant de vous la lancer ?


Puis se tourne vers l’ouverture du puits, lève la tête et regarde l’homme qui a aidé à la descente de ses collègues

Merci Messire, oui j’aurais sans doute besoin de mon sac qui doit être resté au bord du trou , pouvez vous me le faire descendre s’il vous plait ?

Un sac bientôt dans ses mains, un remerciement , c’est qu’il contient plusieurs choses qui seront peut-être utiles aux rescapés , puis Leg prend une torche , se tourne vers ses compagnes , suit Crapaudine


Et bien, suivons le chef………..à 10 m ou pas, peu me chaut , l’essentiel est de garder à l’esprit qu’un autre effondrement peut se produire à tout moment ,et que nous sommes l’espoir de ceux emprisonnés la dedans , en cela , je serai de l’avis de notre chef, le plus vite nous aurons évacué les rescapés , le mieux ce sera

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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:54

Valezy a écrit:
Le long de la galerie secondaire.

Il en était à faire son bonhomme de chemin n’écoutant plus que d’une oreille discrète les plaintes des infortunés compagnons, que la providence lui avait fournit. C’est qu’il avait de moins en moins l’impression d’être dans une mine accidentée, non à la vérité Valezy se serait cru dans un de ces boudoirs où les gens tergiversaient sans fin sur la saveur des biscuits qui leur était servit. Sans nul doute aucun, ils devaient être déçus, il fallait bien avouer que le biscuit du jour était irascible. Grand bien leur fasse, être odieux était dans sa nature et il n’était point là pour se faire de nouveaux amis.
Aussi tout en poursuivant sa route, sans même s’assurer qu’on le suivait, il déclama un sonore :


« Et blablablablablabla…. »

Toutefois au bout de quelques mètres, il prit tout de même la peine de répondre à la pertinente remarque de Legowen qu’il ne tarderait d’ailleurs pas à surnommer, la tueuse de chemise.

« Pourquoi voudriez vous me sauver si je tombes dans une crevasse ? Pour m’arracher mon pantalon peut être ?
Ca a un nom ça : Vicieuse !!! »


Sur ces derniers mots il prit la première galerie à gauche et posant une main contre la paroi de roche pour mieux se guider dans la semi obscurité qui régnait là, il entreprit de suivre le chemin qui, il l’espérait, les conduiraient à la galerie principale où devait se trouver les mineurs.
Sous sa main, il sentait l’humidité qui suintait des murs de la mine. En ces lieux souterrains la température n’excédait guère les 10 degrés et il commençait à sentir le froid l’engourdir à travers sa chemise déchirée. Aussi étouffa t’il un juron entre ses dents.
Combien lui avait coûté ce tissu déjà ? Il avait acheté ce dernier à son retour de Vendôme, et une bonne partie de son butin avait était ainsi dépensée dans sa plus grande des passions, à savoir ses vêtements.
Il retrouva cependant le sourire en se disant qu’il transmettrait la note à sa fillotte, après tout c’était sa faute si il se retrouvait dans cette horrible situation. Il ne lui avait pas demandé l’aide de la maréchaussée pour qu’il se retrouve sous terre à demi nu.
Oui à n’en point douter cette Legowen était une vraie vicieuse, se dit t’il.

Ainsi plongé dans ses rêveries, il ne prit guère conscience du temps qui s’était écoulé. Depuis combien de minutes déambulait t’il ainsi dans les tréfonds de la mine à la faible lueur de la torche de Crapaudine qui le suivait consciencieusement ?
Il en était à cette question d’importance lorsqu’il s’aperçut que la galerie qu’il suivait se refermait à quelques mètres devant lui. Il se rapprocha de cet inopportun cul de sac et poussa un soupir de soulagement en s’apercevant que le chemin n’était clos que par quelques planches placé là pour condamner la galerie abandonnée.

Il leva alors son sabre et frappa l’obstacle de la garde de son arme. Quelques coups lui suffirent pour le réduire à néant, l’humidité ambiante avait largement entamé la solidité du bois avant lui.

Il s’arrêta alors et se tourna vers celles qui avaient pris la peine de lui suivre.


« Nous sommes arrivés à la galerie principale maintenant.
Gardez votre ouïe aux aguets, les repérer dans ces dédales ne sera pas une mince affaire.
Et si vous sentez une odeur étrange éteignez immédiatement vos torches, ce n’est pas le coup de provoquer une nouvelle explosion. Je n’ai pour ma part aucune envie de mourir ici… Et surtout pas dans cette tenue qui plus est. »


Beths a écrit:
Dans la mine, entrée du boyau

Beths se retint fortement de rire quand elle entendit les diverses remarques et remontrances à l'encontre du Commissaire aux Mines.
Mais un petit sourire ne quittait pas ses lèvres.
Cet homme avait l'art et la manière de mettre la maréchaussée dans sa poche, et qui plus est le corps féminin de la maréchaussée. Pauvre homme ... il avait déjà perdu sa chemise ... il perdrait le reste s'il ne se cassait pas les dents!

Toutefois Beths repris son sérieux devant la remarque de Legowen. Des vies étaient en jeu, et leur groupe devait s'organiser.


Bon, et si nous mettions nos rancoeurs de côté pour le moment. Nous réglerons nos ... hum ... différents (?) avec le Sieur Valézy une fois que nous serons remontés.
Nous sommes nous même en danger dans cette mine.
Alors, maréchaux, soyons efficaces, comme nous savons le faire


Elle espérait avoir quelque peu motivés ses collègues sans en être vraiment sûre

Le long de la galerie secondaire

Le long cheminement commençait, le froid, l'humidité gagnaient, malgré les 2 torches qu'ils avaient.
Beths jeta un oeil sur celle qu'elle portait. Bon, de ce coté la point d'inquiétude, elle durerait encore plusieurs heures. Il ne manquerait plus qu'ils tombent dans le noir complet.

Le chemin se rétrécie à un moment, si bien que c'est presque à quatre pattes que les maréchaux et le commissaire aux mines passèrent ce point.
Le petit groupe était devenu silencieux, les secondes et les minutes passèrent.

Soudain le Sieur Valézy stoppa et sortit son sabre. Beths leva haut sa torche et remarqua qu'ils ne pouvaient plus avancer.
Mais cela n'inquiéta pas le Sieur qui d'une brèche ouvrit un passage vers ... la galerie principale.

Quand il évoqua le terme d'explosion, Beths sentit une perle de sueur froide dégouliner le long de son dos.
Personne ne pouvait voir son trouble, mais elle sentait que ses collègues n'étaient guère plus rassurés.


Euh ... Messire ? Première fois qu'elle faisait mine de respect envers cet homme, il fallait bien un début à tout. Et puis avec sa chemise déchiré il était amusant

Pour quelle raison déjà la mine s'est effondrée?
Ne serait ce pas par manque d'entretien ? Ne devrions nous pas tenter de consolider quoi que ce soit?


