| | Premier Tour | |
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Auteur | Message |
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Rehaël d'Arduilet
Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: Premier Tour Dim 9 Nov - 19:32 | |
| - Zya a écrit:
- Spoiler:
[Euh... de même]
Des lèvres qui s'effleurent et comblent un manque, quelques paroles en guise de réponse qui se voit être tronquée par une exclamation interpellatrice, une silhouette en contre bas : Dame sa mère, et une question en retour, pour clore la boucle. Où en était-il? Il en était à lui expliquer les raisons de son retard. Et même à l'émission d'une objection... Mais une chose reste immuable. Les yeux dans les yeux. Depuis quand ne les a-t-elle regardé ainsi? Vus, ils l'avaient été. Mais observés de la sorte? Elle avait l'impression que les semaines formaient des siècles. Temps perdu bêtement. Temps où ils auraient pu être si soudés, si proches, si partageurs de petits moments, notamment cette fichue grossesse qu'elle avait tant de mal à vivre, même si ca allait en s'améliorant ces derniers temps. L'apparition de l'arrondi. Les premiers coups, les premières bosses. Des petits gestes comme ils savent en faire et dont ils sont si avares. Des conversations sur telle ou telle chose, des dérives, des plaies pansées, des plaies évitées, des plaies à faire oublier. Les yeux suivent la scène se déroulant sur la lice. Grimace… Une folle. De tels risques pour si peu. Déjà, elle, avait regretté ses joutes chez Llyr, après coup. Le stade était bien moins avancé, mais c’était tout aussi risqué. Consciente qu’elle grimace mais que ca ne l’empêche d’escorter leur bon Roy sur les routes de campagne, à ses… leurs risques et périls à tous deux. Situation qui n'est guère mieux, en sorte. Le regarde de nouveau. Pas de remontrances en perspective. Juste savoir où il en était.
Tu m’expliquais la cause de ton retard… souci de chemin, apparemment…
Hésitations, reprendre le fil de la lettre lue plus tôt…
Tu sais, pour les parrains, ce dont tu me parlais, dans ta lettre… Je suis réellement contente que... Non, nous parlerons de cela plus tard...
Pas besoin de précision, il sait de quoi elle parle. Mais elle ne veut troubler ce moment par des questions qui pourraient en amener d'autres. Pendant ce temps, le premier tour s’achève et les tribunes se vident. Il est temps de quitter les lieux. Proposition qui ne lui ressemble guère, surtout avec le ton enjoué donné. Non pas qu'elle ne les aime pas, juste qu'elle ne les connait pas assez.
Et si nous allions voir ta mère et ton beau-père ?
[Tribunes, toujours] En effet, souci de chemin... mais ce sont les cartes qui sont mal foutues aussi...*Moue. Mention à sa lettre. Allait répondre, demander s'ils étaient là, parler de ce "choix", mais aussitôt évoqué, aussitôt abandonné. La discussion reviendrait plus tard.*Il faudra bien que j'aille voir ma chère mère, il serait bête de manquer cette occasion alors que nous nous trouvons au même endroit. Mais j'avoue que je ne serais pas contre le fait de me rafraichir un peu, avant cela... J'ignore où tu loges, mais je t'y suivrai volontiers! | |
| | | Zya
Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 31/10/2008
| Sujet: Re: Premier Tour Lun 10 Nov - 3:07 | |
| Pouffe de rire en entendant l'excuse qu'il trouve pour son retard et l'oeil se fait amusé.
Mais oui, biensûr! Il faudra se plaindre au concepteur de ta carte... Ils ne savent vraiment pu y faire, ces copistes...
Rit d'autant plus devant sa moue, jusqu'à ce qu'il parle d'aller là où elle loge... Elle l'emmène où? Parce que bon... pas vraiment d'endroit pour... Et puis, elle aimait bien l'idée d'aller ailleurs et d'évincer la question du "tu loges où? tu fais attention, au moins?"... Reflexion rapide. Les Dames... elle ne voit que là. Pas loin, pratique. Et ca permet d'éviter un sujet fâcheux.
J'ai mieux... les tentes des Dames Blanches... Non loin, et ainsi, nous restons sur le campement... histoire de trouver plus facilement ta mère, non?
Ne pas lui laisser le temps de répondre. Elle se lève d'un bond, grimace du fait de son dos et se retourne sur lui, grand sourire pour faire illusion. Ils n'ont plus qu'à rebrousser chemin jusqu'au campement, après qu'elle ait accepté le bras qui lui fut offert. | |
| | | bradbury
Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 23/11/2006
| Sujet: Re: Premier Tour Lun 10 Nov - 18:44 | |
| - althiof a écrit:
- Pour la joute suivante j’appelle
Bradbury-Dicte La Condé, Dame de Davignac
Jazon Duchesne de Marigny, Vicomte de Ravel et Seigneur de Viverols
-
Une habituée des lices face à son cousin qui est en passe de le devenir. L’affrontement promet d’être intéressant.
Première lance... Il sera court mais intense. Bradbury fait montre de plus de détermination et ajuste sa visée. Mais surtout son coup est d’une rare puissance. Sa lance explose en mille morceaux. Certains viennent même retomber à plusieurs mètres. Jazon ne peut absolument rien faire et chute très lourdement.
On entend quelques cris étouffés dans le public mais il finit par se relever choqué mais indemne.
« La Dame de Davignac remporte cette joute sur chute et participera au tour suivant. » Brad avait observée les premières joutes et comme une vieille habituée, elle s’était apprêtée pour son premier tour. A l’appel de son nom, elle entra dans la Lice, croisant son adversaire qui avait déjà abaissé sa visière visiblement pressé d’en découdre.