Blood Sunshine a écrit:
A l'entrée de la mine

Le groupe de maréchaux était à présent dans la mine. Le plus dur restait à faire… Cela ne servait à rien que tout le monde descende, si ce n’était prendre des risques pour rien.

Après tant d’effort à atteindre le tunnel, il se retrouvait à attendre. Une amère impression de ne plus servir à grand-chose pour le moment lui fît faire la moue…

Reste patient se dit-il en lui-même, et reste sur tes gardes. Il regarda la petite fille dont l’excitation première se changeait lentement en nervosité.


Tu vas voir Eléonore, ce ne sera plus très long, enfin j’espère… Sans toi, je pense qu’on n’aurait jamais réussi à tout enlever ! Gaby lui sourit.

L’odeur de café commençait à atteindre ses narines, il chercha d’où cela pouvait venir et vît non loin de là, Androlyne s’affairer sous la tente montée quelques temps plus tôt. La situation en devenait moins désastreuse, du moins en apparence.

Gaby sourit à nouveau, et s’accroupît à l’entrée de la mine. Il se mit à penser aux maréchales… Beaux brins de filles !!


mimicracra a écrit:
[dans la mine]

Nous sommes là !

Rastero s'époumonait tandis que Mimi lui broyait les doigts. Elle n'avait rien entendu et ne comprenait pas ce qui lui arrivait.

Calme toi... Garde ton souffle...

Puis tourne la tête, s'inquiétant du mutisme de Kratos.


Kratos ? Comment vous sentez vous ?


Eléonore a écrit:
Citation :
Gaby regardant Eléonore, lui murmura :

Ne t’inquiète pas, tout se passera bien. Tu vois ? On y est presque !

Puis montrant le petit sac de toile contant de la nourriture…

Mange un peu, il va te faut garder des forces si tu veux aider ta sœur.

La petite,regardant gaby lui sourit et obéit de suite!Elle devait être en forme pour sauver lulla car elle n'était pas loin elle le savait!
Se calmant vis a vis du monsieur méchant,elle était rassurée que gaby soit la car c'était un homme et que,si monsieur fesait du mal à elfy il serait la pour venir à son aide!En plus,il la complimentait souvent la voyait comme une petite aventurière et elle en était plus que fière!


Citation :
Tu vas voir Eléonore, ce ne sera plus très long, enfin j’espère… Sans toi, je pense qu’on n’aurait jamais réussi à tout enlever ! Gaby lui sourit.

La petite,encore plus fière lui rendit un sourire et lui dit

tu sais si elfy et toi étiez pas la j'aurais pas pu venir jusqu'ici non plus je suis trop petite!

[i]puis,sortant un bout de chocolat de sa poche elle lui demanda d'ouvrir la bouche comme il avait les mains prises pour assurer elfy qui dessendait.La petite lui glissait un carré de chocolat dans sa bouche et lui dit fièrement


Tiens,je viens de penser que j'en avais pris avec moi,c'est le lapin de pacques et les cloches qui me les ont aportées et tu dois prendre des forces toi aussi!!!!!!!!!! Very Happy


*elfy* a écrit:
Après avoir laissé vociférer le chef, Elfy se remit à penser à sauver les prisonniers.

Le long de la galerie secondaire

Plus ils avançaient plus le couloir était étroit, devant se baisser par moments. Elfy posait ses mains de chaque coté de la paroi pour repérer sa marche.
Plus personne n'osait ouvrir la bouche et elle se demandait si elle ne préférerait pas quand le sieur Valezy parlait, même pour dire des inepties mais au moins l'atmosphère était moins pesante.

Les entrailles de la terre étaient humides et les ténèbres les envahissaient de toutes parts.....Elfy se mit à trembler d'effroi.....son ardeur des premières heures l avait complètement abandonnée.........elle se raisonna et pour Fiona elle devait se montrer courageuse et digne.
Elle pensa aussi à la petite Eléonore qui attendait plus haut.....coûte que coûte elle y parviendrait.


legowen a écrit:
Dans la galerie secondaire

Dans la galerie Leg suit Crapaudine, malgré l’atmosphère de drame qui règne, elle ne peut s’empêcher de rire à la remarque de Valezy, son pantalon ? n’importe quoi !, rire cristallin qui s’échappe et qui s’ interrompt aussi vite devant le qualificatif dont il l’affuble

vicieuse!!! visage qui se ferme, yeux qui se glacent, retient une réplique sanglante , haussement d’épaules, ne lui donnera pas cette joie, mot sans doute de vengeance, par Aristote , elle croit bien qu’il en reparlera souvent de cette chemise .
Combien de fois faudra t-il qu’elle lui dise qu’elle regrette, sans doute aurait-il préféré qu’elle n’essaye pas de se rattraper au risque de choir en bas ? Se dit quand même que ça aurait fait un peu désordre

Enfin, elle la lui remplacera, songe à une autre délicatement pliée, protégée d’un léger velin, confectionnée dans un tissage des plus fins, présent jamais donné , puisque……….. ça fait bien longtemps déjà ....., en veut, un peu, à Valezy, à force de parler de sa chemise……Elle la lui fera parvenir, autant faire plaisir, y joindra un mot d’excuse

Toute à ses pensées, elle avance derrière Crapaudine, la torche qu’elle tient à la main grésille un peu. L’humidité sourd des murs, l’odeur de moisi se fait plus prenante au fur et à mesure qu’ils progressent, goulot qui se fait étroit par moments, bruit assourdi de leurs pas, sensation d’étouffement qui lui revient, comme si la terre était prête à l’engloutir. Leg serre sa torche, se force à respirer calmement, elle n’allait travailler à la mine que lorsqu’elle ne trouvait rien d’autre comme emploi, il lui faut de l’espace. Se reprend, malaise qui se dissipe, penser à ceux qui sont enfermés là depuis des heures, aux familles qui attendent

Leur groupe arrive enfin à un endroit un peu plus large, las, pour découvrir une issue bouchée, heureusement, quelques planches de bois pourries qui ne résistent guère aux coups portés par Valezy

Petit sourire de la maréchale, vu ce qu’il a fait de la porte du bureau de son prévôt, il eut été étonnant qu’il en soit autrement, un courant d’air glacé leur parvient ,voit leur chef bleuir un peu,seul signe du froid qu'il doit ressentir, une réflexion , oui faire attention…..pff ça y est encore une allusion

Met son sac à terre, l’ouvre et en tire un gilet qu’elle avait pris pour réchauffer une victime, s’aperçoit en le prenant que c’est celui qu’elle vient de finir, broderie, laine de qualité, et bien ce n’en sera que mieux , le tend à Valezy


Tenez Messire, prenez le, ça masquera votre chemise et vous évitera d’avoir froid, vous seriez capable de m’en vouloir si vous veniez à avoir flux de poitrine, de plus le regarde dans les yeux , vous voyez que je ne suis point vicieuse puis poursuit d’un ton un peu las si vous n’en voulez pas, vous pourrez le donner à une victime qui sera heureuse de votre geste

Leg reprend son sac, s’écarte du groupe pour faire quelques pas dans la nouvelle galerie, lui parvient la voix de Beths, consolider ? pas le temps sans doute, s’éloigne un peu plus, entend …….. oui entend comme un appel, voix tenue , étouffée par la terre

Revient en vitesse vers le groupe, surtout ne pas glisser, leur lance

J’entends des voix !!!!!!!!

devant l’air perplexe de leur chef, ça y est va la prendre pour , pour qui ? d'ailleurs........., sourit

Non, non, j’entends bien comme un appel, faible mais bien réel, écoutez
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:55

Eléonore a écrit:
Eléo était concentrée sur le vide,la corde au bout duquel elfy avait ,une fois pied à terre,avait acrochée un long fil histoire de ne point se perdre!Eléo savait qu'elfy ariverait à son but,y croyait dure comme fer tout comme au sauvetage des autres!Elle se promit en secret que si elfy ne reviendrait pas elle irait voire se qui se passait dans les profondeurs car après tout elle était petite!qui serait plus habile qu'elle pour passer dans les petits trous de la grote aisément? Comme quoi la petitesse n'est pas forcément un défaut se dit-elle!Puis,regardant gaby elle lui dit

dit,on descendra nous aussi???


kratos47 a écrit:
Kratos avait cessé de parler pour rien dire...
Et Mimi l'air inquiète dit :


Kratos ? Comment vous sentez vous ?

Ca va....Merci...On va bientot sortir d'ici !
J'espere que cela va aller.


Et il se remit à faire silence tout en jetant un oeil de temps en temps sur Mimi pour voir si elle allait bien.


rastero a écrit:
Aux cotés de Mimi et Kratos, Rastero cherchait d'ou venaient les bruits.
Il ne sentait même pas Mimi serrer si fort sa main.

Soudain un bruit de fracas, un genre d'éclat de planches. Et si... ???
Il se leva et se dirigea vers le bruit.
Quelques chuchotis, des frottements, il pouvait même deviner une silhouette... seule. Curieux, ça ne devait pas être un sauveteur.

S'approchant de plus près, il distingua une ombre, laquelle portait une épée ! Dans une mine ! C'était sûr que cette personne ne venait pas là pour le secours.

Rastero revînt vers Kratos :


Il y a un homme armé... Qui était celui qui t'a agressé Kratos ?
Viens !


Rastero le guida, ils arrivèrent au couloir où l'homme en question avait été vu. Des fois que Kratos puisse savoir qui l'avait piégé, Rastero se dissimula dans l'ombre et les aspérités. Pas question de se faire avoir maintenant... Survivre à l'éboulement d'une mine et pas à un homme ? Pas question !
Il serrait les poings... et attendait, attendait. L'homme semblait approcher. Il ne fit plus aucun bruit, s'arrêtant même de respirer juste avant son passage.

L'homme passé, Rastero se jeta sur lui et appliqua ce que la maréchaussée lui avait appris et l'immobilisa. Il ne devait pas être le premier à lui en vouloir d'ailleurs vu l'état de sa chemise...


Hé toi, qui est tu ? Que veux-tu à Mimi ??!! Réponds !

Naturellement, il ne comprenait pas, comme tout bon coupable qui se respecte.
Et dire qu'ils étaient piégés dans une mine... Rastero se demandait si, comme Kratos plus tôt, il ne perdait pas un peu la tête...


Valezy a écrit:
Dans la galerie principale, le berger répond à la bergère de façon tout aussi tyrannique.

Il venait de terminer son petit discours tout en regardant les maréchales, bien entendu ces dernières s’agitaient une énième fois et Valezy s’attendait une nouvelle fois à un flot de questions, de remarques et de critiques. Il pensa alors pour lui-même : « bon sang j’aurais du m’emmener un casse croûte, ça m’aurait occupé. »

La première à parler fut Legowen, mais comble de surprise ce fut pour faire preuve d’amabilité et même de bienveillance envers sa personne. Elle lui tendait en effet un gilet de laine pour remédier à ses inaccoutumés problèmes vestimentaires. Un sourire reconnaissant apparut alors sur le visage du Commissaire aux Mines lorsqu’il se saisit délicatement de l’étoffe.

Si vous n’en voulez pas, vous pourrez le donner à une victime qui sera heureuse de votre geste.

Aussi répondit t’il, pour la première fois de la journée, d’un ton aimable et badin.

Je crois sans me vanter pouvoir me classer dans les rangs des victimes.


Sur ces quelques mots il enfila le gilet, qui, bien que trop petit pour lui, le réchauffa quelques peu.


Mille mercis, Damoiselle Legowen.

Puis ce fut au tour de Beths de s’exprimer...

Euh ... Messire ?
Pour quelle raison déjà la mine s'est effondrée?
Ne serait ce pas par manque d'entretien ? Ne devrions nous pas tenter de consolider quoi que ce soit?

Messire ? Mais que se passait t’il, qu’est ce qui justifiait ce regain de respect ? Devait t’il s’attendre à un piège perfide et sournois ?
Malgré ces avertissements qui flottaient insidieusement dans son esprit, il décida de passer outre et de se prêter de bon grès à l’exercice.

Et bien Damoiselle Beths, d’après le rapport que j’ai reçu, il s’agit d’un coup de grisou. Le mieux serait en effet de consolider la mine, mais pour cela il nous faudrait du bois, des charpentiers et surtout du temps.
Si je puis aisément mander les deux premiers éléments, je suis au regret de vous dire que le Très Haut ne nous laisse guère du troisième.
Aussi, ne vous leurrez pas, aller plus loin sera dangereux, très dangereux…
Et je ne puis d’ailleurs décemment demander à aucune d’entre vous de prendre ce risque pour mes beaux yeux. Aussi si l’une de vous veut reculer… Et bien, c’est le moment où jamais, sachez que je ne vous en tiendrais nulle rigueur et que je ferai en sorte que cela soit de même pour votre prévôt.

Bien, maintenant que celle qui m’aime me suive… Façon de parler bien sur.
Et restez bien à 10 mètres de moi.


Sur ces mots, il s’engouffra alors dans la galerie principale…

Dix maudits mètres… Si il provoquait un éboulement, il espérait que cela serait suffisant pour abriter le petit groupe qui le suivait. Après tout, si cela devait tourner au drame, il n’y avait aucune raison pour qu’ils meurent tous en ce lieu. Et puis, étant le chef de la petite expédition, il était tout désigné pour jouer le rôle d’appât.
Laissant ainsi son esprit vagabonder vers ces sombres pensées, il redoubla d’attention, avançant avec lenteur dans les profondeurs de la mine et veillant à la solidité du sol et des parois.

Il ne fut cependant pas assez vigilant, c’est du moins la première pensée qu’il eut lorsqu’il sentit un choc au niveau de son dos, qui le déséquilibra et le fit tomber à plat ventre sur le sol.
Mais ce qu’il avait prit de prime abord pour un rocher, se mit alors à parler, ce qui n’était pas des plus commun.