En bout de Lice, elle attendit patiemment le signal de départ, baissant sa visière, lance en main. Son cheval, étoile, connaissait la musique et piaffait d’impatience.
Au signal donné par le Juge, il parti soudainement et ils s’élancèrent vers le cavalier, surtout bien se concentrer, penchée en avant pour mettre tout son poids dans son bras et augmenter sa force lors de l’impact.
Au choc qui s’ensuivit, la lance se brisa comme fétu de paille et son adversaire chuta lourdement. Un mouvement de foule, des cris étouffés, Brad se doute que la chute fut impressionnante et lourde, elle fait faire demi-tour à étoile.
Déjà du monde auprès du jouteur pour l’aider à se relever, soupir de soulagement en constatant qu’il est en un seul morceau, pas de soucis à se faire, donc tout va pour le mieux. Elle le félicite. Puis après une dernière salutation quitte la Lice à son tour et prend le chemin du Campement. | |
| | | kazert
Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 29/10/2008
| Sujet: Re: Premier Tour Mar 11 Nov - 20:04 | |
| [Première journée, premier tour, la lice]La liceKazert arrive sur la lice monté sur son cheval de guerre. La tête nue et portant une armure légère. Si Henri était là il lui dirait qu'il cherche a mourir. Seul une personne peut le savoir, même lui ne le sait pas. Alors qu'une joute a lieu, il prend son heaume , l'ajuste, règle son écus et attrape avec fermeté la lance que l'écuyer lui tend. Il donne un coup de talon et Artémis remonte la lice sur le coté , faisant un aller retour afin de trouver ses marques.
Il voit son adversaire du moment, un collègue, etc e qui est pire une femme. Il constate que ce n'est qu'un petit bou de femme. - Cela vas être vite fait bien fait.......mais avec délicatesse et douceur, ne soyons pas ........vilain. Ce qui le chagrine c'est qu'ils ne sont même pas encore rencontré dans les bureaux qu'ils fréquentent. Beths, Dame de Gondole et
Shimir de Demessy dict Kazert, Capitaine de la Garde Royale, Vicomte de Bruilhois Seigneur de Pierre-Buffiére, Chantemerle et d'Auzillac
d’en découdre sur le sable de la lice ! – Kazert ce présente et salut les tribunes puis ce place en bout de lice, attendant le moment.....derrière son heaume ses yeux vont de l'arbitre a Beths. dans un cri il lance Artémis au galops, qui remonte la lice a la vitesse de l'éclair, il baise la lance, qui tangue , arrive a la stabiliser et touche l'écu de son adversaire, alors qu'il sent un choc sur son propre écus. Kazert est retournée comme une crêpe , la foule peut le voir voler dans les airs, et retomber dans un fracas des batteries de casseroles de cuisines tombant. Les bras en croix la visage tourné vers le ciel, il peut voir le soleil; soleil qui devient sombre , obstruer par la tête d'un écuyer- Messire vous allez bien ?Kazert sent son corps qui souffre .- Dite moi elle est ou la catapulte qui a expédié ce rocher sur moi.... L'écuyer surpris de la question regarde Kazert alors que celui aider ce reléve.- Messire il y a méprise c'est bien ma dame qui vous a envoyé a terreKazert avale avec difficulté là. La partie de plaisir s'annonce mal, très mal. - J'ai perdu ? - Non elle est aussi a terre et sent blessure- Zut.......Pourquoi faut que cela tombe sur moi, je fais des guerres, j'hache , transperce , mords , frappe....et là je tombe. je me suis fait culbuter par une femme..... Quoi que par un homme cela doit faire mal, pense t'il- MON EPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEAffronter un prévot, franchement comme si nous allions nous entre-tuer. Il hésite ne sait pas si il a déjà combattu dans une joute a l'épée.....comment on fait déjà? Il bouge sa tête de droite a gauche , reléve ses épaules a plusieurs reprisent et attaque directe, de gauche a droite réalisant plusieurs attaques composés et directe. De suite il enchaîne par un battement pour finir par une banderole qui touche. tellement content du résultat et sur de lui, Kazert laisse tomber sa garde et ce retrouve a son tour touché. Diantre cela ce complique elle est plus rapide et plus jeune, faut finir vite songe t'il. Il charge et touche d'un coup d'estoc , qui fait plier Beths.....Kazert s'arrête attendant devoir si elle continue, hors de question de frapper un adversaire a terre, encore moins une femme. Elle se relève, il ce dit qu'a la prévoté il y pas de place pour les faibles. Encore un moment a rêvasser , il réalise une In Quartata et touche une nouvelle fois mais l'adversaire et de taille ou la peur d'affronter une femme. Le résultat est la il a beau esquiver a droite il sent une douleur au niveau de la hanche. Un cri puis de suite kazert s'éloigne de son adversaire , alors qu'il touche avec son gants de fer le coté ensanglanté. Ce qui est sur c'est qu'elle ne fait pas semblant.
La fatigue, la surprise, la confiance, viennent de faire perdre Kazert. Sous son heaume une grimace de frustration, non de douleur. Beths découvre le visage de Kazert trempé de sueur, essoufflé .- C'est a moi de vous féliciter, jamais je n'aurais pensé que vous étiez tout en muscle. Il en faut pour m'éjecter de ma selle. Quand a l'épée, vous avez du avoir un bon maître d'armes. Il respire , ce qui le fait grimacer- Le verre avec plaisir, après les joutes, j'espère que vous irez loin. C'est aider d'un écuyer qu'il quitte la lice, pour le campement. Tout en navançant et ce tenant la hanche il cherche du regard son épouse , heureusement elle n'est pas là. | |
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