Hé toi, qui est tu ? Que veux-tu à Mimi ??!! Réponds !

Valezy cessa alors purement et simplement de réfléchir et ce qui devait arriver… Arriva.

Premièrement, parce que le commissaire aux mines ne s’était pas retrouvé des heures durant dans une mine.
Deuxièmement, parce que pour la même raison, il ne s’était pas retrouvé affaiblit par la faim et par la soif.
Troisièmement, parce que lui n’agonisait pas quelques heures plus tôt dans les ténèbres.
Mais surtout, parce que l’humble narrateur qui écrit ces mots n’appréciait guère les actions unilatérales qui contraignent un tiers à sa volonté.

Aussi se redressa t’il d’un mouvement brusque, envoyant de plein fouet l’arrière de son crâne dans le visage de son agresseur. Ce dernier sous le choc, recula, car contraint à son tour par une volonté obscure et sûrement aussi indésirable que la sienne, et se trouva déséquilibré.
Il n’en fallut guère plus pour que Valezy se retourna et lança, par la même, un magistral et retentissant coup de poing sous le menton de Rastero, envoyant ce dernier au sol et à moitié sonné.
L’ancien homme d’arme se releva alors et s’adressant d’une voix glaciale aux maréchales qui regardaient la scène avec stupeur à quelque pas de lui.


« Ca ressemble à des pillards, ça agit comme des pillards, alors traitez les comme des pillards… »


Blood Sunshine a écrit:
Gaby terminait son chocolat. Décidément elle en avait du coeur cette petite!!

Merci Eléonore pour ta friandise. Et non, je ne pense pas qu'il serait judicieux de descendre... Je pense que c'est encore bien dangereux, surtout pour une petite fille comme toi!

Il ne pût s'empêcher de lui poser une main sur sa petite épaule.

Et puis pense à ta soeur, elle serait sans doute bien triste s'il t'arrivait quelque chose. Comment s'appelle-t'elle d'ailleurs, tu me l'a caché dis-moi?

Regardant de nouveaux vers la tente, il ajouta :

Il fait encore froid en cette saison, l'humidité ne va pas tarder à imprégner nos vêtements... je te conseille d'aller te réchauffer un peu avec Dame Androlyne là-bas, et puis elle aura peut-être besoin que tu l'aides aussi?

les voix des maréchaux dans la mine se faisaient de plus plus lointaines, presque plus que des chuchotements... Il commencça à prier Aristote.



Parsxino a écrit:
[Sous la tente près de la mine]

Parcxino avait suivi Androlyne et avait aidé au montage de la tente. Elle alla chercher dans la charette les couvertures qu'elle avait récupérées dans sa course dans Aurillac. Elle en étala quelques unes au sol, pour en faire des couchettes. Elle s'assit en tailleur à proximité du feu allumé par Androlyne ou son valet. Ce n'est qu'à ce moment qu'elle réalisa qu'elle était encore couverte de la terre qu'elle avait creusée de toutes ses forces... pour rien, puisqu'ils étaient tous passés par l'autre ouverture. Tant mieux si ils trouvaient Kaze et tous les autres. Elle se lava soigneusement les mains, c'était nécessaire pour la suite.
Combien étaient-ils là dessous, elle ne le savait, et personne ne semblait le savoir. Rien ne servait de faire l'appel à Aurillac, il y avait tellement de voyageurs...
Elle regardait fixement les flammes du feu, n'osant plus essayer de regarder vers la mine. Elle ne disait rien, ne sachant quoi dire. Assise dans l'attente et l'angoisse elle sentit la fatigue des efforts de la jounée lui tomber sur les épaules. Il ne servait à rien de veiller tant que personne ne serait remonté, et après... après il faudrait que ses gestes soient sûr.
Elle se releva et arrangea ses ustensiles pour qu'ils soient faciles à utiliser au besoin. C'est en regardant les couvertures qu'elle pensa à préparer un système. Elle fixa une couverture solide à une échelle à laquelle elle enleva des échelons. Elle la porta la civière improvisée à l'homme qui se tenait devant l'entrée par laquelle tout le monde était passé.


Tenez, ça pourra éventuellement être utile, suivant l'état dans lequel sont les gens là dessous, pour nous les amener. Ca devrait pouvoir passer par l'ouverture si ils en ont besoin dessous.

Elle sourit à la petite fille.

Courageuse demoiselle, tu veux venir attendre avec nous sous la tente près du feu ? Je pense qu'on pourra aussi essayer de voir si on peut trouver à nourrir tout ce monde là. J'aurais bien besoin d'aide pour ça...


lullabyGrimwald a écrit:
Au fond du petit boyau annexe au principal.

Du bruit, des voix, on creuse, on rampe, on essaye de s'en sortir.

Souffle d'air lacunère ne lui permettant que de survivre.

Elle tente se bouger mais chaque mouvement lui en coute, elle pense a ses soeurs, a sa Eleo son mini moi qui dois la chercher, a lui, a zazza... Elle voudrait hurler, pleurer mais rien n'y fait son coeur ne peux que survivre et rien d'autre...

AInsi la blonde respire lentement, meme un peu trop, dans osn boyau sous la terre, au plus près de l'enfer.


crapaudine a écrit:
Crapaudine suivait le petit groupe qui s'enfonçait de plus en plus sous terre. L'apréhension la gagnait, elle n'aimait les espaces confinés et noirs. Elle ressera la main sur sa torche espèrant ne pas avoir à l'éteindre car ils deviendraient tous aveugle.
Quand tout d'un coup, elle vit une silhouette passée près d'elle et fondre sur Valézy le plaquant au sol. Avant que quiconque ai pu réagir et porter secours au conseiller, celui ci retourna la situation et assomma son assaillant.


Ca ressemble à des pillards, ça agit comme des pillards, alors traitez les comme des pillards…

-Un pillard?

Elle s'approcha de la forme sur le sol, prête à agir si le pillard montrait des signes de violence, le retourna et l'éclaira de sa torche. Le visage était noir de charbon mais quand même reconnaissable.

-Mon dieu ! Rast ! c'est Rastero ! Elfy c'est ton époux ! Il est vivant !

Se tournant vers Valézy, elle s'apretait à lui faire reproche des paroles blessantes à propos de celui qui était son supérieur à Polignac. Mais en détaillant de plus près le conseiller aux mines avec ses vêtements déchirés, les traces de suie sur toute sa personne elle eu pitié et ravala ses mots.

-Voici Rastero maréchal de Polignac sa captivité sous terre a dû mettre ses nerfs à l'épreuve et sa réaction peut etre compréhensible.

Se tournant vers le reste du groupe elle osa des directives.

-Il faut que Rastero soit emmené sans tarder auprès des infirmières il a besoin de soins. Les autres mineurs ne doivent pas être loin il faut continuer !
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Inamphus

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MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:55

ANDROLYNE a écrit:
Androlyne et Parsxino s'étaient affairées à installer tout ce qu'elles avaient apporté pendant que Barnabé s'était lui occupé d'allumer le poêle à bois qu'il avait eu l'idée de charger sur la carriole.

Parsxino partit enduite vers l'entrée de la mine avec une civière qu'elle avait confectionnée très adroitement avec une couverture.

L'eau qu'Androlyne avait mis sur le feu se mit à frémir, elle s'empressa de faire du café, puis elle alla chercher les légumes qu'elle avait pris et se mit à les éplucher pour préparer une soupe, tant pour les nombreux secouristes que pour les prisonniers de la mine.


*elfy* a écrit:
Dans la galerie principale, la bergere répond au berger de façon tout aussi tyrannique.

Je crois sans me vanter pouvoir me classer dans les rangs des victimes.

Elfy pouffa en regardant le pauvre mâle ayant perdu le peu de sa virilité dans ce gilet trop étroit, mais elle ne dit mot.


Et je ne puis d’ailleurs décemment demander à aucune d’entre vous de prendre ce risque pour mes beaux yeux

Ses beaux yeux, ses beaux yeux mais il rêve.....Elfy ne bronchait toujours pas et lui emboita le pas illico. Elle et ses coéquipières d'un jour respectaient les dix mètres de distan
ANDROLYNE a écrit:
Androlyne et Parsxino s'étaient affairées à installer tout ce qu'elles avaient apporté pendant que Barnabé s'était lui occupé d'allumer le poêle à bois qu'il avait eu l'idée de charger sur la carriole.

Parsxino partit enduite vers l'entrée de la mine avec une civière qu'elle avait confectionnée très adroitement avec une couverture.

L'eau qu'Androlyne avait mis sur le feu se mit à frémir, elle s'empressa de faire du café, puis elle alla chercher les légumes qu'elle avait pris et se mit à les éplucher pour préparer une soupe, tant pour les nombreux secouristes que pour les prisonniers de la mine.
ce, non pas pour lui obéir comme il aimerait le penser, mais surtout parce qu'il était l'appât en cas de problème.
Quand tout à coup :


Ca ressemble à des pillards, ça agit comme des pillards, alors traitez les comme des pillards…
Mon dieu ! Rast ! c'est Rastero ! Elfy c'est ton époux ! Il est vivant !


D'un bond Elfy attrapa Valézy par le col et le dégagea sur le côté, puis se pencha sur Rast complètement sonné

Tout va bien, tout ira bien, reste tranquille on va te sortir de là........

Elle sortit une fiole de sa poche, lui en fit boire une gorgée, puis releva la tête vers les filles et les questionna du regard.


rastero a écrit:
Rastero fut déséquilibré et fini à terre.
Il pouvait sentir le sang narguer ses lèvres. Ses tempes claquaient à chaque battement. Sa tête allait exploser.
Il est vrai que vivre sous terre si longtemps sans eau, sans nourriture et sans lumière peut faire perdre la tête.
Il est vrai qu'un sauveteur agressé put mal le prendre...
Il est vrai aussi qu'en plus d'être belliqueux, celui-ci paraissait sans doute susceptible...

Rastero maugréait, balançant à tour de bras les jurons, les coups dans le vide.

Kratos ! Mimi ! Il est là !!

Ne sachant de qui il s'agissait, il en était sur, ca ne pouvait être un autre que le vil brigand qui manipulait Kratos !

Il sentit quelqu'un se précipiter sur lui. Son coeur battait a tout rompre on allait le tuer c'était sur ! Les brigands allaient le tuer !
Quelque chose lui brûla les lèvres. Il ouvrit les yeux et vit Elfy, entendit Crapaudine.
Il se demanda un instant s'il n'était pas mort...


Tout va bien, tout ira bien, reste tranquille on va te sortir de là........

Les mots flottaient un peu dans sa tête. Il murmura : Merci pour tout...

Il tenta de se relever. Ses jambes flagellaient. Il prit appui sur Elfy, jeta un long regard insistant et méprisant sur l'homme qui était plus ou moins venu le sortir de là... Plus que pour essayer de l'intimider, car naturellement tel homme ne doit jamais l'être ou du moins l'avouer.
Il s'imprégnait de chaque détail de son visage, le gravant dans sa mémoire.
L'homme en question avait quand même l'avantage de lui faire esquisser un sourire grâce à la tenue qu'il portait...


Rastero, malgré ses esprits quelques peu confus, reconnut Crapaudine et Beths un peu plus loin et leur sourit. Se souvenant d'un épisode amusant à la maréchaussée, et surtout pour se donner du courage, il souffla discrètement à Beths : J'aurais préféré tomber sur les greluches que sur un grand coq...

Il se mit à rire, un rire nerveux, un rire de soulagement, entrecoupé de toux, qui lui faisait cracher un peu de sang temps à autres...
Il serait bientôt dehors. Mais lui qui croyait pouvoir retrouver Lulla et Chloe, il n'était plus en état.


legowen a écrit:
Galerie principale, déjà un de trouvé, même si ....et bien dangereux d'être secouriste


Un sourire, un remerciement, allons auraient-ils enterré la hache de guerre ? , rang de victime ? , oui peut-être, victime de se trouver au mauvais endroit, personnellement, pour elle, ça a plutôt été une bénédiction, il lui a permis de se maintenir et d' éviter une chute mortelle
En tout cas , leur commissaire semble s’amadouer, puisque réponse est faite à Beths de manière aimable
Il suffit quelques fois de peu de choses, un geste, un mot, détendre l’atmosphère, Leg ne va pas s’en plaindre,ignore la remarque de leur chef, abandonner maintenant ? pas question , d'ailleurs ses collègues ne semblent pas non plus vouloir arrêter

Valezy passe devant eux, toujours ces fameux 10m, n’a aucune raison de les vouloir encore, à moins que… qu’il veuille les protéger ? mais de quoi ? un éboulement les emporterait tous sans doute et soudainement croit avoir trouvé la réponse

Voit son chef projeté sur le sol, ( oh ça, va pas aimer !) par une silhouette surgie de l’ombre , et bien , l’agresseur a encore de la force malgré ces heures passées sous terre
Quoique force ………… Valezy a vite fait de retourner la situation à son avantage, la jeune femme admire la manœuvre, projection de la tête en arrière pour cogner le visage de l’autre, faudra qu’elle s’en souvienne, ça pourrait servir, on ne sait jamais

Un commissaire vite relevé, voix glaciale, l’homme affalé est à traiter comme un pillard
Un pillard ?

Crapaudine qui s’était approchée, le retourne, reconnaît Rastero blessé mais vivant ,Leg pousse un soupir de soulagement , se tourne vers Elfy , répète

Il est vivant !!

une Elfy qui se précipite, et un Rastero qui reprend ses esprits, épuisé mais vivant et c'est ce qui compte, Leg est heureuse pour le jeune couple
Puis regarde Valezy, couvert de poussière , sali, mais en impose quand même dans son attitude glaciale, il fixe Rastero d(un air sombre, d'ailleurs les deux hommes se mesurent du regard. Décidément, il ne va pas aimer la maréchaussée. Elle ne connait que peu Rastero, le croise juste à la prévôté, mais il lui a paru sérieux et sensé , elle glisse à son chef

Très belle manœuvre, à retenir,, mais pourquoi vous a-t-il ainsi agressé ? vous étiez seul devant, qu’elle idée aussi, recherchait-il un pillard ?, ça ne ressemble pas à Rastero d’agir ainsi sans cause , ça doit être l’épuisement

Levant sa torche, Leg essaye de percer les ténèbres, main sur la garde de son épée, fait quelques pas, appeler ou non ? s’il y a vraiment des pillards ça leur donnera l’alerte, mais, et les victimes?
De toute façon entre l’agression et leurs voix, ont sans doute été avertis, les paroles de Crapaudine l’emportent , oui les autre mineurs ne sont peut-être pas loin , doivent savoir qu’ils sont là


Y a-t-il d’autres personnes ? nous sommes les secours, n’ayez crainte



regarde le jeune couple et , à son chef


Bon mieux vaut prévenir n'est ce pas? car si les victimes se mettent à agresser leurs sauveurs, et bien , on n'a pas fini ......Par contre peut-être qu'Elfy pourrait déjà reconduire Rastero vers le puits , qu'en pensez -vous?


MizzChloe a écrit:
[Quelques galeries plus loin]

Dans les débris de pierres, Chloé essaie de vivre ses derniers instants de vie. Du moins, c'est ce qu'elle pense.
Adieu Auri... Adieu les amis... Adieu la famille...
Elle replie ses jambes sur son ventre, puis niche sa tête sur ses genoux.
L'air devient insupportable. Ça pue. Y a de la poussière partout. Il fait noir. C'est nul.
De toute façon, elle ne bronche plus. Il n'y a plus rien à raconter. Rien à chanter. Rien à beugler. Rien à manger. Rien à boire. Rien à faire.
Elle attend que son tour arrive. Ou qu'un miracle se produise. Un des deux, au choix.
Elle ne faisait même plus attention à Kaze. Est-il toujours vivant? Aucune idée. Deux amis qui partent ensemble, super!
C'est alors qu'elle relève la tête. Le long silence qui pesait dans la galerie venait d'être brisé. Par un cri.

Y a-t-il d’autres personnes ? nous sommes les secours, n’ayez crainte
Courir?! Mais où ça? Et comment? Craindre? Oh non, pas craindre. Nous sommes déjà au fond du gouffre, on peut pas aller plus bas! A moins que...
Chloé essaye d'hurler. Hurler très fort, comme lorsqu'elle faisait aux matchs de soule. Mais non, rien. A peine un murmure. Un petit "hckk". Pas de force dans les poumons. Rien.
Elle roule, très lentement, jusqu'à arriver sur le dos. Elle prend une petite pierre de son bras gauche -intact- et la jette le plus loin possible. Bien que pas très loin. Elle touche quelque chose de dur pour en faire ressortir un bruit assez sonore. Allez, encore... Elle reprend une pierre non loin de sa tête et la relance une seconde fois. Elle répète ce mouvement plusieurs fois. Tant pis pour ceux qui dorment, faut faire du bruit.


Blood Sunshine a écrit:
Gaby remercia la femme prénommée Parsxino… Grand bien elle avait eût de préparer ainsi une sorte de brancard. Elle avait l’air de savoir fichtrement ce qu’elle faisait !

Merci gente Dame, à en croire les bruits là-dessous, il semblerait que l’on ait retrouvé du monde !! Cela est encourageant !

Gaby scruta l’obscurité dans l’espoir de voir quelqu’un remonter à la surface. Sortir les blessés n’allait pas être une chose aisée. Tout dépendait de leur état, et vu le temps où ils sont restés là-dessous, certains ne devaient pas être beaux à voir… Il espérait que tous sortent sains et saufs de cette mésaventure !

Dégageant du passage tout ce qui serait susceptible de gêner l’évacuation des blessés, Gaby commença à faire preuve de nervosité.


Beths a écrit:
Dans la mine quelque part, bof, c’est pas moi qui ai la carte

Chamailleries, disputes, et un Commissaire aux Mines qui devient poli.
Beths était estomaquée et si la lumière avait été plus franche tout le monde aurait pu lire l’étonnement sur son visage.
Le Commissaire aux Mines qui lui envoyait du « Damoiselle ». Beths en était presque pantoise. Elle préférait les bonnes joutes verbales à cela. Que manigançait-il encore ???
Et puis laisser sous entendre qu’elles avaient peurs … mais qu’il parle pour lui ! Beths allait lui prouver que peur, elle n’en avait point. Elle passerait devant.

Beths n’eut pas le temps d’y réfléchir plus en avant que Legowen entendit des voix ! Non du Très Haut, quoi que cela n’était pas vérifiable et puis après tout ceci est impénétrable, et vu leur situation profonde … bref … euh … oui donc des voix de personnes, certainement les pauvres diables vivants coincés dans l’éboulement !

Alors ils continuèrent, Valézy en tête, l’espoir ayant regagné les cœurs.

Et là …

Un pauvre hère sauta sur le dos de Valézy … il aurait pu choisir n’importe quel membre féminin du groupe, quoi que la bienséance lui interdisait peut être. Ce fut donc, comme le constata Beths, un mauvais calcul. Le pauvre homme reçu un uppercut en pleine face.

Ouch ça doit faire mal pensa Beths a moitié admirative devait elle reconnaître malgré elle.

Mais cet homme n’est pas un inconnu … Rastero !!! Vivant. Soulagement. Surtout pour Elfy qui lui saute au cou


Euh il a peut être besoin d’air pour respirer Peine perdue elle n’est pas écoutée.

Mais Rastero semble aller bien, enfin son esprit car malgré sa position, il trouve le temps de plaisanter

Beths sourit en l’entendant … greluches … elle se rappelait … d’ailleurs une vengeance attendait … eh eh eh … pauvre Baron.

Jetant un œil sur Valézy qui semblait enragé … aaaaaaaah eh bien il allait aimer la maréchaussée. Beths pouffa de rire lors des présentations, et ne put s’empecher d’ajouter à l’adresse du Commissaire aux Mines


Mess… Sieur Valézy, il me semble que vous avez un souci avec les membres de la maréchaussée. Ou alors est-ce un effet qui se produit régulièrement ? Quand vous apparaissez l’on vous saute dessus ?
Hum … En tout cas mes félicitations, vous savez parfaitement vous défendre. Et vos réflexes doivent en faire pâlir d’envi plus d’un non ?

Bien et si nous suivions le conseil de Legowen ?

Elfy saurais tu retrouver le chemin jusqu’au puits ? Si oui, accompagnes y Rastero, et aide le à remonter.
Rastero, peux tu marcher ? Sinon il faut qu’une deuxième personne vous accompagne le temps que nous retrouvions les autres survivants.
Rastero, sais tu combien vous étiez la-dedans ? Et combien sont vivants ?

Bon que faisons nous ? Nous nous séparons ? Ou bien au contraire, nous restons groupés ?
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Inamphus

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Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac Empty
MessageSujet: Re: Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac   Effondrement minier : Archivage de la Halle d'Aurillac EmptyDim 29 Juin - 5:56

Eléonore a écrit:
Citation :
Non, je ne pense pas qu'il serait judicieux de descendre... Je pense que c'est encore bien dangereux, surtout pour une petite fille comme toi!

La petite,avait connu la sensation du vide,se retrouver seule sur une fenêtre à essayer de s'évader et depuis il est vrai qu'elle n'avait plus peur de grand chose hormis des anges qui pouvaient venir n'importe quand reprendre ses proches ce qu'elle ne voulait pas!
La petite haussa les épaules et,sentant pleins d'affection provenant de gaby lorsqu'il posa sa main sur sa petite épaule elle ne voulut le contredire et lui dit


C'est d'acord papa gaby je vais aller retrouver la gentille dame la bas!

S'il est vrai que son père l'avait abandonné petite et que gaby n'était jamais le sien,ils n'avaient aucun lien sanguin,la petite ressentant autant de paisibilité dans ses gestes et son regard l'appela comme sa,naturellement.Elle avait besoin d'une présence paternelle,ne se préocupait pas du fait qu'il soit inconnu de base,l'inconscience enfantine et et l'affection aussi car il s'occupait bien d'elle puis la petite repris

Ma soeur c'est lullabygrimwald,ma lulla moi!elle m'appelle sa mini moi parce que je suis comme elle en plus petit et je la copie j'aime bien sa je la suis partout d'habitude mais elle aime pas quand je lui fais des bisoux bisounours!t'aime bien sa toi????

regardant à nouveau vers androlyne elle réalisa que si elle allait vers la tente elle sortirait de la mine et dit

Tu sais je suis pas si petite moi,j'ai même fait le bandage de maman avec le docteur,je suis très grande mais petite je peux passer facilement dans les trous de la grotte!

Percevant dans son regard un brin d'inquiètude ou plutot de protection à l'égard de la si jeune fille la petite,avant de ressortir vers la tente se changer et manger dit alors:

Bon d'accord j'y vais...mais c'est bien pour te faire plaisir!retrouvez ma lulla surtout....

Après un bisou la petite retourna à l'extérieur,androlyne la prit en charge avec le sourire pour mettre en confiance la petite!La,elles discutèrent toutes deux attendant impatiement des nouvelles des prisonniers de la mine,la petite lui proposa son aide et,pendant ce temps celui que eléo avait adopté malgré lui priait Aristote qu'ils délivrent les pauvres victimes et les ramènent tous seins et saufs quel qu'ils soient


rastero a écrit:
Rastero s'accrochait à l'épaule d'Elfy.
Beths, Crapaudine, puis encore une personne qu'il reconnaissait sans savoir qui elle était.

Entendant Beths lui parler, il se tourna vers elle et murmura :

Mimi, Kratos... au fond...
Et... Chlo... et Lulla... pas loin... Zézé...


Il avait du mal mais tant pis, il fallait sortir, même s'il aurait voulu aider...


kratos47 a écrit:
Kratos etait resté bien gentillement dans son coin à regarder la scène.
Apparement certains n'avaient pas remarqués Mimi et Kratos.


Il est temps de se manifester car ils risquent de partir sans nous dit-il à Mimi

Gardant la main sur son coté, il se dressa et s'approcha vers Mimi.Il lui tendit la main enfin qu'elle se lève et il dit amicalement
Allez viens c'est fini !

Le morceau de bois qui dépassait de sa chaire le faisait souffrir mais apparement rien de bien grave.Il fallait juste quelques bons soins et un peu(beaucoup) d'alcool...

On est là! Messieurs mesdames les maréchaux !


Blood Sunshine a écrit:
Papa Gaby ? Diantre, cette petite avait le don de l’étonner…

Euh oui, ta soeur Lullabygar… Bon tu sais quoi ? je vais l’appeler aussi Lulla ! J’espère qu’elle ne m’en tiendra pas rigueur… Gaby sourit une fois encore à Eléonore.

Je sais que tu es une grande fille, tu me l’a prouvé depuis qu’on s’est rencontré. Je suis sûr que tu vas retrouver ta soeur bientôt.

Voyant la petite se diriger vers la tente, après lui avoir fait un bisou Gaby songea que la vie était bien étonnante parfois. Si la grande sœur était pareille…


Il se pencha à nouveau au-dessus de l’entrée. Il entendait plus distinctement des voix… Se pouvait-il ?

Androlyne, Parsxino, Je pense que nous avons retrouvé quelqu’un !!!


Valezy a écrit:
Dans la mine, première à droite, puis seconde à gauche, puis tout droit...

Allons bon, l’agresseur s’avérait être un maréchal et à vrai dire, Valezy ne fut nullement surpris. Comme pour mieux se changer les idées, il tapota ses vêtements pour les dépoussiérer d’une main sèche mais abandonna bien vite sa tâche, s’apercevant de son inutilité. Il ne put alors réprimer un soupire d’exaspération, mieux vaut une bonne guerre que ça, se dit t’il.

Beths et Legowen vinrent alors l’interpeller. Au moins, elles n’allaient pas essayer de venger leur confrère.

Damoiselle Beths, j’ai bien peur que c’est la maréchaussée qui a une dent contre moi, je ne compte plus les altercations que j’ai eues avec des représentants de votre profession. Enfin, au moins j’ai la satisfaction d’avoir toujours rendu coups pour coups.

Quant à mes réflexes…

Il eut alors un sourire amusé, dans lequel pouvait se percevoir une certaine nostalgie.

J’étais soldat fut un temps, puis mercenaire au sein du Clan des Sentinelles.
On ne survit pas longtemps sur un champ de bataille si on ne sait point faire preuve de vivacité et de quelques connaissances dans le domaine martial.
Etant donné que je suis toujours vivant malgré les guerres qui passent et que j’ai vécu, je pense avoir ces deux qualités en suffisance.
Enfin… D’habitude je porte un heaume…

Il leva alors sa main en direction de l’arrière de son crâne et frôla la bosse naissante qu'il y découvrit en une grimace.

Mais trêve de palabres inutiles, je vous conterais mes aventures un autre jour si cela est susceptible de vous intéresser.
En attendant nous avons encore du travail en ces lieux.

Sur ces mots, il balaya les dit lieux du regard, apercevant ainsi l’arrivée de Kratos et de Mimi. Ses yeux inquisiteurs se portèrent sur les deux personnes, s’attardant alors sur la blessure à la jambe de l’homme. Au moins ces deux là ne semblaient pas belliqueux.

Cela ira mon gaillard ?

Son regard devint interrogatif et il décrocha son outre de vin pour la lui tendre d’un air affable.

Voila qui devrait vous requinquer.

Bien, je suis de l’avis de Damoiselle Legowen, aussi si vous êtes vous capable de marcher tous les deux, la jeune fille que voila vous raccompagnera à la sortie.

Quant au reste du groupe nous restons ensemble, ce sera ainsi moins risqué pour tout le monde…

Terminant sa phrase, il entendit alors un bruit sourd provenant d’une des galeries à sa droite.
Le silence s’imposa tout aussi soudainement dans le groupe, et tous tendirent l’oreille pour discerner l’origine et la nature du son.


Et bien… Il semble que le devoir nous rappelle.


Eléonore a écrit:
Citation :
Je suis sûr que tu vas retrouver ta soeur bientôt.

La petite fille y croyait dure comme fer!après tout elle l'avait entendu dans la grotte faiblement mais n'arrivait pas à savoir d'ou la voix provenait...s'il arrivait malheur à sa sœur elle ne se le pardonnerait sans doute pas...
Eléo repensa donc à cette parole,aux sourires de gaby.Elle n'était pas étonnante,la petite avait juste compris qu'avec un peu de charme et de politesse enfantine on pouvait faire craquer tout le monde et,étant en manque d'afection puisque bien solitaire elle compensait son manque à sa manière appelant Gaby papa,certains tata,tontons..une habitude qui l'aidait à garder espoire et la réconfortait!
Tout d'un coup un bruit surgit


Citation :
Androlyne, Parsxino, Je pense que nous avons retrouvé quelqu’un !!!

La petite bondit sur pattes!Serait ce sa lulla???serait-elle à coté???elle devait le savoir et ne se fit pas prier à deux fois pour aller demander à gaby

C'est qui qui la personne que vous avez trouvé???C'est ma Lullaby???


legowen a écrit:
Dans la galerie principale, où exactement? et bien ...........là , bien sur

L’espoir…………espoir qu’il y ait encore des survivants dans l’éboulement de cette mine, tant de poches d’ air peuvent se créer et leur permettre ainsi de résister, pendant des heures, quelques fois des jours, pour peu qu’il y est un filet d’eau, pour peu que l’air ne vienne à se raréfier . C’est cet espoir qui les a fait avancer dans ces galeries, courbés, portant pioches et cordes, dans une obscurité à peine trouée par la faible lueur de leur torche , bravant le danger d’un second éboulement toujours possible,

Retrouver des survivants, leur permettre d’échapper à cet enfer d’être enterré vivant


L’espoir…………………c’est cet espoir qui les a fait tenir, dans la nuit ambiante, ensevelis sous la terre qui semble se venger qu ‘on lui fouille ainsi ses entrailles , que l’on tape, creuse et casse roches au fil des jours, des années. Seuls dans le noir, pour ceux qui ont plus de chance, en groupe , se réconfortant, croyant à la venue des secours et monopolisant les forces qui leur reste dans cet ultime but : survivre

Et quand les deux se rencontrent, les visages s’éclairent, la joie luit dans les yeux, ou s’échappe en un rire comme celui de Rastero, soulagement , bonheur, ils en ont trouvé un , non plusieurs, puisque semblant répondre à son appel , deux autres personnes émergent de l’obscurité

Un homme , blessé, visage creusé, allons Androlyne va avoir du travail sous peu , tenant par la main une jeune fille, son visage bien que fatigué , exprime volonté et force , et il en faut pour survivre , Leg s’avance vers elle et sortant de son sac lui présente sa gourde d’eau


Tenez Damoiselle, c’est de l’eau pour vous désaltérer , bientôt vous serez dehors, d’autres secours attendent pour vous soulager …

Une réflexion de son chef,interrompt la jeune femme.

Son chef qui s’humanise, après tout ils forment une équipe soudée dans le même but, son chef , donc, qui s’est laissé aller à quelques confidences, la Coba, les Sentinelles, Legowen comprend qu’il puisse avoir un tel entrainement ; Les sentinelles, la jeune femme pense à son amie, sa marraine , qui doit être là- bas, quelque part, et dont elle n’a pas de nouvelles, ce qui l’inquiète, espère qu’elle va bien, que tout se passe au mieux pour elle.

Bien , il vont se partager, comme elle l’avait suggéré, un groupe pour remonter les premiers rescapés, un qui continuera les recherches, d’ailleurs…….

Un coup, puis deux, puis………….semblant éveiller les échos, tous oreilles aux aguets essayant de distinguer d’où ils peuvent provenir, qu’elle direction prendre ? Ils se consultent du regard, difficile de trouver l'origine avec toutes ces galeries et les échos qu'elles provoquent

Leg s’avance, en silence, un peu dans la galerie, peut-être d’autres poches d’air se sont –elles formées proches de l’endroit où se trouvaient les premiers survivants, lève sa torche, tend l’oreille et ça se répète:

un coup, puis deux,

prend alors le manche de sa pioche et tape

un coup, puis deux…………..attend………………et ………. oui …………..en réponse………… deux autres coups………

s'avance encore un peu, son chef leur a bien de dit de rester grouper, se retourne, ils ne sont pas loin, et puis, il lui parait bien que là , oui, de ce côté, la terre est plus meuble,pas vraiment la même couleur, prend la pioche, creuse, oui c'est bien ça, et crie


Ça vient de là , aidez moi !!!

ESPOIR..............


*elfy* a écrit:
Dans la mine, au milieu de nulle part.....

Heureuse de le retrouver sain et sauf, Elfy passa un bras sous sa taille et soutena son mari comme elle put...............elle arriverait bien à le trainer à l'air libre d'une façon ou d'une autre.
Lui qui avait eu le courage de survivre au beau milieu de nulle part, de soutenir Mimi pour qu'elle ne lâche pas prise non plus, de garder espoir malgré les ténèbres et l'angoisse.......nul doute qu'il trouverait les ressources pour s'extraire hors de là.


Elfy saurais tu retrouver le chemin jusqu’au puits ?


Beths la bienveillante qui craignait qu'Elfy ne trouve pas son chemin

Ne vous souciez pas de nous Beths, j'y parviendrai..
Ne perdons pas de temps Rast allons y !


Un bras passé sous sa taille, sa main tenant la sienne, Elfy trainait son mari comme elle pouvait, certes il tenait sur ses jambes, mais exténué il pesait son poids.
Elle ne fit aucune remarque et décupla ses forces pour avancer vers la lumière.

Je sais que ton énergie s'amenuise mais faut que tu tiennes hein ?
Je peux pas te transporter sur mon dos...


Elle se mit à rire franchement et se tourna vers lui. Il était pâle et grimaçait sous la douleur, il n'avait pas du remarquer qu'un mince filet de sang s'échappait de son flanc droit.......cette foutue plaie s'était réouverte.
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